Burkina Faso : lancement officiel du déploiement national du projet d’insertion économique des veuves et orphelins des militaires tombés au front dénommé Go Paga
Burkina Faso : lancement officiel du déploiement national du projet d’insertion économique des veuves et orphelins des militaires tombés au front dénommé Go Paga
Go Paga est un projet d’insertion économique des veuves et orphelins des militaires tombés au front. Lancée en février 2021, la phase pilote qui a été réalisée avec 7 veuves et une orpheline des hommes de l’unité spéciale d’intervention de la Gendarmerie Nationale, a connu un succès. D’où le lancement officiel du déploiement national du projet, le vendredi 4 juin 2021, au cours d’une cérémonie tenue dans l’enceinte du Mess des Officiers à Ouagadougou.
Madame Fadima Kambou, Promotrice du Projet Go Paga
Depuis 2015, le Burkina Faso fait face à des attaques terroristes récurrentes entrainant des pertes en vies humaines de civils et de militaires. Pour ces derniers, la phase pilote du projet Go Paga a permis de déterminer des données liées aux besoins spécifiques des épouses et des orphelins de ces militaires.
Pour la marraine de la cérémonie, Aïssatou Minoungou, épouse du Chef d’Etat-major Général des Armées, les hommes qui sont au front doivent pouvoir compter sur une base arrière forte et résiliente à savoir les femmes et les familles. Pour se faire, il faut savoir panser les plaies parfois invisibles, de combattantes de l’arrière-plan que sont les femmes. « Et ces plaies je voulais évoquer sont les chocs psychologiques, l’affliction, le découragement, la pauvreté » a-t-elle souligné. Selon elle, le devoir de solidarité invite à honorer la mémoire des soldats tombés au front pour la nation en ouvrant à l’autonomisation de leurs veuves et de leurs orphelins.
Selon la promotrice du projet Go Paga, Fadima Kambou, l’idée d’une telle initiative est née suite à des échanges entre elle et sa voisine, épouse de militaire au front. Elle raconte : « Après une attaque au Nord du pays, je me suis souciée pour ma voisine qui est mariée à un militaire. Elle n’avait pas de nouvelle de son mari à mon arrivée et elle s’inquiétait. Quand je l’ai observée, la tristesse dans ses yeux et ceux de ses enfants, je me suis dit qu’il fallait faire quelque chose pour les femmes des militaires. C’est ainsi que j’ai engagé des démarches auprès de la Gendarmerie Nationale et de certains partenaires afin de mettre en place Go Paga. »
Go Paga est un accompagnement pour une autonomie complète des veuves et orphélins
Malgré l’émotion visible provoquée sans doute par la situation des veuves et orphelins des militaires tombés au front, la Promotrice de Go Paga Fadima Kambou, ne cachait pas sa joie pour ce premier coup de maître. Elle confie, que la phase pilote du projet a permis d’obtenir un an de couverture santé pour chaque veuve et orphelin grâce à l’accompagnement de Yellen Assurance. Au titre des acquis, il y a également une formation professionnelle au profit des veuves afin de développer leur employabilité, une formation et une dotation en matériel pour des activités génératrices de revenus, l’apprentissage à la gestion des finances, le suivi psychologique et l’accompagnement juridique.
Pour appuyer cela, dans une vidéo projetée au cours de la cérémonie, Madame Loreta, une veuve bénéficiaire du projet Go Paga témoigne : « La Loretta d’avant était réservée et timide, la Loretta d’aujourd’hui elle est, je peux dire épanouie. Je pense que le projet nous aide à aller de l’avant, il nous soutient moralement(…) Ce qui m’a convaincue (de faire le programme) c’est le faire pour ma fille.»
Satisfait des résultats de cette phase pilote du projet Go Paga, le Commandant du Groupement Central des Armées, Colonel Major Oumarou Sawadogo représentant le Chef d’Etat-major Général des Armées, le Général de Brigade Moise Minoungou a donné le clic de lancement officiel du déploiement national du projet d’insertion économique des pupilles de la nation dénommé Go Paga.
La cérémonie a pris fin avec des remises de trophées aux partenaires qui ont cru au projet.
Balguissa Sawadogo
Elites Femmes
Weownomy : le nouveau réseau social qui surpasse Facebook
Weownomy : le nouveau réseau social qui surpasse Facebook
Weownomy, la nouvelle plateforme de réseau social, n’envahira pas votre vie privée et vous offrira une expérience plus sécurisée que Facebook. C’est l’avis en tous cas de ses concepteurs.
La caractéristique essentielle de Weownomy, c’est que ses utilisateurs en seront aussi les propriétaires. Il n’y aura pas d’investisseurs externes, donc le contenu et les données du site resteront sous le contrôle des utilisateurs. Facebook, c’est le réseau social que nous avons tous fini par adorer et détester. Nous l’adorons parce qu’il nous relie à nos amis, à notre famille, à nos collègues, à nos camarades de classe, etc. Mais nous le haïssons à cause des nombreuses violations de la vie privée dont il s’est rendu coupable au fil du temps. Weownomy promet de faire mieux que Facebook dans absolument tous les domaines. Fini l’objectif visant uniquement à générer des revenus publicitaires : Weownomy sera associé à une banque numérique appartenant aux utilisateurs, ce qui permettra à chacun d’eux de monétiser son activité en ligne.
Weownomy, la nouvelle plateforme de réseau social, n’envahira pas votre vie privée et vous offrira une expérience plus sécurisée que Facebook, à laquelle on pourra accéder via n’importe quel navigateur. Weownomy offre les mêmes fonctionnalités que Facebook, mais sans que vous soyez obligé de renoncer à la confidentialité de vos données personnelles par crainte d’un piratage ou de perdre le contrôle des données de votre compte.
Weownomy promet de faire mieux que Facebook, et pour cause. Les utilisateurs de la nouvelle plateforme de réseau social disposeront d’un plus grand contrôle sur leurs données personnelles, parce qu’ils auront la possibilité de décider qui peut voir quels messages et même de les configurer de manière à les rendre invisibles pour certaines personnes.
Les médias sociaux sont devenus des acteurs incontournables de notre monde moderne. Facebook, le plus important d’entre eux, est devenu la plaque tournante de tous ceux qui veulent interagir avec les autres et partager leur vie en ligne. C’est évidemment très pratique. Cependant, la concentration d’un tel pouvoir entre les mains d’une seule entreprise suscite des inquiétudes qui ne peuvent être négligées. Weownomy envisage de remplacer Facebook, non seulement en étant plus accessible, mais aussi en proposant à ses utilisateurs d’acquérir une participation dans le réseau et d’en devenir ainsi les propriétaires du contenu et des services financiers : un système qui, selon nous, conduira à créer de la valeur à long terme pour les utilisateurs.
Facebook a connu récemment de nombreux problèmes. Et tandis que la colère grondait contre Facebook, Weownomy développait tranquillement un meilleur réseau social présentant une différence très simple : ses utilisateurs en seront aussi les propriétaires. Ses développeurs viennent d’annoncer sa mise en ligne à l’échelle mondiale en mai 2022 et l’on commence à en savoir davantage sur ce nouveau site de réseautage social conçu pour résoudre les problèmes qui accablent Facebook. À la mi décembre 2021, le site lancera une version beta privée qui sera testée par 2 000 utilisateurs.
La nouvelle plateforme offrira les mêmes fonctionnalités que Facebook, mais les utilisateurs verront leurs contenus et leurs interactions déposés sur le site récompensés en pièces d’or de la nouvelle monnaie sociale, les « weowns ». Ces pièces d’or peuvent être utilisées pour acheter des biens et des services numériques sur la place de marché ou la banque en ligne de Weownomy.
Weownomy a été créé pour répondre aux problèmes de sécurité, de confidentialité, d’infox et de manipulation algorithmique que connaissent les réseaux populaires actuels. Weownomy est un site web tout-en-un pour les personnes de tout âge et de tout milieu, qui y trouveront toutes sortes d’opportunités : divertissement, éducation, transactions financières (banque électronique), amitiés, rencontres (dating), bref, tout ce que vous pouvez attendre d’un réseau social !
Weownomy est un nouveau réseau social qui fournit aux utilisateurs un business model qu’ils peuvent posséder, leur donnant ainsi l’opportunité de contrôler leurs données et d’être exonérés de frais transactionnels sur les services bancaires numériques. Il semble déjà exister de nombreux réseaux sociaux mais, comme nous le savons tous, Facebook connaît des difficultés et Instagram, Twitter, LinkedIn et d’autres ne sont pas épargnés. Le problème de ces sites est que les utilisateurs n’en sont pas propriétaires et que ce sont les entreprises qui possèdent toutes vos données.
Le principe de l’utilisateur propriétaire sur lequel est fondé le réseau social Weownomy est issu directement de notre business model, qui prévoit une participation à tous les revenus et un partage des bénéfices basé sur la performance. Ce changement éliminera les problèmes auxquels sont actuellement confrontés Facebook et d’autres réseaux sociaux ; en effet, cela garantit que vos données ne sont pas collectées au profit exclusif du réseau sans aucune compensation pour vous, voire sans que vous ayez votre mot à dire sur la manière dont vos données sont utilisées.
L’avenir des réseaux sociaux passe par ce principe, et pas par Facebook. Weownomy offrira les meilleures fonctionnalités de Facebook, mais avec des avantages supplémentaires. Weownomy est différent des autres réseaux parce qu’il permet à ses utilisateurs d’être les propriétaires de leurs contenus et de leurs données personnelles ; il n’y a aucune intention cachée.
La plateforme que tout le monde attendait
Dans le monde d’aujourd’hui, il est important d’aborder d’un œil critique les sources d’informations et de nouvelles en ligne. Pour ce faire, les citoyens ont besoin d’une plateforme dont la fiabilité et la transparence sont réellement garanties. Avec Weownomy, c’est exactement cela qu’ils auront. La plateforme sera en mesure de déterminer la fiabilité des informations accessibles en ligne en veillant à ce que les plaintes des utilisateurs relatives aux activités au sein de la plateforme Weownomy soient traitées dans le cadre de processus clairs et transparents. L’avenir de nos démocraties en dépend !
L’avènement des réseaux sociaux a modifié notre façon d’interagir avec les informations. Ils font désormais partie intégrante de notre vie quotidienne et nous pourrions difficilement nous en passer. Nous sommes propriétaires de nos téléphones, mais pas des données que nous produisons au moyen de ces appareils, d’où un déséquilibre des pouvoirs au détriment des utilisateurs. La nouvelle plateforme redonnera aux utilisateurs la maîtrise de leurs données personnelles en leur permettant d’y accéder et même d’en tirer des revenus.
De nos jours, des masses d’informations et de données sont accessibles en ligne. Toutefois, il se peut qu’elles soient inexactes, voire indignes de confiance car l’entreprise qui les a recueillies a pu le faire sans le consentement des intéressés. Ces sites web tiers peuvent aussi collecter toutes sortes d’informations sur les utilisateurs et vendre ces données personnelles à d’autres entreprises. Weownomy offre une plateforme à partir de laquelle les utilisateurs peuvent accéder au site web de leur choix en toute confiance quant à la manière dont leurs données sont collectées et utilisées.
Sur cette plateforme, les utilisateurs pourront créer et publier leurs propres contenus et être rémunérés pour les créations d’autrui. La plateforme pourrait également recourir à la publicité et offrir des produits et services numériques comme la diffusion en flux et le commerce en ligne, ce qui pourrait potentiellement générer plus de 10 milliards USD de revenus annuels d’ici 2024.
Internet a rendu l’information plus accessible que jamais. Grâce aux fonctionnalités qu’elle se propose d’offrir, la plateforme Weownomy assurera la fiabilité et la qualité des sources d’informations accessibles en ligne, une manière correcte de collecter et d’utiliser les données, et la mise en place de processus clairs et transparents pour traiter les plaintes des utilisateurs relatives aux activités menées sur la plateforme Weownomy.
Weownomy émet des actions afin de construire un nouveau réseau social
Pour construire son nouveau réseau social, Weownomy va émettre des actions. Chaque jour, plus de deux milliards de personnes passent du temps sur des réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, Twitter ou LinkedIn et pourtant, en dehors des recettes publicitaires de la plateforme, la plupart d’entre elles ne reçoivent aucune récompense pour leur contribution. Pour favoriser l’accroissement des opportunités, nous allons adopter un nouveau modèle où les actionnaires seront payés pour construire notre nouveau réseau social « weown » fondé sur l’appartenance de la plateforme aux utilisateurs et la liberté financière via des primes de parrainage.
Chaque personne passe en moyenne plus de deux heures par jour sur les réseaux sociaux. La meilleure façon d’utiliser ces plateformes est de prendre le contrôle de vos données et de les monétiser en recrutant de nouveaux membres et en développant l’activité dans votre propre intérêt. Weownomy offre cette opportunité à ceux qui n’ont jamais eu la chance de réussir dans ce domaine parce qu’ils n’ont pas de réseau ou pas d’argent, mais qui souhaitent ardemment être financièrement indépendants.
Le réseau social Weownomy (www.Weownomy.global) émet des actions pour construire un nouveau réseau social qui donnera à ses utilisateurs la possibilité de gagner de l’argent grâce à leurs propres contenus. L’idée de la « Weownomy » (We own economy, nous sommes les propriétaires de l’économie) a pour origine la constatation que beaucoup de créateurs de réseaux sociaux ne partagent jamais les profits générés par leurs sites.
« Nous avions pour but de créer une plateforme où chacun aurait une chance d’obtenir un revenu, a déclaré Ssemakula Peter Luyima, fondateur et PDG de Weownomy. Notre plateforme est une magnifique opportunité pour les gens ordinaires qui veulent gagner de l’argent en utilisant leur temps, leurs talents et leur créativité. » Les utilisateurs peuvent acheter des actions via le système de vente aux enchères « à la hollandaise » de Weownomy.
Les réseaux sociaux sont un élément de base du monde moderne. Ils nous permettent de rester en contact avec nos amis et notre famille, de partager des idées, de former des communautés, et bien plus encore. Or, en dehors des recettes publicitaires, nombreux sont ceux qui les utilisent sans obtenir aucune compensation pour leurs contributions. Pour favoriser l’accroissement des opportunités, nous allons adopter un nouveau modèle où les actionnaires seront payés pour construire notre nouveau réseau social « Weownomy », fondé sur l’appartenance de la plateforme aux utilisateurs et la liberté financière via des primes de parrainage.
Au lieu de gagner de l’argent grâce à la publicité, Weownomy distribuera chaque mois des parts du revenu de la Société à ses utilisateurs copropriétaires de Weownomy. Avec votre abonnement mensuel d’actionnaire, vous pouvez contribuer à la construction du prochain plus grand réseau social mondial et, en même temps, avoir un impact sur le quotidien des personnes. « Weownomy émet des actions afin de construire un nouveau réseau social » (www.Weownomy.global).
L’idée d’être propriétaire de son propre réseau social n’est pas neuve. La nouveauté, c’est que Weownomy a créé un système permettant aux utilisateurs de devenir copropriétaires de la plateforme et de recevoir chaque mois des actions simplement en étant membre du réseau.
Nous sommes une startup qui donne aux personnes la possibilité de partager la richesse et la liberté financière de construire un nouveau réseau social. Ce projet a pour principal objectif de créer une communauté en ligne dont tous les participants possèdent les mêmes droits de propriété, de gouvernance, de partage des profits, de protection de la vie privée et de la confidentialité des données, tout en favorisant l’égalité économique grâce aux primes de parrainage.
Pour devenir propriétaire de Weownomy, la première étape consiste à s’inscrire aux fins de la distribution d’actions. Les actionnaires sont ensuite rémunérés au pourcentage à chaque fois qu’ils parrainent une personne qui devient actionnaire à son tour, en mettant l’accent sur la récompense de nos utilisateurs les plus fidèles. Pour être éligible à une prime de parrainage, vous devez être enregistré en tant qu’utilisateur et avoir accumulé au moins 10 000 actions avant de parrainer un futur membre. L’idée fondamentale qui sous-tend notre système, c’est que nous rémunérons les actionnaires afin qu’ils construisent le nouveau réseau social « Weownomy ».
Depuis quelques années, les réseaux sociaux font partie intégrante de notre vie quotidienne. Ainsi, les quatre plus grandes plateformes, Facebook, Instagram, Twitter et LinkedIn, sont utilisées par plus de deux milliards de personnes par jour. Cela signifie que ces entreprises ont un énorme pouvoir sur nos données et sur ce que nous voyons sur internet. Chez Weownomy, nous pensons qu’il est temps pour les utilisateurs d’être récompensés pour leurs contributions, au-delà des revenus publicitaires tirés de l’utilisation de ces réseaux.
Les actions de Weownomy sont mises aux enchères sur internet
Le système d’enchères d’actions « à la hollandaise » (Dutch auction) de Weownomy est conçu pour négocier les actions de Weownomy à l’échelle mondiale, une fois par mois dans le cadre d’une vente aux enchères en direct. Le but de ce système est de donner la possibilité à toute personne d’investir dans la nouvelle plateforme de réseau social et ainsi d’en devenir propriétaire tout en acquérant une liberté financière.
Les ventes aux enchères serviront à émettre des actions de Weownomy afin de construire un nouveau réseau social. Le choix du système d’enchères d’actions « à la hollandaise » a été considéré comme le plus approprié, non seulement en raison de l’offre de Google, mais aussi à cause des graves critiques émises ces dernières années à l’encontre de la méthode traditionnelle, concernant des allégations d’abus liés à la fixation des prix et à l’attribution des actions.
Weownomy est une société internet dont l’introduction est l’une des plus attendues de ces dernières années. Comme beaucoup de ces sociétés, Weownomy ne peut être cotée par les méthodes traditionnelles parce qu’il s’agit d’une entreprise privée et qu’elle n’a pas encore généré de profits. Le système d’enchères d’actions « à la hollandaise » utilisé par Google offre plusieurs avantages par rapport au processus traditionnel de constitution d’un carnet d’ordres d’émissions d’actions.
La décision de vendre les actions de Weownomy aux enchères sur internet ayant été prise, le système d’enchères d’actions « à la hollandaise » représente un moyen attrayant d’émettre des actions Weownomy pour construire un nouveau réseau social. Utilisé pour la première fois en 1720, ce système d’enchères d’actions est toujours populaire aujourd’hui et régulièrement utilisé pour lever des capitaux de démarrage d’entreprises des secteurs énergétique, bancaire et des soins de santé, entre autres. Les enchères sont considérées comme « privées » parce que les actionnaires échangent des titres entre eux, sans l’intervention d’intermédiaires. « Les ventes aux enchères créent des règles du jeu équitables », a déclaré Ssemakula Peter Luyima, fondateur et PDG de Weownomy.
L’annonce par M. Luyima de l’émission d’actions via une vente aux enchères sur internet a été considérée par beaucoup comme une avancée décisive pour la Société et ses suiveurs. En réaction aux plaintes émises ces dernières années à l’encontre de la méthode traditionnelle, Weownomy a choisi le processus de vente aux enchères « à la hollandaise » plutôt que le processus traditionnel de constitution d’un carnet d’ordres utilisé l’an dernier par Google Inc. lors de l’offre d’actions en bourse.
Le choix de ce système d’enchères d’actions a été considéré comme plus approprié, non seulement en raison de l’offre de Google, mais aussi à cause des graves critiques émises ces dernières années à l’encontre de la méthode traditionnelle concernant des allégations d’abus liés à la fixation des prix et à l’attribution des actions. Les enchères sur internet seront gérées par des prestataires tiers qui fourniront les plateformes d’enchères.
La méthode traditionnelle pour émettre des actions consiste à constituer un carnet d’ordres, système selon lequel une banque d’investissement souscrit une offre publique d’émission et fixe un prix. Or la méthode peut conduire à des abus, car les investisseurs n’apprennent qu’après l’achat combien ils ont payé par action. En revanche, le système d’enchères d’actions « à la hollandaise » implique la sollicitation d’offres auprès des acheteurs avant la décision de fixation du prix.
Internet étant devenu la place de marché moderne, il n’est pas surprenant que Weownomy opte pour le web pour y vendre aux enchères les actions de l’entreprise. La décision a été prise sur la base du processus utilisé par Google pour son IPO. Weownomy utilisera le système d’enchères d’actions « à la hollandaise », basé sur un processus d’offres en ligne aux fins de l’attribution des actions aux investisseurs. Ce système diffère de la méthode traditionnelle de constitution d’un carnet d’ordres en ce qu’il s’appuie sur un système informatisé qui exclut toute intervention humaine.
Weownomy donne ainsi à chacun la possibilité d’acquérir une part de ce nouveau réseau social passionnant qui ouvre aux utilisateurs un univers bien plus vaste que celui de Facebook ou de Twitter.
Ce sera la première fois que la méthode de vente aux enchères sur internet sera utilisée comme moyen d’émettre des actions Weownomy. Depuis sa fondation, Weownomy a pour objectif d’offrir aux utilisateurs et aux consommateurs un accès gratuit à des contenus de haute qualité venant du monde entier, sans publicité et sans limiter les droits des utilisateurs. « La mise en œuvre de cette stratégie rendra obsolètes les business models traditionnels et offrira aux gens ce qu’ils attendent : des informations de qualité ».
Distribué par APO Group pour Weownomy Platform Corporation.
Le Burkina Faso défie la résistance grâce aux moustiquaires PBO : un atelier d’échanges de haut niveau à Ouagadougou discute de leur efficacité
COMMUNIQUE DE PRESSE: Le Burkina Faso défie la résistance grâce aux moustiquaires PBO : un atelier d’échanges de haut niveau à Ouagadougou discute de leur efficacité
Photo de famille de l'Atelier d'échanges du 28/05/2021 à l'Hôtel Sopatel Silmandé
- Les moustiquaires imprégnées d’insecticide à longue durée d’action (MILDA) avec PBO peuvent jouer un rôle clé dans l’amélioration de la prévention du paludisme au Burkina Faso, grâce à une efficacité accrue contre les moustiques résistants aux insecticides.
- Les acteurs de la lutte contre le paludisme au Burkina Faso discutent des modalités de déploiement de ces nouvelles générations de moustiquaires pour garantir la qualité et la bio-efficacité de ces moustiquaires.
OUAGADOUGOU, 28 mai 2021 – Un atelier d’échanges de haut niveau s’est tenu ce vendredi 28 mai à Ouagadougou sur la qualité des outils de lutte contre les vecteurs du paludisme au Burkina Faso. La rencontre a permis de dégager des consensus forts sur la protection des zones vulnérables touchées par le paludisme. Une délégation du ministère de la Santé, le coordonnateur du Programme National de Lutte contre le Paludisme, Dr Gauthier Tougri, le représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Dr Moyenga, ainsi que les éminents scientifiques des divers centres de recherches et sciences de la santé du pays, les membres de la société civile avec l’organisation Speak Up Africa et la responsable régionale de Vestergaard, Emmie Cacace, étaient présents à la conférence. La grande spécialiste des questions de résistance aux insecticides, le professeur Hilary Ranson du Liverpool School of Tropical Medicine était également au rendez-vous pour partager son expertise.
Le Burkina Faso faisait partie, en 2019, des six pays de la Région africaine concentrant 50 % des cas de paludisme dans le monde selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La maladie est responsable de 43 % des consultations de santé et de 22 % des décès dans le pays. Le Burkina Faso fait d’ailleurs partie, depuis 2018, des onze pays de l’Initiative pour une action à fort impact dans les pays à forte charge (HBHI), et qui ont supporté environ 70 % de la charge mondiale de morbidité due au paludisme en 2017. Cette initiative s’appuie sur le principe selon lequel personne ne devrait mourir d’une maladie qu’il est possible d’éviter et de traiter et met l’accent sur une approche ciblée et différentiée du paludisme en fonction des contextes.
Le pays fait partie des premiers à avoir déployé les MILDA nouvelle génération avec PBO et MILDA à double ingrédient actif, pour mitiger les effets d’une résistance alarmante aux insecticides dans un pays ou les moustiques résistent par endroit a plus de 1 000 fois la dose normale d’insecticide. L’impact considérable de ces nouvelles MILDA sur les indicateurs épidémiologiques et entomologiques dans les zones de déploiement de ces outils et la recommandation de l’OMS ont convaincu le pays de mettre fin au déploiement des moustiquaires mono traitées standard, dites « ancienne génération ». Cette tendance se généralise à travers l’Afrique et les MILDA PBO sont en cours de devenir la norme en matière de lutte anti vectorielle et de prévention du paludisme.
Depuis 2000, les efforts de prévention du paludisme ont collectivement sauvé 600 000 vies et évité plus de 100 millions de cas de paludisme chaque année. Dans une analyse de 2015, il a été démontré que les MILDA ont contribué à hauteur de 68% au nombre de cas de paludisme évités entre 2000 et 2015, soit 663 millions de cas, aux côtés des traitements combinés à base d’artemisine ou ACT et de la Pulvérisation Intra-domiciliaire (PID) qui ont contribué à hauteur de 22 % et 10 % respectivement.
L’OMS recommande l’utilisation des moustiquaires imprégnées d’insecticide à longue durée d’action PBO (butoxyde de pipéronyle) notamment dans les zones où les moustiques sont devenus résistants aux pyréthrinoïdes. Néanmoins, il est essentiel que les moustiquaires distribuées soient de la plus haute qualité, de la plus grande efficacité et de la plus longue durabilité possible. Or les MILDA avec PBO introduites sur le marché sont très hétérogènes dans leur composition et les différentes MILDA avec PBO n’ont pas toutes été évaluées sur la durée. Vestergaard, premier fabricant de MILDA PBO, était présent pour apporter un éclairage sur la technologie à l’œuvre dans les MILDA PBO et faire prendre conscience de l’importance des données de terrain pour confirmer l’efficacité des nouvelles moustiquaires contenant du PBO.
« Alors que l’on voit apparaitre sur le marché des moustiquaires PBO, un nombre varié de MILDA PBO au design et à la concentration en PBO très différents, - dont certaines fabriquées avec 10 fois moins de PBO que les produits ayant fait l’objet d’essais contrôlés et randomisés en conditions d’utilisation réelle -, tout un chacun se pose la question de leur efficacité sur la durée. Tandis que le déploiement des moustiquaires PBO suit son cours, il est essentiel que leurs performances soient étroitement surveillées car il n’y a actuellement aucune étude de terrain à long terme confirmant l’efficacité des moustiquaires à faible quantité de PBO », a déclaré Emmie Cacace, Responsable régionale Santé Publique chez Vestergaard. « Contrairement aux insecticides pyréthrinoïdes, le lavage n’est pas le principal facteur de perte de PBO. En effet, l’évaporation et l’utilisation quotidienne affectent beaucoup plus la concentration de PBO que le lavage au fil du temps. La capacité de conserver et contrôler la libération du PBO dans la formulation malgré les divers facteurs de perte est essentielle pour assurer une protection efficace tout au long de la durée de vie de la moustiquaire - telle était notre ambition lorsque la technologie de PermaNet® 3.0 a été développée »
La présence de la société civile à travers l’organisation Speak Up Africa a également permis d’apporter des pistes de réflexion sur le rôle de la société civile dans l’intensification de la lutte contre le paludisme et dans son implication dans la construction d’un système de contrôle qualité intégral pour que l’Afrique bénéficie de MILDA efficaces de qualité et puisse tirer pleinement parti des MILDA de nouvelle génération.
L’atelier d’échanges du 28 mai a été une opportunité importante pour tous les acteurs de la lutte contre le paludisme au Burkina Faso de faire le point sur le déploiement de ces nouvelles générations de moustiquaires et de réfléchir sur les critères qui permettent le déploiement de ces outils afin de garantir le plus grand impact possible sur les indicateurs du paludisme et sur la santé des populations.
« L’initiative HBHI correspond à une série de mesures d’amplification de la lutte contre le paludisme qui met l’accent sur une approche ciblée et différentiée en fonction des contextes. C’est dans le cadre de cette nouvelle approche que le Burkina Faso et ses partenaires ont procédé à la stratification des interventions contre le paludisme et généralisé le déploiement des MILDAs nouvelles générations PBO et IG2. Il est important de souligner les efforts déployés au Burkina pour façonner une approche intégrée de la lutte antivectorielle. Convaincu par les études d’impact de ces MILDAs en zones de résistance aux insecticides, le Burkina Faso, dont 100 % de la population est exposée au risque palustre, entre dans une nouvelle ère de la lutte antivectorielle », a déclaré le coordinateur du Programme national de lutte contre le Paludisme, Dr Gauthier Tougri.
En plus des MILDA PBO, il est également important de continuer à encourager l’innovation afin de faire face aux menaces émergentes des moustiques résistants aux insecticides. Vestergaard incite toutes les parties prenantes, publiques et privées, de la communauté de prévention du paludisme à travailler ensemble pour soutenir l'innovation et le déploiement rapide de moustiquaires durables, efficaces et de haute qualité sur le marché.
Les moustiquaires PermaNet 3.0 de Vestergaard répondent aux besoins des populations tout en respectant les spécifications de produit établies par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Vestergaard mise sur un programme de qualité rigoureux et un suivi régulier de la bio efficacité de ses MILDA pour assurer la qualité de ses moustiquaires. Vestergaard a également investi dans un programme de surveillance afin d’évaluer la performance de ses moustiquaires dans des conditions normales d’utilisation et jusqu’à la fin de vie du produit.
A propos de Vestergaard
Vestergaard fabrique des outils innovants et de haute qualité pour améliorer les résultats en matière de santé mondiale dans les pays à revenus faibles et intermédiaires principalement. Connue pour ses moustiquaires imprégnées d’insecticide à longue durée d’action (MILDA) PermaNet® destinées à prévenir le paludisme, l’entreprise a fabriqué et livré plus de 850 millions de PermaNet®, protégeant environ 1,6 milliard de vies dans les pays d'endémie palustre. D'autres initiatives de l'entreprise se concentrent sur la lutte contre les maladies tropicales négligées, la réduction de l'insécurité alimentaire grâce aux sacs de stockage ZeroFly® et l'utilisation de la technologie pour stimuler la prise de décision basée sur les données.
Fondée en 1957, la société est basée en Suisse, avec un bureau en Inde, un laboratoire de recherche et développement avec un insectarium au Ghana et un laboratoire de contrôle qualité au Vietnam.
Contact média :
Dr Sawadogo : +226 25 36 88 39/+226 70 95 86 67.
Pétition: Réforme du congé de maternité au Burkina Faso
Pétition: Réforme du congé de maternité au Burkina Faso
L’article 145 de la Loi N° 28-2008/AN portant Code du Travail au Burkina Faso prévoit pour la femme enceinte une durée de 14 semaines de congé de maternité dont au plus tôt 8 semaines (deux mois) et au plus tard 4 semaines (un mois) avant la date présumée de la délivrance.
Cette disposition prive de facto la femme enceinte de (au moins) 4 semaines de congés et l’oblige donc à trouver un mode de garde pour faire garder son enfant à 2 mois et demi de vie afin de retourner travailler.
Pourtant toutes les préconisations, qu'elles portent sur la santé physique ou psychologique du bébé, démontrent qu’une séparation précoce n’est jamais bon pour le développement d’un bébé et qu’il est nécessaire de maintenir le lien mère enfant bien après 2 mois et demi. En effet, concernant la santé physique, l'Organisme Mondial de la Santé, préconise un allaitement exclusif pendant 6 mois, puis jusqu'à 2 ans minimum en complément d'une alimentation solide[1].
L'allongement du congé de maternité aura un impact positif sur la santé publique ainsi que sur les dépenses liées à celle-ci.
Voilà quelques avantages d’un congé maternité post-natal de 28 semaines pour la société:
- Les enfants allaités 6 mois et au-delà auront globalement une meilleure santé;
- Un renforcement du lien mère-enfant, une séparation plus sereine lors de la fin du congé et donc un retour au travail plus productif pour la femme;
- Des salariées moins absentes au travail;
- Une augmentation du taux d'allaitement et de sa durée;
- Moins d'hospitalisations;
- Moins de dépenses de santé à court et long terme et
- Que la mère allaite ou non, un tout petit bébé a besoin du contact de ses parents et notamment de sa mère dans laquelle il a passé 9 mois.
C'est pourquoi, nous proposons que:
1- Le retrait préventif (obligatoire) de 8 semaines (deux mois) et au plus tard 4 semaines (un mois) avant la date présumée de la délivrance ne soit exigé que lorsqu’il est motivé par un certificat délivré par le médecin traitant;
2- La femme enceinte puisse choisir et bénéficier du régime de congés qui lui convient le mieux pour son épanouissement et celui de l’enfant:
o 14 semaines avec 100% de prestations
o 28 semaines composées de 14 premières semaines avec 100% de prestations et les 14 autres semaines avec des prestations réduites de 25% au maximum
Si vous aussi vous pensez que la durée légale du congé de maternité devrait être revue dans les 2 termes mentionnés ci-dessus, merci de signer cette pétition pour qu'ensemble nous puissions contribuer à faire changer les choses!
Les signatures recueillies seront envoyées au Président de l’Assemblée Nationale du Burkina.
Collectif pour un congé de maternité paisible !!
[1]https://www.who.int/topics/breastfeeding/fr/#:~:text=L'allaitement%20exclusif%20au%20sein,compl%C3%A9t%C3%A9%20par%20une%20autre%20alimentation
Cohésion sociale : lancement effectif de la première édition du Salon International de la Famille de Ouagadougou (SIFAO)
Cohésion sociale : lancement effectif de la première édition du Salon International de la Famille de Ouagadougou (SIFAO)
Une photo de famille pour immortaliser
Le Salon International de la Famille de Ouagadougou (SIFAO) a ouvert ses portes le jeudi 27 mai 2021 sous le thème « Vivre ensemble et cohésion sociale : Quelle contribution de la famille ». C’était dans l’enceinte du Palais de la Jeunesse Jean Pierre Guingané sous le Co-parrainage du Directeur de Cabinet de la Présidence du Faso, Seydou Zagré et l’Emir du Liptako.
Premier du genre, le SIFAO se veut un cadre d’échanges, d’apprentissage, de partages d’expériences en matière de droits, de valeurs de civisme pour un Burkina Faso de paix.
A la tête de cette initiative Madame Germaine Kafando/Kano, promotrice du salon s’est réjouie de sa tenue malgré le contexte. Selon elle, cette initiative veut contribuer à endiguer la déperdition de la jeunesse dans un contexte d’incivisme grandissant et de déviance de l’autorité de l’Etat. Epouse et mère de famille, elle pense qu’au vue de l’actualité nationale, les valeurs qui fondent la famille ainsi que l’éducation des enfants devraient être reconsidérées pour un meilleur vivre ensemble.
La Promotrice, Germaine Kafando/Kanko
Le Directeur de Cabinet de la Présidence du Faso, Dr Seydou Zagré, a salué l’initiative. Après avoir décrit le déclin des valeurs de la famille, il a interpellé les participants du SIFAO à se poser des questions pertinentes sur la famille du futur.
Le Directeur Général de la Famille Soumaïla Sakho, représentant du Ministre de la Femme, de la Famille, de la Solidarité et de l’Action Humanitaire, a salué la persévérance de la promotrice du SIFAO qui mérite d’être encouragé selon lui. A ses dires : « La famille est la cellule de base de la société. Elle permet de former les jeunes pour les permettre d’assurer leurs responsabilités de demain ».
Le Directeur Général de la Famille, Soumaïla Sakho
Madame Mariam Lamizana, marraine de cette édition a prodigué des bénédictions de pérennité et de bon vent au salon. Elle a invité la promotrice à faire preuve de résilience et de persévérance car cette initiative est d’une grande utilité pour la société burkinabè.
Le SIFAO se poursuit les 28 et 29 mai, avec des ateliers thématiques autour des thèmes sur comment inculquer les valeurs culturelles aux enfants, la gestion de la vie professionnelle sociale et familiale, le droit burkinabè et la protection familiale entre autres et une soirée gala.
Balguissa Sawadogo
Elites Femmes
John Christmas Yameogo et Dallas Sawadogo remportent le « hackathon de design et aménagement des espaces » de l’AUF au Burkina Faso
John Christmas Yameogo et Dallas Sawadogo remportent le « hackathon de design et aménagement des espaces » de l’AUF au Burkina Faso
COMMUNQIUE DE PRESSE
Ouagadougou, le mardi 25 mai 2021 | Dans une perspective de transformation de ses espaces en Bureaux nationaux, en Centres d’employabilité francophone (CEF) et en Campus numériques 5.0, la Direction Afrique de l’Ouest de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) a organisé, du 06 au 07 mai, en simultané dans huit pays de la sous-région, un hackathon de « design et aménagement des espaces ». Au Burkina Faso, l’équipe de M. John Christmas YAMEOGO a remporté le premier prix.
Organisé simultanément par l’AUF Afrique de l’Ouest à Abidjan, Bamako, Conakry, Cotonou, Dakar, Lomé, Ouagadougou et Nouakchott, ce concours a rencontré un vif intérêt. En effet, 72h après le lancement de l’appel à candidatures, 39 propositions ont été recueillies venant de 25 participants. La proposition de l’équipe de M. YAMEOGO s’est distinguée par sa pertinence, son originalité ainsi que ses qualités esthétiques. Son prix lui sera décerné ce mardi 25 mai dans les locaux de l’AUF Burkina Faso où il participera à une cérémonie hybride organisée simultanément dans les huit pays qui ont participé au concours, en présence de la Directrice régionale Afrique de l’Ouest de l’Agence universitaire de la Francophonie, le Professeur Ouidad TEBBAA
Un montant de trois cent mille francs CFA (300 000 FCFA) est attribué à l’équipe lauréate.
À propos de l’AUF
L’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) est le premier réseau universitaire au monde avec 990 établissements membres dans 118 pays, et 59 implantations réparties sur les cinq continents. Opérateur expert en recherche et savoir de la Francophonie créé il y a près de 60 ans, l’AUF intervient dans de nombreux domaines comme la formation, la recherche, le numérique, la gouvernance universitaire, l’entrepreneuriat et l’employabilité des étudiants, ou encore le développement durable. www.auf.org/afrique-ouest
Référentiel National de Développement 2021-2025 : ouverture officielle des assises nationales à Ouagadougou
Référentiel National de Développement 2021-2025 : ouverture officielle des assises nationales à Ouagadougou
Le Secrétariat Permanent du Plan National de Développement Economique et Social (SP/PNDES) a procédé le mardi 25 mai 2021 à l’ouverture officielle des assises nationales sur le Référentiel National de Développement (RND) 2021-2025, sous la présidence du Premier Ministre burkinabè, Christophe Joseph Marie Dabiré ainsi que sous la supervision de la troïka des partenaires techniques et financiers et en présence des acteurs du public et du privé.
Dans un contexte de multiples crises sociale, sécuritaire et économique, le Burkina Faso et ses partenaires veulent prendre le taureau par les cornes, à travers l’élaboration d’un nouveau référentiel de développement plus inclusif c’est-à-dire, regroupant l’ensemble des parties prenantes. C’est pourquoi depuis le lancement par le premier ministre Christophe Joseph Marie Dabiré, le 5 mars 2020 du processus d’élaboration du RND, plusieurs actions ont été inscrites. C’est le cas des rencontres techniques ainsi que l’étude sur l’impact des crises sur la mise en œuvre du PNDES 2016-2020 entre autres.
Promotion du genre au Burkina Faso : l’Association SAFE apporte sa partition au cours d’un dîner gala
Promotion du genre au Burkina Faso : l’Association SAFE apporte sa partition au cours d’un dîner gala
Dans le cadre du lancement officiel de ses activités, l’Association Synergie d’Action Femmes Engagées (SAFE) a organisé un diner gala le samedi 22 mai 2021. C’est un pari réussi, car cette soirée a permis à l’association d’étaler son plan ambitieux aux convives venues nombreux soutenir l'initiative.
Au cours de son discours, le Directeur de cabinet du Président du Faso, Dr Seydou ZAGRÉ par ailleurs patron de la soirée a d'abord félicité les femmes pour le travail déjà remarquable du point de vue qualitatif et a ensuite invité les responsables de SAFE à faire du leadership féminin un gage de contribution au développement socio-économique du Burkina Faso.
Par ailleurs, SAFE veut mettre « l’égalité femmes-hommes » de façon transversale au cœur de la politique de développement économique et social du Burkina Faso, en encourageant et encadrant une participation citoyenne active.
Pour sa présidente, Anita Hema, SAFE existe dans le but d’ajouter une touche au développement socioéconomique au Burkina Faso. « SAFE est une idée qui est née pour contribuer au développement économique et social du pays à travers la promotion de l’équité du genre ».
Les femmes ont pris l'engagement, de mettre en œuvre des actions concrètes afin de faire la promotion du genre et ainsi défendre les droits de la femme.
Adja Ilboudo
Elites Femmes
Réduction de la pauvreté : l’expérience de la Chine fait ses preuves au Burkina
Réduction de la pauvreté : l’expérience de la Chine fait ses preuves au Burkina
De notre partenaire TingNews – Comme on le sait désormais, la Chine est parvenue à réduire considérablement, voire éliminer, la pauvreté sur son sol, prouvant ainsi aux yeux des autres nations que la pauvreté n’est pas irréversible. Elle a aussi réalisé l’auto-suffisance alimentaire.
L’une des mesures qu’elle a prises pour assurer la sécurité alimentaire est la pratique des cultures vivrières en toutes saisons avec des variétés améliorées. Ce sont ces techniques que des experts chinois du centre pour le développement de l’agriculture verte Chine-Burkina Faso veulent expérimenter dans notre pays en vue de contribuer à l’auto-suffisance alimentaire au pays des Hommes intègres.
Les différentes démonstrations de la culture de riz en saison sèche et avec des variétés améliorées se déroulent dans la région des Hauts-Bassins précisément avec le groupement des producteurs de riz de Bama, en collaboration avec le programme de coopération agricole Burkina Faso/Chine et la direction régionale de l’agriculture et des aménagements hydro-agricoles des Hauts-Bassins
Selon le secrétaire général de ce centre, Xu Guoxin que nous avons pu rencontrer, les experts chinois entendent aider les producteurs burkinabé à pratiquer la culture du riz pendant la saison sèche de 2020 à 2021 et à promouvoir des variétés de riz améliorés pour augmenter leurs revenus et réduire la pauvreté.
Le projet porté par les Chinois à travers le centre pour le développement de l’agriculture verte Chine-Burkina Faso est bien apprécié par les parties prenantes à savoir le groupement des producteurs de riz de Bama, le programme de coopération agricole Burkina Faso/Chine et la direction régionale de l’agriculture et des aménagements hydro-agricoles des Hauts-Bassins.
L’accord de collaboration signé entre toutes les parties identifiées pour la mise en œuvre du projet de culture riz en saison sèche indique clairement que les Chinois vont apporter aux producteurs burkinabé 1 000 kg de semence de base de riz, 4 tonnes de NPK, 3 tonnes d’urée nécessaire à l’exploitation de 20 ha dans le site de Bama pour la production de riz et une subvention financière pour l’achat de matériels de production et d’autres dépenses.
Aussi, ils s’engagent à organiser des sessions de formation à l’attention de la direction régionale de l’agriculture et des aménagements hydro-agricoles des Hauts-Bassins et du groupement des producteurs de riz de Bama et renforceront les capacités techniques du programme de coopération agricole Burkina Faso/Chine en matière de production de riz. Le centre promet fournir autres services et l’assistance technique nécessaire dans la mesure de ses capacités.
De son côté, la coordination du projet agricole du Burkina s’engage à coordonner la coopération entre les différentes parties, organiser des visites commentées conjointes et évaluer le rendement et la mise en œuvre du projet sur l’augmentation des revenus et la réduction de la pauvreté des producteurs et soumettre les rapports pertinents sur les effets de la mise en œuvre aux experts chinois du centre pour le développement de l’agriculture verte Chine-Burkina Faso dans les deux mois suivant la fin de la récolte.
C’est dans ce sens également que la direction régionale de l’agriculture et des aménagements hydro-agricoles des Hauts-Bassins entend manifester sa collaboration avec la partie chinoise.
Ainsi, elle va organiser la distribution des semences fournies par les experts chinois aux producteurs sur une superficie de 20 ha, et elle fera des comptes rendus périodiques de l’évolution du riz sur le terrain au moyen d’images et de rapports de suivi. Elle va aussi aider le programme de coopération agricole Burkina Faso/Chine à évaluer la mise en œuvre du projet sur ‘augmentation des revenus et la réduction de la pauvreté des producteurs participants
La réussite de ce projet va contribuer à améliorer la qualité de vie des producteurs et de leurs familles. Pour cela, ces derniers s’engagent à produire le riz selon les indications des experts chinois, à supporter les risques liés à la production du riz et à promouvoir la diffusion de la technologie apprise et les variétés améliorées et accompagner les visites d’évaluation du rendement du projet.
Un des agriculteurs qui a participé à ce projet nous a fait ce témoignage : « le rendement a été grandement amélioré en utilisant les semences améliorées et la technologie fournie par le centre, et le rendement moyen peut atteindre 6,3 tonnes par hectare, ce qui est plus de 50% plus élevé que le rendement moyen du riz, ce qui a considérablement augmenté nos revenus et a grandement encouragé la confiance de l’ensemble des producteurs. Nous exprimons notre gratitude au centre pour le développement de l’agriculture verte Chine-Burkina Faso pour son aide et son soutien. J’espère que ce centre pourra continuer à fournir plus d’aide au développement de l’industrie rizicole au Burkina Faso. Nous voulons remercier le gouvernement chinois pour son dévouement et son assistance sans cesse désintéressés au Burkina Faso, et souhaiter que les relations entre la Chine et le Burkina Faso s’améliorent de plus en plus! »
Chine Magazine
Journée Internationale des Familles : Le message de Hélène Marchal
Journée Internationale des Familles : Le message de Hélène Marchal
La communauté internationale commémore le 15 mai de chaque année la Journée Internationale des Familles (JIF) laquelle a été consacrée par la résolution 47/237 du 20 septembre 1993 de l’Assemblée Générale des Nations Unies.
Cette commémoration nous offre l’opportunité de nous pencher de façon particulière sur les questions liées à la famille et d’accroître la connaissance des enjeux sociaux, économiques et démographiques qui affectent cette cellule sociale de base.
Cette année, au plan international, la commémoration de la JIF est placée sous le thème : « Familles et nouvelles technologies ». Par ce thème, la Communauté internationale nous invite à la réflexion sur l’apport des nouvelles technologies au bien-être des familles ; sans oublier que la pandémie de la COVID-19 a accéléré les changements technologiques qui étaient déjà en cours tant dans la société, que dans les domaines de l’éducation, de la communication, etc.
Notre pays commémore ce 15 mai 2021, la 27ème édition de la JIF dans un contexte où l’École burkinabè, vivier de l’apprentissage de nos enfants, est fortement éprouvée. Au regard de cette situation, le Burkina Faso a choisi de commémorer cette 27ème édition sous le thème : « Rôles et responsabilités des familles face aux dangers qui menacent l’École burkinabè ».
En effet, l’École qui est censée assurer l’instruction des enfants, n’arrive plus à jouer pleinement son rôle de nos jours. La discipline, l’ardeur au travail et les bonnes mœurs qui constituaient jadis les valeurs cardinales de l’École se sont beaucoup amenuisées. Nous assistons à l’exposition des élèves à de nombreux fléaux tels que la délinquance, la toxicomanie, les relations sexuelles précoces, la violence, l’incivisme, la défiance de l’autorité, la mauvaise utilisation des technologies de l’information et de la communication les exposant à de nombreux risques.
Par ailleurs, il est reconnu que de nombreux parents n’assument plus suffisamment leurs responsabilités parentales en matière d’éducation. En effet, les difficultés de la vie et la recherche effrénée du gain deviennent des préoccupations majeures pour les parents. L’éducation devient donc une préoccupation de second plan, avec pour corollaire des enfants laissés à eux-mêmes. Ainsi, l’École serait devenue pour certains parents, un exutoire leur permettant de se détourner de leurs obligations.
A l’analyse, les dangers qui menacent l’École trouvent en partie leur source dans les familles et sont le fait de l’action ou de l’inaction de leurs membres.
Face à cette situation, il est plus qu’urgent que la famille assume son rôle d’actrice clé de la vie scolaire. Il lui revient d’inculquer aux enfants les valeurs fondamentales de la vie en société tels que la discipline, le civisme, le respect des ainés, des enseignants et le patriotisme.
Les familles doivent jouer un rôle prépondérant dans l’accompagnement des enseignants tout au long des processus d’apprentissage des enfants.
Aussi, les membres de la famille devront-ils prendre conscience que les enfants sont de fins imitateurs de nos moindres actes. En effet, les insultes, les bagarres et les manquements de toutes sortes sont transmis à l’enfant dans son milieu de vie. A cet égard, il nous revient de donner à nos enfants une éducation par l’exemple.
J’invite donc les leaders coutumiers et religieux, les acteurs/actrices du monde éducatif et la population d’une manière générale, à plus d’accompagnement des familles afin que soit assurée à nos enfants, une éducation de qualité, vivifiante inclusive et qui leur assure un développement harmonieux.
Je lance aussi solennellement, en cette journée commémorative, un appel aux familles à plus de responsabilités et d’attentions à l’égard de l’École en vue de l’édification d’une société meilleure et solidaire.
Bonne commémoration de la Journée Internationale des Familles à toutes et à tous !
Que Dieu bénisse le Burkina Faso !
Hélène Marie Laurence ILBOUDO/MARCHAL
Officier de l’Ordre de l’Étalon