Angelina Jolie célèbre la Journée mondiale du réfugié avec des réfugiés au Burkina Faso

Angelina Jolie célèbre la Journée mondiale du réfugié avec des réfugiés au Burkina Faso

 

Angelina Jolie, l’Envoyée spéciale du HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, est au Burkina Faso pour la Journée mondiale du réfugié afin d’attirer l’attention sur la situation d’urgence à la croissance la plus rapide au monde. Les déplacements forcés ont doublé en un an seulement.

 

Le Burkina Faso est sévèrement touché par la crise actuelle de déplacement forcé dans la région du Sahel, en Afrique occidentale et centrale. Plus de 1,2 million de personnes ont été contraintes de fuir leurs foyers depuis 2019. Il y a tout juste deux semaines, 138 personnes d’un village ont été exécutées par des hommes armés qui ont fait irruption dans leur village, Solhaln, au milieu de la nuit. Il s’agissait de l’attaque la plus meurtrière dans le pays depuis plus de six ans. L’opération du HCR au Burkina Faso demeure sévèrement sous-financée, avec seulement 22% des fonds reçus par rapport au montant recherché.

Hier, à Kaya, l’Envoyée spéciale a rencontré des personnes déplacées internes au Burkina Faso. Aujourd’hui, elle a célébré la Journée mondiale du réfugié aux côtés des réfugiés maliens dans le camp de Goudoubo.

S’exprimant depuis le camp, l’Envoyée spéciale a rendu hommage au courage et à la résilience des réfugiés. Elle a lancé une mise en garde contre les conséquences désastreuses de la hausse du nombre de personnes déracinées depuis neuf années consécutives à travers le monde. Après ses vingt années passées à l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, elle a déclaré qu’elle n’avait « jamais été aussi inquiète » concernant la situation des déplacements forcés à travers le monde.

« Nous devons prendre conscience de la voie sur laquelle nous sommes engagés au niveau mondial », a déclaré l’Envoyée spéciale, « avec un si grand nombre de conflits qui font rage et la possibilité bien réelle que le changement climatique oblige des dizaines, voire des centaines de millions de personnes à quitter leur foyer à l’avenir, sans possibilité de retour. »

« La façon dont la communauté internationale tente de remédier aux conflits et à l’insécurité ne fonctionne pas », a-t-elle ajouté. « Elle est erratique, elle est inéquitable, elle est fondée sur des privilèges hérités, elle est sujette aux caprices des dirigeants politiques, et elle est guidée par les intérêts de pays puissants. »

Elle a appelé la communauté internationale à se concentrer sur la recherche de solutions pour réduire le nombre de réfugiés à travers le monde, en indiquant : « La vérité, c’est que nous ne faisons pas la moitié de ce que nous pourrions et devrions faire pour trouver des solutions permettant aux réfugiés de rentrer chez eux - ou pour apporter notre appui aux pays d’accueil, comme le Burkina Faso. »

Cliquez ici pour lire la version intégrale des remarques de l’Envoyée spéciale.

Source : UNHCR

 

 

Examens scolaires : le ministre Stanislas Ouaro solidaire aux élèves déplacés

Examens scolaires :  le ministre Stanislas Ouaro solidaire aux élèves déplacés 

 

A l’occasion des examens scolaires qui commencent aujourd’hui 22 juin 2021, le ministre de l’Education nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des langues nationales, Pr Stanislas Ouaro, exhorte les élèves à être ponctuels, pondérés, attentifs, disciplinés et honnêtes.

Je voudrais saisir l’occasion du début des épreuves écrites des examens du CEP, du CAP, du BEPC et du BEP ce 22 juin 2021, pour souhaiter un bon déroulement de la session de 2021 et plein succès aux 769 629 candidats répartis sur l’ensemble du pays.

 

En effet:

Au Certificat d’Études Primaires (CEP), il y a, à cette session de 2021, 450 502 inscrits avec 54% de filles contre 441 027 candidats la session précédente d’où, un accroissement de 02,15%.

 

Au Brevet d’Études du Premier Cycle (BEPC), les inscrits à la session de 2021 sont au nombre de 301 357 dont 55,99% de filles. On note une régression par rapport à 2020 ou on avait enregistré 317 466 candidats inscrits soit une baisse de 05,07% (représentant 16 109 candidats en moins).

 

Aux examens de l’Enseignement et la Formation Techniques et Professionnels (EFTP), Brevet d’Etudes Professionnelles (BEP) et Certificat d’Aptitude Professionnelle(CAP), il y a 17770 inscrits à cette session (avec 37,95% filles et 62,05% de garçons) contre 15 409 la session précédente. On note donc un accroissement de 15,31% par rapport à la session précédente.

Les candidats qui se présentent au BEP sont au nombre 10762 (soit 60,56%) contre 7008 (Soit 39,44%) au CAP.

 

Cette année encore, ces examens scolaires se dérouleront dans un contexte de crise sécuritaire liée aux attaques terroristes et de crise sanitaire liée à la pandémie de la COVID-19.

 

Je voudrais donc saluer l’engagement de tous les acteurs et partenaires de l’éducation qui nous permet d’organiser lesdits examens malgré ce contexte difficile. Les personnels administratifs, les enseignants, les élèves, les parents d’élèves, les organisations syndicales, les leaders coutumiers et religieux, tous ensemble, nous avons démontré, une fois de plus, que le Burkina Faso continuera de rester debout et d’avancer malgré l’adversité. Aussi, je fais une mention spéciale aux Forces de Défense et de Sécurité (FDS) pour l’accompagnement dans la sécurisation desdits examens.

 

Pour cette session, un nouveau logiciel « Système Intégré de Gestion des Examens et Concours, (SIGEC) » sera déployé sur 4 sites pilotes (les régions du Centre, de la Boucle du Mouhoun, du Centre-Nord, et des Cascades). Cette nouvelle application prend en charge tout le processus allant des inscriptions jusqu’à la délivrance des diplômes.

 

Mes sincères félicitations et remerciements à toutes et à tous, à chacune et à chacun.

 

Pour cette session de 2021, l’enveloppe financière allouée par le Budget de l’Etat aux examens de la session de 2021 s’élève à 16 826 673 000 F CFA avec un montant de 15 778 947 000 FCFA transféré directement aux directions régionales et provinciales et un montant de 1 047 726 000 FCFA à la Direction générale des Examens et Concours.

 

J’en appelle, une fois de plus à la mobilisation de toutes et de tous pour la réussite de ces examens scolaires. Ces évaluations qui sanctionnent un parcours de plusieurs années d’études permettent le passage d’un cycle d’enseignement à un autre. C’est dire combien la bonne organisation et les résultats desdits examens sont importants pour la crédibilité de notre système éducatif. C’est pourquoi, malgré les contraintes budgétaires occasionnées par les crises sécuritaire et sanitaire, le Gouvernement ne ménage donc aucun effort pour mobiliser les ressources humaines, matérielles et financières pour relever le défi de son organisation.

 

A tous les acteurs impliqués dans l’organisation des examens, je voudrais pouvoir compter sur les qualités dont vous avez fait montre de par le passé que sont la probité, le sens des responsabilités et la vigilance, pour une fois de plus organiser une session irréprochable.

 

J’ai une pensée particulière pour tous les élèves déplacés et pour tous ceux qui, malgré les conditions sécuritaires et climatiques difficiles, bravent les menaces et les intempéries pour permettre à l’école burkinabè d’être résiliente et performante.

 

Je voudrais que l’on garde le souvenir de la disparition tragique de nos compatriotes lors d’une mission de supervision des examens scolaires de la session de 2020 à Boudry dans la province du Ganzourgou.

 

J’ai également une pensée pieuse à l’endroit de toutes les victimes du terrorisme, de la pandémie de la COVID-19 et à l’endroit de tous ceux qui ont été arrachés à notre affection durant cette année scolaire 2020-2021.

 

Chères candidates, chers candidats,

 

De vous, j’attends un comportement responsable pendant le déroulement des examens. Soyez ponctuels, pondérés, attentifs, disciplinés et honnêtes. C’est ainsi que vous allez vous montrer à la hauteur des grandes espérances que vos parents, vos enseignants et la nation toute entière placent en vous.

 

Ayez confiance en vous et donnez le meilleur de vous-même. Moi j’ai confiance en vous chers élèves et je suis persuadé que vous ferrez de bons résultats à ces examens.

 

A toutes et à tous, je souhaite une bonne session 2021. Aux candidates et aux candidats, mes vœux sincères de succès vous accompagnent.

 

Vive l’école burkinabè !

 

Que Dieu bénisse le Burkina Faso !

 

Pr Stanislas Ouaro,

Ministre de l’Education nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues nationales.

 

Lutte contre l’insécurité urbaine : Six présumés délinquants mis aux arrêts par la Police Nationale.

Lutte contre l’insécurité urbaine : Six présumés délinquants mis aux arrêts par la Police Nationale.

Dans sa quête permanente d’assurer la sécurité des personnes et des biens, la Police Nationale, précisément le Commissariat de Police de l’Arrondissement (CPA) de Nongr-Mâasom de la ville de Ouagadougou, vient de démanteler un réseau de présumés délinquants.

 Ces malfrats s’étaient spécialisés dans la commission de plusieurs infractions, notamment les bris de scellés, le vol et l’altération de balises de transit de câbles électroniques, la fraude de marchandises, le faux et usage de faux en écriture publique et contrefaçon des sceaux de l’Etat.

En effet, tout est parti des plaintes de la Direction Générale des Douanes du Burkina Faso et de la société COTECNA Sarl Burkina, déposées le 25 mai 2021 auprès de la Brigade de Recherches et d’Intervention du CPA de Nongr-Mâasom pour les infractions précitées.

A l’issue des investigations, et grâce à la collaboration des populations, six (06) individus composant la bande, ont été interpellés. Plusieurs objets ont été saisis entre leurs mains dont des balises de transit, un lot de documents composé d’états de chargement, divers documents de Douanes et du Conseil Burkinabé des Chargeurs, des bordereaux de sortie de la Chambre de Commerce, des cachets contrefaits, et divers autres objets.

Le groupe agissait suivant deux modes opératoires. Premièrement, les membres approchaient leurs victimes afin d’obtenir les frais de transit de leurs marchandises. Par l’intermédiaire de leur chef qui possède des documents de Douanes contrefaits, ils convoyaient les conteneurs ou camions depuis les frontières nationales jusqu’à l’espace du projet ZACA ou à la cité ASECNA de Ouagadougou, tout en prenant soin de vandaliser les balises préalablement installées par la société COTECNA Sarl Burkina.

Ensuite, ces mêmes individus utilisaient des bordereaux de sortie et autres documents contrefaits pour soustraire les conteneurs ou les camions des formalités douanières, avant de les livrer à leurs commanditaires, et ce, après avoir vandalisé les équipements électroniques. Il ressort que plus de cinq (05) conteneurs ont pu être convoyés et les montants perçus varient entre 3.500.000 FCFA et 9.000.000 FCFA. La Douane et la société COTECNA ont évalué les pertes engendrées par ces pratiques à plus d'un (01) milliard de FCFA.

A l’issue des investigations policières, les délinquants ont été conduits au parquet près le Tribunal de Grande Instance de Ouagadougou (TGI).

La Police Nationale tout en remerciant la population, pour sa collaboration, l’invite toujours à dénoncer tout cas suspect aux numéros verts mis à sa disposition :17,16,1010.

 

La Police Nationale, une force publique au service des citoyens !

 

Burkina Faso : De plus en plus de cas d'agressions sexuelles sur des mineurs

Burkina Faso : De plus en plus de cas d'agressions sexuelles sur des mineurs

Les faits se sont passés dans un quartier de Ouagadougou. Le viol est commis sur deux fillettes de 10 ans de la classe de CM1 et CE2.

 

Un homme ayant la trentaine révolue, vivant en couple avec une femme est impliqué dans des cas de viols sur des filles mineures. Ce monsieur dont la femme serait en province, abusait sexuellement des fillettes de son voisinage, dont l’âge ne dépasse pas 10 ans en l'absence de son épouse.

Selon les faits racontés par la première victime, l’adulte l’a un jour interpellée de retour d’une boutique, où elle avait été envoyée par sa maman. L’adulte, l’ayant interceptée sur le chemin, la renvoya chez lui pour chercher une pince dans sa cour, chose que la fillette de 10 ans, accepta.  La fillette arriva dans la cour mais ne vit pas de pince. L’homme arriva au même moment et lui dit de rentrer dans sa chambre, que la pince doit être sous son lit. Ignorant tout du plan de l’homme, la fillette entra dans la chambre du monsieur. Alors, l’homme se précipita dans la chambre et referma sa porte.  Une fois à l’intérieur, il menaça la fille de ne pas crier au risque de lui faire du mal.

Il traina la fillette dans son lit et abusa d’elle sexuellement. Après son forfait, il donna des injonctions à la fillette de ne jamais révéler ça à ses parents. Ce fut le premier cas de viol sur cette dernière. Par la suite, l’acte s’est répété, puis devenu une habitude entre les deux. Il faut noter qu’auparavant, la fillette partait s’amuser dans la cour du monsieur chaque fois que sa femme était là.

Un jour la fillette était couchée à la maison et sa tante constata qu’il y’avait un liquide qui coulait de son vagin. Interrogée, la fillette ne donna pas de réponse. Mais avant ça, sa maman avait constaté un changement de comportement en elle, sa démarche également n’était pas la même. La fillette, s’était rétractée et rejetait tout en bloc.

Au vu de la gravité du constat et de la pression des parents, la fillette décida alors de raconter les faits en dénonçant l’auteur de ses blessures vaginales. Le diagnostic d’un gynécologue a permis de confirmer le viol.

En outre, le même auteur entretenait d’autre rapport avec une première fillette dans la discrétion. C’est donc le deuxième cas qui a révélé le premier.

Plusieurs cas de viol sont signalés dans nos brigades. La plus jeune victime est une fillette de trois (03) ans.

Les élèves sont fortement impliqués dans les cas d’abus sexuels. Certains se permettent de séquestrer d’autres filles mineures et font venir des adultes pour entretenir des rapports sexuels avec ces dernières.  Ces adultes en contrepartie, donnent de l’argent qui est reparti entre eux.

Nos unités sont disponibles pour vous accompagner.

N'hésitez pas à vous rendre à la Brigade de Gendarmerie ou le Commissariat de Police le plus proche ou à nous contacter sur nos numéros d'urgence : 16, 17 et 1010.

La Gendarmerie Nationale, une force humaine à votre service.

IAMGOLD et ses partenaires renforcent l'approvisionnement en eau potable de la ville de Dori, au Burkina Faso

IAMGOLD et ses partenaires renforcent l'approvisionnement en eau potable de la ville de Dori, au Burkina Faso

Le jeudi 3 juin 2021, le gouverneur de la région du Sahel (hôte du site minier d'Essakane d'IAMGOLD), Salfo Kabore, accompagné de l'ambassadrice du Canada, Carol McQueen , du vice-président principal, Exploitations et projets, d'IAMGOLD Corporation, Bruno Lemelin, du directeur général d'IAMGOLD ESSAKANE SA, Mohamed Ourriban, du député maire de Dori, Aziz Diallo, ainsi que du directeur général de l'Office national de l'eau et de l'assainissement (ONEA),G. Frédéric François Kabore,ont inauguré la station de traitement d'eau potable construite sur les rives du barrage de Yakouta.

Financée par le gouvernement canadien, IAMGOLD et la Fondation One Drop, dans le cadre du projet Eau et croissance économique durable ECED/Sahel phase 1 (2015-2019), cette station de production d'eau potable est désormais livrée à l'ONEA, structure nationale chargée de la gestion de l'eau au Burkina Faso a annoncé la société dans un communiqué de presse.

La réalisation de ce projet mis en œuvre par Cowater International a couté plus de 7 milliards de F CFA (17 millions $ CA). Elle vient ainsi renforcer les capacités d'alimentation en eau potable de plus de 60 000 habitants et de 13 communautés environnantes connectés au réseau de l'ONEA, donc un meilleur approvisionnement de la ville de Dori, capitale de la région du Sahel.

Les travaux réalisés dans le cadre de la première phase du projet ECED/Sahel comprennent la construction d'infrastructures dont cette station de traitement d'une capacité de 230 m3/h.

ECED Sahel est un projet multisectoriel qui est intervenu dans les secteurs de l'approvisionnement en eau potable ; l'assainissement, l'agriculture et la gouvernance dans les communes riveraines de la mine Essakane, à savoir Dori, Gorom-Gorom et Falagountou. Il vise à répondre à un besoin critique d'eau dans cette région aride et sujette à la sècheresse.

Ravi, le député maire, Aziz Diallo, a témoigné au nom des populations sa gratitude pour la réalisation de cette infrastructure qui permettra l'accès à l'eau potable qui est une denrée rare et précieuse au Sahel, d'où l'appellation « or bleu ».

Lors de son allocution au nom d'IAMGOLD, Bruno Lemelin s'est dit très fier que l'entreprise ait pu contribuer et mobiliser ses partenaires pour le financement de ce projet majeur pour les populations du Sahel.

Pour Carol McQueen, l'ambassadrice du Canada, c'est un projet structurant et catalyseur qui change la vie des gens et qui leur permet de s'épanouir. Il va durer longtemps et va transformer profondément la vie des populations.

 

Adja Ilboudo

Elites Femmes

Atelier de partage de résultat du projet de recherche InterGenre-UEMOA

Atelier de partage de résultat du projet de recherche InterGenre-UEMOA

Depuis avril 2018 et sur financement du Centre de Recherches pour le Développement International (CRDI), le Groupe de Recherche et d’Analyse Appliquées pour le Développement (GRAAD Burkina) met en œuvre le projet de recherche intitulé "Intégration régionale, amélioration de la situation économique de la femme et transformation des relations de genre dans l’espace UEMOA", en abrégé Projet InterGenre-UEMOA.

Après trois (03) ans de travaux, le GRAAD fait le point de l’exécution du projet et présente les principaux résultats en fin de parcours, à travers un atelier, qui se tient le 18 juin 2021 au Centre National du Cardinal Paul Zoungrana (CNCPZ) de Ouagadougou.

 

ANNONCE: Cours de vacances -ANGLAIS

ANNONCE: Cours de vacances -ANGLAIS

 

Pour vous aider à améliorer votre pratique de l’anglais, à prendre votre envol, l’Agence Racine Communication vous propose deux sessions de formation, successivement en juillet et en août prochain. Outre la qualité de la formation, les participants auront droit à des attestations. 

 

Burkina Faso : lancement officiel du déploiement national du projet d’insertion économique des veuves et orphelins des militaires tombés au front dénommé Go Paga

Burkina Faso : lancement officiel du déploiement national du projet d’insertion économique des veuves et orphelins des militaires tombés au front dénommé Go Paga

 

Go Paga est un projet  d’insertion économique des veuves et orphelins des militaires tombés au front. Lancée en février 2021, la phase pilote qui a été réalisée avec 7 veuves et une orpheline des hommes de l’unité spéciale d’intervention de la Gendarmerie Nationale, a connu un succès. D’où le lancement officiel du déploiement national du projet, le vendredi 4 juin 2021, au cours d’une cérémonie tenue dans l’enceinte du Mess  des Officiers à Ouagadougou. 

 

                                                                               Madame Fadima Kambou, Promotrice du Projet Go Paga

Depuis 2015, le Burkina Faso fait face à des attaques terroristes récurrentes entrainant  des pertes en vies humaines de civils et de militaires. Pour ces derniers, la phase pilote du projet Go Paga  a permis de déterminer des données liées aux besoins spécifiques des épouses et des orphelins de ces militaires.

Pour la marraine de la cérémonie, Aïssatou Minoungou, épouse du Chef d’Etat-major Général des Armées, les hommes qui sont au front doivent pouvoir compter sur une base arrière forte et résiliente à savoir les femmes et les familles. Pour se faire, il faut savoir panser les plaies parfois invisibles, de combattantes de l’arrière-plan que sont les femmes. « Et ces plaies je voulais évoquer sont les chocs psychologiques, l’affliction, le découragement, la pauvreté » a-t-elle souligné. Selon elle, le devoir de solidarité invite à honorer la mémoire des soldats tombés au front pour la nation en ouvrant à l’autonomisation de leurs veuves et de leurs orphelins.

Selon la promotrice du projet Go Paga, Fadima Kambou, l’idée d’une telle initiative est née suite à des échanges entre elle et sa voisine, épouse de militaire au front. Elle raconte : « Après une attaque au Nord du pays, je me suis souciée pour ma voisine qui est mariée à un militaire. Elle n’avait pas de nouvelle de son mari à mon arrivée et elle s’inquiétait. Quand je l’ai observée,  la tristesse dans ses yeux et ceux de ses enfants, je me suis dit qu’il fallait  faire quelque chose  pour les femmes des militaires. C’est ainsi que j’ai engagé des démarches auprès de la Gendarmerie Nationale et de certains partenaires afin de mettre en place Go Paga. »

Go Paga est un accompagnement pour une autonomie complète des veuves et orphélins

Malgré l’émotion visible provoquée sans doute par la situation des veuves et orphelins des militaires tombés au front, la Promotrice de Go Paga  Fadima Kambou,  ne cachait pas sa joie pour ce premier coup de maître. Elle confie,  que la phase pilote du projet a permis d’obtenir un an de couverture santé pour chaque veuve et orphelin grâce à l’accompagnement de Yellen Assurance. Au titre des acquis, il y a également une formation professionnelle au profit des veuves afin de développer leur employabilité, une formation et une dotation en matériel pour des activités génératrices de revenus, l’apprentissage à la gestion des finances, le suivi psychologique et l’accompagnement juridique.

Pour appuyer cela, dans une vidéo projetée au cours de la cérémonie, Madame Loreta, une veuve bénéficiaire du projet Go Paga témoigne : « La Loretta d’avant était réservée et timide, la Loretta d’aujourd’hui elle est, je peux dire épanouie. Je pense que le projet nous aide à aller de l’avant, il nous soutient moralement(…) Ce qui m’a convaincue (de  faire le programme) c’est le faire pour ma fille.»

Satisfait des résultats de cette phase pilote du projet Go Paga, le Commandant du Groupement Central des Armées, Colonel Major Oumarou Sawadogo représentant le Chef d’Etat-major Général des Armées, le Général de Brigade Moise Minoungou a donné le clic de lancement officiel du déploiement national du projet d’insertion économique   des pupilles de la nation dénommé Go Paga.

La cérémonie a pris fin avec des remises de trophées aux partenaires qui ont cru au projet. 

Balguissa Sawadogo

Elites Femmes

Weownomy : le nouveau réseau social qui surpasse Facebook

Weownomy : le nouveau réseau social qui surpasse Facebook

Weownomy, la nouvelle plateforme de réseau social, n’envahira pas votre vie privée et vous offrira une expérience plus sécurisée que Facebook. C’est l’avis en tous cas de ses concepteurs.

La caractéristique essentielle de Weownomy, c’est que ses utilisateurs en seront aussi les propriétaires. Il n’y aura pas d’investisseurs externes, donc le contenu et les données du site resteront sous le contrôle des utilisateurs. Facebook, c’est le réseau social que nous avons tous fini par adorer et détester. Nous l’adorons parce qu’il nous relie à nos amis, à notre famille, à nos collègues, à nos camarades de classe, etc. Mais nous le haïssons à cause des nombreuses violations de la vie privée dont il s’est rendu coupable au fil du temps. Weownomy promet de faire mieux que Facebook dans absolument tous les domaines. Fini l’objectif visant uniquement à générer des revenus publicitaires : Weownomy sera associé à une banque numérique appartenant aux utilisateurs, ce qui permettra à chacun d’eux de monétiser son activité en ligne.

Weownomy, la nouvelle plateforme de réseau social, n’envahira pas votre vie privée et vous offrira une expérience plus sécurisée que Facebook, à laquelle on pourra accéder via n’importe quel navigateur. Weownomy offre les mêmes fonctionnalités que Facebook, mais sans que vous soyez obligé de renoncer à la confidentialité de vos données personnelles par crainte d’un piratage ou de perdre le contrôle des données de votre compte.

Weownomy promet de faire mieux que Facebook, et pour cause. Les utilisateurs de la nouvelle plateforme de réseau social disposeront d’un plus grand contrôle sur leurs données personnelles, parce qu’ils auront la possibilité de décider qui peut voir quels messages et même de les configurer de manière à les rendre invisibles pour certaines personnes.

 

Les médias sociaux sont devenus des acteurs incontournables de notre monde moderne. Facebook, le plus important d’entre eux, est devenu la plaque tournante de tous ceux qui veulent interagir avec les autres et partager leur vie en ligne. C’est évidemment très pratique. Cependant, la concentration d’un tel pouvoir entre les mains d’une seule entreprise suscite des inquiétudes qui ne peuvent être négligées. Weownomy envisage de remplacer Facebook, non seulement en étant plus accessible, mais aussi en proposant à ses utilisateurs d’acquérir une participation dans le réseau et d’en devenir ainsi les propriétaires du contenu et des services financiers : un système qui, selon nous, conduira à créer de la valeur à long terme pour les utilisateurs.

 

Facebook a connu récemment de nombreux problèmes. Et tandis que la colère grondait contre Facebook, Weownomy développait tranquillement un meilleur réseau social présentant une différence très simple : ses utilisateurs en seront aussi les propriétaires. Ses développeurs viennent d’annoncer sa mise en ligne à l’échelle mondiale en mai 2022 et l’on commence à en savoir davantage sur ce nouveau site de réseautage social conçu pour résoudre les problèmes qui accablent Facebook. À la mi décembre 2021, le site lancera une version beta privée qui sera testée par 2 000 utilisateurs.

 

La nouvelle plateforme offrira les mêmes fonctionnalités que Facebook, mais les utilisateurs verront leurs contenus et leurs interactions déposés sur le site récompensés en pièces d’or de la nouvelle monnaie sociale, les « weowns ». Ces pièces d’or peuvent être utilisées pour acheter des biens et des services numériques sur la place de marché ou la banque en ligne de Weownomy.

 

 

Weownomy a été créé pour répondre aux problèmes de sécurité, de confidentialité, d’infox et de manipulation algorithmique que connaissent les réseaux populaires actuels. Weownomy est un site web tout-en-un pour les personnes de tout âge et de tout milieu, qui y trouveront toutes sortes d’opportunités : divertissement, éducation, transactions financières (banque électronique), amitiés, rencontres (dating), bref, tout ce que vous pouvez attendre d’un réseau social !

 

 

Weownomy est un nouveau réseau social qui fournit aux utilisateurs un business model qu’ils peuvent posséder, leur donnant ainsi l’opportunité de contrôler leurs données et d’être exonérés de frais transactionnels sur les services bancaires numériques. Il semble déjà exister de nombreux réseaux sociaux mais, comme nous le savons tous, Facebook connaît des difficultés et Instagram, Twitter, LinkedIn et d’autres ne sont pas épargnés. Le problème de ces sites est que les utilisateurs n’en sont pas propriétaires et que ce sont les entreprises qui possèdent toutes vos données.

 

Le principe de l’utilisateur propriétaire sur lequel est fondé le réseau social Weownomy est issu directement de notre business model, qui prévoit une participation à tous les revenus et un partage des bénéfices basé sur la performance. Ce changement éliminera les problèmes auxquels sont actuellement confrontés Facebook et d’autres réseaux sociaux ; en effet, cela garantit que vos données ne sont pas collectées au profit exclusif du réseau sans aucune compensation pour vous, voire sans que vous ayez votre mot à dire sur la manière dont vos données sont utilisées.

 

L’avenir des réseaux sociaux passe par ce principe, et pas par Facebook. Weownomy offrira les meilleures fonctionnalités de Facebook, mais avec des avantages supplémentaires. Weownomy est différent des autres réseaux parce qu’il permet à ses utilisateurs d’être les propriétaires de leurs contenus et de leurs données personnelles ; il n’y a aucune intention cachée.

 

 

La plateforme que tout le monde attendait

 

Dans le monde d’aujourd’hui, il est important d’aborder d’un œil critique les sources d’informations et de nouvelles en ligne. Pour ce faire, les citoyens ont besoin d’une plateforme dont la fiabilité et la transparence sont réellement garanties. Avec Weownomy, c’est exactement cela qu’ils auront. La plateforme sera en mesure de déterminer la fiabilité des informations accessibles en ligne en veillant à ce que les plaintes des utilisateurs relatives aux activités au sein de la plateforme Weownomy soient traitées dans le cadre de processus clairs et transparents. L’avenir de nos démocraties en dépend !

 

 

L’avènement des réseaux sociaux a modifié notre façon d’interagir avec les informations. Ils font désormais partie intégrante de notre vie quotidienne et nous pourrions difficilement nous en passer. Nous sommes propriétaires de nos téléphones, mais pas des données que nous produisons au moyen de ces appareils, d’où un déséquilibre des pouvoirs au détriment des utilisateurs. La nouvelle plateforme redonnera aux utilisateurs la maîtrise de leurs données personnelles en leur permettant d’y accéder et même d’en tirer des revenus.

 

De nos jours, des masses d’informations et de données sont accessibles en ligne. Toutefois, il se peut qu’elles soient inexactes, voire indignes de confiance car l’entreprise qui les a recueillies a pu le faire sans le consentement des intéressés. Ces sites web tiers peuvent aussi collecter toutes sortes d’informations sur les utilisateurs et vendre ces données personnelles à d’autres entreprises. Weownomy offre une plateforme à partir de laquelle les utilisateurs peuvent accéder au site web de leur choix en toute confiance quant à la manière dont leurs données sont collectées et utilisées.

 

Sur cette plateforme, les utilisateurs pourront créer et publier leurs propres contenus et être rémunérés pour les créations d’autrui. La plateforme pourrait également recourir à la publicité et offrir des produits et services numériques comme la diffusion en flux et le commerce en ligne, ce qui pourrait potentiellement générer plus de 10 milliards USD de revenus annuels d’ici 2024.

 

 

Internet a rendu l’information plus accessible que jamais. Grâce aux fonctionnalités qu’elle se propose d’offrir, la plateforme Weownomy assurera la fiabilité et la qualité des sources d’informations accessibles en ligne, une manière correcte de collecter et d’utiliser les données, et la mise en place de processus clairs et transparents pour traiter les plaintes des utilisateurs relatives aux activités menées sur la plateforme Weownomy.

 

Weownomy émet des actions afin de construire un nouveau réseau social

 

Pour construire son nouveau réseau social, Weownomy va émettre des actions. Chaque jour, plus de deux milliards de personnes passent du temps sur des réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, Twitter ou LinkedIn et pourtant, en dehors des recettes publicitaires de la plateforme, la plupart d’entre elles ne reçoivent aucune récompense pour leur contribution. Pour favoriser l’accroissement des opportunités, nous allons adopter un nouveau modèle où les actionnaires seront payés pour construire notre nouveau réseau social « weown » fondé sur l’appartenance de la plateforme aux utilisateurs et la liberté financière via des primes de parrainage.

 

Chaque personne passe en moyenne plus de deux heures par jour sur les réseaux sociaux. La meilleure façon d’utiliser ces plateformes est de prendre le contrôle de vos données et de les monétiser en recrutant de nouveaux membres et en développant l’activité dans votre propre intérêt. Weownomy offre cette opportunité à ceux qui n’ont jamais eu la chance de réussir dans ce domaine parce qu’ils n’ont pas de réseau ou pas d’argent, mais qui souhaitent ardemment être financièrement indépendants.

 

Le réseau social Weownomy (www.Weownomy.global) émet des actions pour construire un nouveau réseau social qui donnera à ses utilisateurs la possibilité de gagner de l’argent grâce à leurs propres contenus. L’idée de la « Weownomy » (We own economy, nous sommes les propriétaires de l’économie) a pour origine la constatation que beaucoup de créateurs de réseaux sociaux ne partagent jamais les profits générés par leurs sites.

 

« Nous avions pour but de créer une plateforme où chacun aurait une chance d’obtenir un revenu, a déclaré Ssemakula Peter Luyima, fondateur et PDG de Weownomy. Notre plateforme est une magnifique opportunité pour les gens ordinaires qui veulent gagner de l’argent en utilisant leur temps, leurs talents et leur créativité. » Les utilisateurs peuvent acheter des actions via le système de vente aux enchères « à la hollandaise » de Weownomy.

 

Les réseaux sociaux sont un élément de base du monde moderne. Ils nous permettent de rester en contact avec nos amis et notre famille, de partager des idées, de former des communautés, et bien plus encore. Or, en dehors des recettes publicitaires, nombreux sont ceux qui les utilisent sans obtenir aucune compensation pour leurs contributions. Pour favoriser l’accroissement des opportunités, nous allons adopter un nouveau modèle où les actionnaires seront payés pour construire notre nouveau réseau social « Weownomy », fondé sur l’appartenance de la plateforme aux utilisateurs et la liberté financière via des primes de parrainage.

 

Au lieu de gagner de l’argent grâce à la publicité, Weownomy distribuera chaque mois des parts du revenu de la Société à ses utilisateurs copropriétaires de Weownomy. Avec votre abonnement mensuel d’actionnaire, vous pouvez contribuer à la construction du prochain plus grand réseau social mondial et, en même temps, avoir un impact sur le quotidien des personnes. « Weownomy émet des actions afin de construire un nouveau réseau social » (www.Weownomy.global).

 

L’idée d’être propriétaire de son propre réseau social n’est pas neuve. La nouveauté, c’est que Weownomy a créé un système permettant aux utilisateurs de devenir copropriétaires de la plateforme et de recevoir chaque mois des actions simplement en étant membre du réseau.

 

Nous sommes une startup qui donne aux personnes la possibilité de partager la richesse et la liberté financière de construire un nouveau réseau social. Ce projet a pour principal objectif de créer une communauté en ligne dont tous les participants possèdent les mêmes droits de propriété, de gouvernance, de partage des profits, de protection de la vie privée et de la confidentialité des données, tout en favorisant l’égalité économique grâce aux primes de parrainage.

 

Pour devenir propriétaire de Weownomy, la première étape consiste à s’inscrire aux fins de la distribution d’actions. Les actionnaires sont ensuite rémunérés au pourcentage à chaque fois qu’ils parrainent une personne qui devient actionnaire à son tour, en mettant l’accent sur la récompense de nos utilisateurs les plus fidèles. Pour être éligible à une prime de parrainage, vous devez être enregistré en tant qu’utilisateur et avoir accumulé au moins 10 000 actions avant de parrainer un futur membre. L’idée fondamentale qui sous-tend notre système, c’est que nous rémunérons les actionnaires afin qu’ils construisent le nouveau réseau social « Weownomy ».

 

Depuis quelques années, les réseaux sociaux font partie intégrante de notre vie quotidienne. Ainsi, les quatre plus grandes plateformes, Facebook, Instagram, Twitter et LinkedIn, sont utilisées par plus de deux milliards de personnes par jour. Cela signifie que ces entreprises ont un énorme pouvoir sur nos données et sur ce que nous voyons sur internet. Chez Weownomy, nous pensons qu’il est temps pour les utilisateurs d’être récompensés pour leurs contributions, au-delà des revenus publicitaires tirés de l’utilisation de ces réseaux.

 

Les actions de Weownomy sont mises aux enchères sur internet

 

Le système d’enchères d’actions « à la hollandaise » (Dutch auction) de Weownomy est conçu pour négocier les actions de Weownomy à l’échelle mondiale, une fois par mois dans le cadre d’une vente aux enchères en direct. Le but de ce système est de donner la possibilité à toute personne d’investir dans la nouvelle plateforme de réseau social et ainsi d’en devenir propriétaire tout en acquérant une liberté financière.

 

Les ventes aux enchères serviront à émettre des actions de Weownomy afin de construire un nouveau réseau social. Le choix du système d’enchères d’actions « à la hollandaise » a été considéré comme le plus approprié, non seulement en raison de l’offre de Google, mais aussi à cause des graves critiques émises ces dernières années à l’encontre de la méthode traditionnelle, concernant des allégations d’abus liés à la fixation des prix et à l’attribution des actions.

 

Weownomy est une société internet dont l’introduction est l’une des plus attendues de ces dernières années. Comme beaucoup de ces sociétés, Weownomy ne peut être cotée par les méthodes traditionnelles parce qu’il s’agit d’une entreprise privée et qu’elle n’a pas encore généré de profits. Le système d’enchères d’actions « à la hollandaise » utilisé par Google offre plusieurs avantages par rapport au processus traditionnel de constitution d’un carnet d’ordres d’émissions d’actions.

 

La décision de vendre les actions de Weownomy aux enchères sur internet ayant été prise, le système d’enchères d’actions « à la hollandaise » représente un moyen attrayant d’émettre des actions Weownomy pour construire un nouveau réseau social. Utilisé pour la première fois en 1720, ce système d’enchères d’actions est toujours populaire aujourd’hui et régulièrement utilisé pour lever des capitaux de démarrage d’entreprises des secteurs énergétique, bancaire et des soins de santé, entre autres. Les enchères sont considérées comme « privées » parce que les actionnaires échangent des titres entre eux, sans l’intervention d’intermédiaires. « Les ventes aux enchères créent des règles du jeu équitables », a déclaré Ssemakula Peter Luyima, fondateur et PDG de Weownomy.

 

 

L’annonce par M. Luyima de l’émission d’actions via une vente aux enchères sur internet a été considérée par beaucoup comme une avancée décisive pour la Société et ses suiveurs. En réaction aux plaintes émises ces dernières années à l’encontre de la méthode traditionnelle, Weownomy a choisi le processus de vente aux enchères « à la hollandaise » plutôt que le processus traditionnel de constitution d’un carnet d’ordres utilisé l’an dernier par Google Inc. lors de l’offre d’actions en bourse.

 

Le choix de ce système d’enchères d’actions a été considéré comme plus approprié, non seulement en raison de l’offre de Google, mais aussi à cause des graves critiques émises ces dernières années à l’encontre de la méthode traditionnelle concernant des allégations d’abus liés à la fixation des prix et à l’attribution des actions. Les enchères sur internet seront gérées par des prestataires tiers qui fourniront les plateformes d’enchères.

 

La méthode traditionnelle pour émettre des actions consiste à constituer un carnet d’ordres, système selon lequel une banque d’investissement souscrit une offre publique d’émission et fixe un prix. Or la méthode peut conduire à des abus, car les investisseurs n’apprennent qu’après l’achat combien ils ont payé par action. En revanche, le système d’enchères d’actions « à la hollandaise » implique la sollicitation d’offres auprès des acheteurs avant la décision de fixation du prix.

 

Internet étant devenu la place de marché moderne, il n’est pas surprenant que Weownomy opte pour le web pour y vendre aux enchères les actions de l’entreprise. La décision a été prise sur la base du processus utilisé par Google pour son IPO. Weownomy utilisera le système d’enchères d’actions « à la hollandaise », basé sur un processus d’offres en ligne aux fins de l’attribution des actions aux investisseurs. Ce système diffère de la méthode traditionnelle de constitution d’un carnet d’ordres en ce qu’il s’appuie sur un système informatisé qui exclut toute intervention humaine.

 

Weownomy donne ainsi à chacun la possibilité d’acquérir une part de ce nouveau réseau social passionnant qui ouvre aux utilisateurs un univers bien plus vaste que celui de Facebook ou de Twitter.

 

 

Ce sera la première fois que la méthode de vente aux enchères sur internet sera utilisée comme moyen d’émettre des actions Weownomy. Depuis sa fondation, Weownomy a pour objectif d’offrir aux utilisateurs et aux consommateurs un accès gratuit à des contenus de haute qualité venant du monde entier, sans publicité et sans limiter les droits des utilisateurs. « La mise en œuvre de cette stratégie rendra obsolètes les business models traditionnels et offrira aux gens ce qu’ils attendent : des informations de qualité ».

 

Distribué par APO Group pour Weownomy Platform Corporation.

Le Burkina Faso défie la résistance grâce aux moustiquaires PBO : un atelier d’échanges de haut niveau à Ouagadougou discute de leur efficacité

COMMUNIQUE DE PRESSE: Le Burkina Faso défie la résistance grâce aux moustiquaires PBO : un atelier d’échanges de haut niveau à Ouagadougou discute de leur efficacité

 

Photo de famille de l'Atelier d'échanges du 28/05/2021 à l'Hôtel Sopatel Silmandé

 

 

  • Les moustiquaires imprégnées d’insecticide à longue durée d’action (MILDA) avec PBO peuvent jouer un rôle clé dans l’amélioration de la prévention du paludisme au Burkina Faso, grâce à une efficacité accrue contre les moustiques résistants aux insecticides.
  • Les acteurs de la lutte contre le paludisme au Burkina Faso discutent des modalités de déploiement de ces nouvelles générations de moustiquaires pour garantir la qualité et la bio-efficacité de ces moustiquaires.

OUAGADOUGOU, 28 mai 2021 – Un atelier d’échanges de haut niveau s’est tenu ce vendredi 28 mai à Ouagadougou sur la qualité des outils de lutte contre les vecteurs du paludisme au Burkina Faso. La rencontre a permis de dégager des consensus forts sur la protection des zones vulnérables touchées par le paludisme. Une délégation du ministère de la Santé, le coordonnateur du Programme National de Lutte contre le Paludisme, Dr Gauthier Tougri, le représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Dr Moyenga, ainsi que les éminents scientifiques des divers centres de recherches et sciences de la santé du pays, les membres de la société civile avec l’organisation Speak Up Africa et la responsable régionale de Vestergaard, Emmie Cacace, étaient présents à la conférence. La grande spécialiste des questions de résistance aux insecticides, le professeur Hilary Ranson du Liverpool School of Tropical Medicine était également au rendez-vous pour partager son expertise.

Le Burkina Faso faisait partie, en 2019, des six pays de la Région africaine concentrant 50 % des cas de paludisme dans le monde selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La maladie est responsable de 43 % des consultations de santé et de 22 % des décès dans le pays. Le Burkina Faso fait d’ailleurs partie, depuis 2018, des onze pays de l’Initiative pour une action à fort impact dans les pays à forte charge (HBHI), et qui ont supporté environ 70 % de la charge mondiale de morbidité due au paludisme en 2017. Cette initiative s’appuie sur le principe selon lequel personne ne devrait mourir d’une maladie qu’il est possible d’éviter et de traiter et met l’accent sur une approche ciblée et différentiée du paludisme en fonction des contextes.

Le pays fait partie des premiers à avoir déployé les MILDA nouvelle génération avec PBO et MILDA à double ingrédient actif, pour mitiger les effets d’une résistance alarmante aux insecticides dans un pays ou les moustiques résistent par endroit a plus de 1 000 fois la dose normale d’insecticide. L’impact considérable de ces nouvelles MILDA sur les indicateurs épidémiologiques et entomologiques dans les zones de déploiement de ces outils et la recommandation de l’OMS ont convaincu le pays de mettre fin au déploiement des moustiquaires mono traitées standard, dites « ancienne génération ». Cette tendance se généralise à travers l’Afrique et les MILDA PBO sont en cours de devenir la norme en matière de lutte anti vectorielle et de prévention du paludisme.

Depuis 2000, les efforts de prévention du paludisme ont collectivement sauvé 600 000 vies et évité plus de 100 millions de cas de paludisme chaque année. Dans une analyse de 2015, il a été démontré que les MILDA ont contribué à hauteur de 68% au nombre de cas de paludisme évités entre 2000 et 2015, soit 663 millions de cas, aux côtés des traitements combinés à base d’artemisine ou ACT et de la Pulvérisation Intra-domiciliaire (PID) qui ont contribué à hauteur de 22 % et 10 % respectivement.

L’OMS recommande l’utilisation des moustiquaires imprégnées d’insecticide à longue durée d’action PBO (butoxyde de pipéronyle) notamment dans les zones où les moustiques sont devenus résistants aux pyréthrinoïdes. Néanmoins, il est essentiel que les moustiquaires distribuées soient de la plus haute qualité, de la plus grande efficacité et de la plus longue durabilité possible. Or les MILDA avec PBO introduites sur le marché sont très hétérogènes dans leur composition et les différentes MILDA avec PBO n’ont pas toutes été évaluées sur la durée. Vestergaard, premier fabricant de MILDA PBO, était présent pour apporter un éclairage sur la technologie à l’œuvre dans les MILDA PBO et faire prendre conscience de l’importance des données de terrain pour confirmer l’efficacité des nouvelles moustiquaires contenant du PBO.

« Alors que l’on voit apparaitre sur le marché des moustiquaires PBO, un nombre varié de MILDA PBO au design et à la concentration en PBO très différents, - dont certaines fabriquées avec 10 fois moins de PBO que les produits ayant fait l’objet d’essais contrôlés et randomisés en conditions d’utilisation réelle -, tout un chacun se pose la question de leur efficacité sur la durée. Tandis que le déploiement des moustiquaires PBO suit son cours, il est essentiel que leurs performances soient étroitement surveillées car il n’y a actuellement aucune étude de terrain à long terme confirmant l’efficacité des moustiquaires à faible quantité de PBO », a déclaré Emmie Cacace, Responsable régionale Santé Publique chez Vestergaard. « Contrairement aux insecticides pyréthrinoïdes, le lavage n’est pas le principal facteur de perte de PBO. En effet, l’évaporation et l’utilisation quotidienne affectent beaucoup plus la concentration de PBO que le lavage au fil du temps. La capacité de conserver et contrôler la libération du PBO dans la formulation malgré les divers facteurs de perte est essentielle pour assurer une protection efficace tout au long de la durée de vie de la moustiquaire - telle était notre ambition lorsque la technologie de PermaNet® 3.0 a été développée »


La présence de la société civile à travers l’organisation Speak Up Africa a également permis d’apporter des pistes de réflexion sur le rôle de la société civile dans l’intensification de la lutte contre le paludisme et dans son implication dans la construction d’un système de contrôle qualité intégral pour que l’Afrique bénéficie de MILDA efficaces de qualité et puisse tirer pleinement parti des MILDA de nouvelle génération.

L’atelier d’échanges du 28 mai a été une opportunité importante pour tous les acteurs de la lutte contre le paludisme au Burkina Faso de faire le point sur le déploiement de ces nouvelles générations de moustiquaires et de réfléchir sur les critères qui permettent le déploiement de ces outils afin de garantir le plus grand impact possible sur les indicateurs du paludisme et sur la santé des populations.

« L’initiative HBHI correspond à une série de mesures d’amplification de la lutte contre le paludisme qui met l’accent sur une approche ciblée et différentiée en fonction des contextes. C’est dans le cadre de cette nouvelle approche que le Burkina Faso et ses partenaires ont procédé à la stratification des interventions contre le paludisme et généralisé le déploiement des MILDAs nouvelles générations PBO et IG2. Il est important de souligner les efforts déployés au Burkina pour façonner une approche intégrée de la lutte antivectorielle. Convaincu par les études d’impact de ces MILDAs en zones de résistance aux insecticides, le Burkina Faso, dont 100 % de la population est exposée au risque palustre, entre dans une nouvelle ère de la lutte antivectorielle », a déclaré le coordinateur du Programme national de lutte contre le Paludisme, Dr Gauthier Tougri.

En plus des MILDA PBO, il est également important de continuer à encourager l’innovation afin de faire face aux menaces émergentes des moustiques résistants aux insecticides. Vestergaard incite toutes les parties prenantes, publiques et privées, de la communauté de prévention du paludisme à travailler ensemble pour soutenir l'innovation et le déploiement rapide de moustiquaires  durables, efficaces et de haute qualité sur le marché.

Les moustiquaires PermaNet 3.0 de Vestergaard répondent aux besoins des populations tout en respectant les spécifications de produit établies par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Vestergaard mise sur un programme de qualité rigoureux et un suivi régulier de la bio efficacité de ses MILDA pour assurer la qualité de ses moustiquaires. Vestergaard a également investi dans un programme de surveillance afin d’évaluer la performance de ses moustiquaires dans des conditions normales d’utilisation et jusqu’à la fin de vie du produit.

 

A propos de Vestergaard

Vestergaard fabrique des outils innovants et de haute qualité pour améliorer les résultats en matière de santé mondiale dans les pays à revenus faibles et intermédiaires principalement. Connue pour ses moustiquaires imprégnées d’insecticide à longue durée d’action (MILDA) PermaNet® destinées à prévenir le paludisme, l’entreprise a fabriqué et livré plus de 850 millions de PermaNet®, protégeant environ 1,6 milliard de vies dans les pays d'endémie palustre. D'autres initiatives de l'entreprise se concentrent sur la lutte contre les maladies tropicales négligées, la réduction de l'insécurité alimentaire grâce aux sacs de stockage ZeroFly® et l'utilisation de la technologie pour stimuler la prise de décision basée sur les données.

Fondée en 1957, la société est basée en Suisse, avec un bureau en Inde, un laboratoire de recherche et développement avec un insectarium au Ghana et un laboratoire de contrôle qualité au Vietnam.

 

Contact média :

Dr Sawadogo : +226 25 36 88 39/+226 70 95 86 67.