

Teranga est une société aurifère multinationale intervenant en Afrique de l’Ouest et dont l’activité est axée sur la production d’or, le développement et l’exploitation de gisements aurifères ainsi que l’exploration d’environ 5 500 km2 de terrains situés sur des ceintures aurifères prometteuses. Depuis son introduction en bourse en 2010, Teranga a produit plus de 2 millions d’onces d’or (Moz) à partir de ses opérations au Sénégal. Centrée sur la diversification et la croissance dans le but de devenir un producteur intermédiaire, la société a récemment annoncé la production commerciale de sa deuxième mine d’or Wahgnion, située au Burkina Faso, et elle réalise aussi de vastes programmes d’exploration au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire et au Sénégal. Teranga applique un cadre d’allocation de capital rigoureux pour ses décisions d’investissement.
Résolue dans son engagement à établir la référence en matière d’exploitation minière responsable, Teranga fonctionne conformément aux standards internationaux et vise à servir de catalyseur pour un développement économique, environnemental et communautaire durable tout en s’efforçant de créer de la valeur pour toutes ses parties prenantes. Teranga participe au Pacte mondial des Nations Unies et fait partie du groupe multipartite responsable du premier rapport sur les revenus de l’Initiative pour la Transparence des Industries Extractives au Sénégal.
Poste à pourvoir : ASAP
- CV détaillé du candidat avec les coordonnées de trois (3) personnes de références professionnelles
-Copie légalisée des diplômes
-Copie des attestations ou certificats de travail pour justifier son expérience
-Lettre de motivation
-Former les mécaniciens de la section Maintenance du traitement à une norme reconnue
-Avoir une compréhension approfondie de la maintenance efficace des installations de traitement fixes et mobiles, y compris divers équipements et infrastructures de supports
-Participer à la formation, au développement des compétences et à la planification de la relève des employés nationaux.
-Améliorer continuellement les programmes de formation pour assurer le développement continu du personnel.
-S'assurer que les données de formation sont disponibles et correctement compilées pour toutes les exigences en matière de rapports.
- Coordonner des ateliers d'évaluation et mener des audits continus des capacités des mécaniciens.
-Développer et encourager une approche d'équipe avec des objectifs partagés au sein de l'équipe d'exploitation.
-Passer en revue et communiquer les performances des individus et des équipes lors des réunions de début de travail.
-Identifier, étudier et mettre en oeuvre des améliorations de la performance opérationnelle des équipements auxiliaires impliqués sur le site de la mine
- S'assurer que tous les aspects de l'opération sont réalisés de manière sûre et efficace et conformément aux obligations légales.
-Recommander des améliorations au processus pouvant conduire à un fonctionnement plus sûr et plus productif avec une récupération optimale.
-Démontrer un engagement à appliquer des pratiques de travail sécuritaires en prenant exemple sur soi-même et agir immédiatement en cas d'activité ou de situations dangereuses observées et surveillez les normes.
-Promouvoir et favoriser activement le développement de comportements proactifs faisant de la sécurité une partie intégrante de toutes les activités professionnelles.
-Exécuter toute autre tâche assignée par le coordinateur de la formation et du développement
Les candidats intéressés par ce poste et répondant aux critères ci-dessus, sont invités à envoyer leur candidature à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
NB : Veuillez noter qu’aucun frais ne sera demandé par WGO, à quelque étape que ce soit du processus de recrutement (candidature, traitement, entretien, etc……)
Pour marquer sa présence à Ouagadougou le Founder Institute (FI) invite les porteurs de projet à son tout premier Programme d’Accélération d’entreprise et projets (Edition Virtuelle 2020).
Aujourd’hui plus que jamais, le monde a besoin d’entrepreneurs pour construire l’avenir.
Par conséquent, le Founder Institute, le plus grand accélérateur d’idées de projet et d’entreprises au monde, est heureux d’annoncer le lancement officiel de sa nouvelle représentation à Ouagadougou. Le prestigieux programme est basé à la Silicon-Valley aux Etats-Unis avec des bureaux dans plus de 185 villes à travers le monde, mais désormais avec son lancement à Ouagadougou, les entrepreneurs en phase d’idée ou de démarrage au Burkina Faso peuvent profiter de la solide structure, des outils, de l’appui des mentors et du réseau du Founder Institute pour construire des entreprises viables.
Les candidatures au tout premier programme d’accélération du Founder Institute Burkina Faso sont maintenant ouvertes, et toute personne intéressée à créer une entreprise à fort potentiel peut postuler sur FI.co/apply/ouagadougou.
Le Founder Institute offre aux entrepreneurs et aux équipes à fort potentiel le réseau de soutien et le processus de croissance structuré nécessaires pour passer à l’échelle et accéder au financement, et construire des entreprises solides.
Depuis 2009, le Founder Institute a accompagné plus de 4000 entrepreneurs à mobiliser plus de 600 milliards de FCA, à passer à l’échelle, à constituer une équipe, à élaborer un produit, à passer du statut d’employé à celui d’entrepreneur, etc. (voir le rapport d’impact décennal du FI ici (FI 10 Year Impact Report here).
Depuis le mois Mars 2020, le Founder Institute organise une série d’événements gratuits en ligne (webinaires) au Burkina Faso au cours desquels vous pourrez apprendre des meilleurs entrepreneurs et en savoir plus sur le programme tout en étant chez vous :
Bootcamp sur comment présenter son projet: Venez écouter les précieux conseils des meilleurs entrepreneurs de Ouagadougou (En ligne)
2020-06-25, 06:30 PM
How to Manage a Remote Team in a Post-COVID World (Online Event)
2020-06-30, 06:00 PM
Faire le saut du statut d’employé à celui d’employeur à Ouagadougou (webinaire)
2020-07-03, 08:30 AM
A Model to Answer all Startup Growth Questions, with Phil Libin
2020-07-21, 05:30 PM
Session d’Information sur le financement du Founder Institute Ouagadougou (Evènement en ligne)
2020-07-23, 06:30 PM
Voir la liste de tous les évènements à venir ici
Au Burkina Faso, le programme du Founder Institute a été lancé grâce au travail acharné d’une équipe de jeunes Burkinabè composée de Aidaré KONKISSERE (Consultant), Chukwuemeka Fred Agbata Jnr. (Co-fondateur de GoDo Hub), Eldaa KOAMA (Coach, Speaker, Consultante), Afize OUEDRAOGO (Ex-Président et consultant, association Koura) et Soulamane KONKOBO (Business Consultant, Formateur et Président du Bureau Exécutif de Burkina Business Incubator), tous des passionnés d’entrepreneuriat.
Maintenant plus que jamais, les opportunités sont florissantes à Ouagadougou. Il existe désormais un formidable écosystème pour les entrepreneurs – des plateformes de financement participatif aux espaces de coworking en passant par les fonds et les banques. Le Founder Institute peut accroitre les chances de réussite d’un entrepreneur aspirant en lui donnant les aptitudes et les valeurs nécessaires – et une ouverture sur la Silicon Valley!
Pour mettre en place un programme pratique et répondant aux attentes des entrepreneurs au Burkina Faso, nous avons associé au programme un réseau de 40 patrons de société, de PDG, de consultants et investisseurs de la région qui se sont engagés à encadrer les entrepreneurs qui bénéficieront du programme du Founder Institute Ouagadougou Virtuel 2020: Ce sont notamment :
Abdoul Aziz Sy: Founder & owner, MS TRADING
Adamou Nikiema: Investment Officer and Consultant, Oiko Credit
Alexandre Kabre: Founder and CEO, Agri-data
Amina Sinka: CEO, Africa Innovator Holding
Bagaya Mamounata: CEO, ECOPRESTIGE
Boukary Nougtara: Founder & owner, Charcuterie Moderne du Faso
Céline Kobeane: Founder and CEO, SOFACOB
Fatim Toure: Co-Founder, TIMCOACH
Joseph Ramde: CEO, IPADEV
Julien Ouedraogo: Founder & owner, IMMERSION ENTREPRISE
Kahit Hien: Founder and CEO, Faso-pro
Lassina Traore: CEO, Tralassi Finance
Luigi Giglio: Founder and CEO, LGA consulting
Olivier Rock Tiendrebeogo: Founder & owner, Performance Marketing
Phillipe Diendere: Founder and CEO, Contexte S.A.S
Sylvère Salga: INVENTOR/CEO, SALGATECH holding
Wilfried Kabore: Founder & owner, STRATEGONE.
Le Founder Institute a été créé pour les entrepreneurs et les équipes, y compris les aspirants entrepreneurs employés à temps plein, les entrepreneurs en solo, les équipes et les promoteurs d’entreprises existantes qui lèvent leur premier financement. La mission du Founder Institute est de « Mondialiser la Silicon Valley » et créer des écosystèmes de startups durables qui généreront un million de nouveaux emplois dans le monde.
Rejoignez-nous au Burkina Faso pour participer à construire l’avenir.
Postulez au programme d’accélération du Founder Institute Ouagadougou Virtuel 2020 dès aujourd’hui ou trouvez plus d’informations sur FI.co/overview.
Que gagne-t-on en s’inscrivant au programme du Founder Institute Ouagadougou?
Étant donné que les entrepreneurs et les équipes entrent dans le Founder Institute à différentes phases de leur idée ou entreprise, la trajectoire du programme varie selon le stade où se trouve le projet. À tout le moins, chaque lauréat termine le programme avec les éléments suivants :
1. Une entreprise juridiquement formée ;
2. Un réseau local d’entrepreneurs et d’investisseurs expérimentés ;
3. L’accès aux conseils des meilleurs mentors du Burkina et du monde ;
4. Un progrès significatif dans le processus développement du produit ;
5. Un nombre important de prospects et de clients identifiés
6. Des avancée significatives dans la construction d’une équipe
7. Un solide argumentaire pour mobiliser des ressources financières ;
8. Une orientation très claire et pratique sur les prochaines étapes dans la mise en œuvre de l’entreprise.
De nombreux porteurs de projets arrivent également à mobiliser du financement et à générer des revenus importants avant la fin même du programme.
Damilola Ogunbiyi est Représentante spéciale pour l’énergie durable pour tous et Coprésidente d’ONU-Énergie depuis octobre 2019.
Elle est également Présidente-Directrice générale du Conseil d’administration de « Sustainable Energy for All (SEforALL) », une organisation internationale, basée à Vienne, qui aide le monde à réaliser les objectifs et les cibles de l’Accord de Paris sur le climat.
Mme Ogunbiyi est forte d’une vaste expérience de leadership et d’un bilan avéré dans l’accès des pays d’Afrique sub-saharienne à l’énergie. Elle a été la première femme Directrice de l’Agence nigériane de l’électrification rurale. Elle a aussi été chargée de mettre en œuvre le Programme nigérian d’électrification hors réseau et a négocié avec succès le Projet nigérian d’électrification visant à mettre rapidement en place des mini réseaux solaires et déployer des systèmes solaires dans les ménages. Mme Ogunbiyi a également élaboré l’initiative « Économie de l’énergie » et le programme « Éducation à l’énergie » qui offrent des solutions électriques durables et abordables.
Avant de travailler pour le gouvernement nigérian, Mme Ogunbiyi était la première femme Directrice du Conseil d’électricité de l’État de Lagos qui est chargé de l’éclairage public, des projets électriques indépendants et du développement de l’énergie pour les millions d’habitants de l’État.
Rosine Sori-Coulibaly est l’envoyée de l’ONU en Guinée-Bissau depuis juillet 2019. Cette Burkinabè de 62 ans a été Ministre de l’économie, des finances et du développement de son pays de 2016 à 2019.
Elle dispose de plus de 35 ans d’expérience à l’échelon national et international dans les domaines du développement durable et humanitaire, de la transition politique, de la réduction de la pauvreté, des réformes fiscales et budgétaires ainsi que de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes.
Elle a travaillé pendant plus de 20 ans au sein des Nations Unies, occupant divers postes de haut niveau, notamment en tant que Représentante spéciale adjointe du Secrétaire général pour le Burundi, Coordonnatrice résidente, Coordonnatrice humanitaire et Représentante résidente du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Elle a également été Coordonnatrice résidente et Représentante résidente du PNUD au Togo entre 2006 et 2011, puis au Bénin de 2014 à 2016.
Avant de rejoindre le PNUD, Mme Sori-Coulibaly a occupé des postes de conseil dans son pays d’origine, notamment au Ministère du développement économique et de la planification (1982-1990). Elle a joué un rôle actif dans les organisations de la société civile, en particulier celles qui se battent pour les droits de l’homme et l’autonomisation des femmes.
Elle est titulaire d’une maîtrise en économie du développement de l’Université Cheikh Anta Diop du Sénégal et d’un diplôme de troisième cycle en planification et macroéconomie de l’Institut africain des Nations Unies pour le développement économique et la planification.
Hanna Tetteh représente les Nations Unies auprès de l’Union africaine (UA) depuis décembre 2018, après avoir été Directrice générale de l’Office des Nations Unies à Nairobi (ONUN).
Cette avocate ghanéenne de 52 ans a été Ministre des affaires étrangères de son pays et membre du Conseil national de sécurité et du Conseil des forces armées, de 2013 à 2017. Entre 2009 et 2013, elle a occupé les fonctions de Ministre du commerce et de l’industrie, une période durant laquelle elle a été membre de l’équipe de gestion économique du gouvernement, du conseil d’administration de l’Autorité chargée des objectifs du Millénaire pour le développement et de la Commission nationale de la planification du développement. Elle a aussi été Présidente du Conseil des zones franches du Ghana.
De janvier à février 2009, Mme Tetteh a également été porte-parole de l’équipe de transition du Président John Evans Atta Mills. De 2014 à 2015, elle était Présidente du Conseil des ministres et du Conseil pour la médiation et la sécurité de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Elle a siégé au parlement du Ghana de 2000 à 2005 et de 2013 à 2017. Elle a été nommée cofacilitatrice du Forum de haut niveau pour la revitalisation de l’Accord sur le règlement du conflit au Soudan du Sud, entre 2017 et 2018.
Hanna Tetteh est titulaire d’une licence en droit de l’Université du Ghana.
Leila Zerrougui dirige la MONUSCO – l’opération de paix de l’ONU en République démocratique du Congo - depuis janvier 2018. Une mission et un pays qu’elle connait bien pour avoir été Représentante spéciale adjointe du Secrétaire général en RDC de 2008 à 2012.
Cette Algérienne de 64 ans a également été Représentante spéciale du Secrétaire général pour le sort des enfants en temps de conflit armé de 2012 à 2016 et Membre du Groupe de travail sur la détention arbitraire du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies de 2001 à 2003, groupe dont elle a été la Présidente-Rapporteuse de 2003 à 2008.
Avant d’entamer une carrière internationale, Leila Zerrougui a mené une carrière de magistrate en Algérie où elle a été nommée à la Cour suprême en 2000. Elle est titulaire d’un diplôme de l’École nationale d’administration d’Alger.
Pramila Patten est Représentante spéciale du Secrétaire général chargée de la question des violences sexuelles commises en période de conflit depuis 2017.
Cette avocate mauricienne de 61 ans était depuis 2003 membre du Comité sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDAW).
Mme Patten a des compétences judiciaires solides et diversifiées en matière de violence sexuelle et sexiste, et sur la question « femmes, paix et sécurité », ayant été membre, depuis 2014, du Groupe consultatif de haut niveau chargé de l’étude mondiale sur l’application de la résolution 1325 (2000) du Conseil de sécurité et membre, depuis 2010, du Groupe consultatif de l’Observatoire des droits des femmes africaines, auprès de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique.
Conseillère au Ministère des droits de la femme, du développement de l’enfant et de l’aide aux familles de Maurice, de 2000 à 2004, elle a fait partie de la Commission internationale d’enquête sur le massacre commis en Guinée en 2009 où elle avait été nommée par le Secrétaire général. Elle a enseigné le droit à l’Université de Maurice entre 1987 et 1992 et a été magistrate de 1987 à 1988.
Mme Patten est titulaire d’une licence en droit du Ealing College of Higher Education et d’une maîtrise en droit de la University College London, au Royaume-Uni.
Bience Gawanas est la Conseillère spéciale d’António Guterres pour l’Afrique depuis janvier 2018.
Avant de rejoindre l’ONU, cette Namibienne de 64 ans était Conseillère spéciale auprès du Ministre de l’éradication de la pauvreté et de la protection sociale et auprès du Ministre de la santé et des services sociaux de son pays. Défenseure inlassable de la santé et des droits des femmes en Afrique, elle a été saluée pour son rôle dans l’organisation de campagnes ambitieuses telles que celle pour la réduction de la mortalité maternelle, néonatale et infantile en Afrique.
Mme Gawanes a été élue Commissaire aux affaires sociales au sein de l’Assemblée des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine en 2003 et en 2008. Avant d’occuper les fonctions de commissaire, elle était Ombudsman de Namibie (1996-2003).
Elle a participé à divers groupes de travail et commissions, notamment l’équipe spéciale de l’ONUSIDA pour l’amélioration de la coordination entre les institutions multilatérales et les donateurs internationaux et le Groupe de travail sur le renforcement de l’éducation et de la formation des agents de santé, la Commission mondiale sur le VIH et le droit.
Elle est titulaire d’un diplôme en droit de l’Université de Warwick, d’un diplôme d’avocat de l’École de droit de Lincoln Inn, au Royaume-Uni et d’un MBA de l’Université du Cap, en Afrique du Sud.
Winnie Byanyima a pris la tête de l’ONUSIDA en novembre 2019.
Avant de prendre la direction du Programme commun des Nations Unies pour la lutte contre le VIH/sida, elle a exercé pendant six ans les fonctions de Directrice exécutive de l’ONG Oxfam International. Auparavant, elle a occupé pendant sept ans le poste de Directrice du genre et du développement au Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
Cette Ougandaise de 61 ans a débuté sa carrière il y a 30 ans en s’engageant pour les communautés marginalisées et les femmes en tant que députée à l’Assemblée nationale de l’Ouganda. En 2004, elle a été nommée Directrice des femmes et du développement à la Commission de l’Union africaine, responsable du protocole sur les droits des femmes en Afrique. Cet instrument international des droits humains est devenu un outil important pour réduire l’incidence disproportionnée de la pandémie de VIH sur les femmes en Afrique.
Winnie Byanyima est titulaire d’un diplôme d’études supérieures en génie mécanique du Cranfield Institute of Technology et d’un diplôme de premier cycle en génie aéronautique de l’Université de Manchester, au Royaume-Uni.
Vera Songwe dirige la Commission économique pour l’Afrique (CEA) – l’une des cinq commissions régionales des Nations Unies – depuis août 2017. Elle est la première femme à avoir pris les rênes de la CEA depuis sa création en 1958.
Avant de prendre la tête de la CEA, cette économiste a mené une carrière de 19 ans au sein du groupe de la Banque mondiale, notamment comme Directrice régionale de la Société financière internationale pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale ; Directrice de pays à la Banque mondiale pour le Cap Vert, la Gambie, la Guinée-Bissau, la Mauritanie et le Sénégal ; et conseillère du Directeur général de la Banque mondiale pour l’Afrique, l’Europe et l’Asie centrale et du Sud.
Cette Camerounaise de 52 ans est également membre de l’équipe de réforme institutionnelle de l’Union africaine dirigée par le Président du Rwanda, Paul Kagamé, et membre du Conseil d’administration de l’African Leadership Network et de la Fondation Mo Ibrahim.
Vera Songwe est titulaire d’un doctorat en économie de l’Université catholique de Louvain, en Belgique.