Elites Femmes

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Women in Africa (WIA) lance un appel à candidature pour des formations à distance au profit des femmes chefs d'entreprises en Afrique 

Women In Africa veut soutenir la création d’emploi et l’entrepreneuriat féminin en Afrique. C'est une initiative panafricaine qui propose des formations à distance aux chefs d’entreprises exerçant dans 8 domaines particuliers. Les formations seront assurées par les experts des universités et grandes entreprises.

L’Initiative Women in Africa (WIA) qui promeut l'entrepreneuriat féminin en Afrique a lancé un appel à candidatures  pour son programme de formation des femmes chefs d’entreprise africaines pour le compte de l’année 2021. Le programme ouvert aux candidates de tous les pays du continent propose un soutien complet comprenant la formation, la communication et le réseautage.

Les participantes doivent être des créatrices ou dirigeantes d’une entreprise ou start-up lancée il y a moins de 5 ans. Les entreprises ciblées sont celles exerçant dans les domaines de l’agriculture, la fintech, le numérique, la santé, l’éducation, l’environnement, l’industrie créative et l’industrie de la beauté.

Les critères de sélection tiendront compte de l’innovation du produit, service ou technologie proposé par l’entreprise, du modèle commercial, du potentiel de croissance, de la composition de l’équipe et de la traction sur le marché.

Le programme sélectionnera 10 femmes par pays. Elles bénéficieront d’un programme de formation pour faciliter le développement de leurs projets, quelle que soit leur catégorie.

Les sujets de la formation sont entre autres le marketing, la finance/banque, la communication, le marketing digital, la logistique et la gestion des ressources humaines, qui seront enseignés à travers des sessions sous forme de bootcamp virtuel.

Elles bénéficieront également d’un cours dans l’un des campus du réseau Honoris United Universities, partenaire du programme, ainsi qu’un accompagnement personnalisé dirigé par un expert d’entreprise.

Par le biais de ce programme, le WIA vise à soutenir plus de 10 000 femmes entrepreneures, contribuant indirectement à la création de 100 000 emplois, d'ici 2030.

Les candidatures doivent être soumises au plus tard le 7 mai 2021.

La Rédaction

Ecobank Transnational Incorporated nomme Tomisin Fashina au poste de Directeur exécutif Groupe, Opérations et Technologie

Ecobank Transnational Incorporated (ETI), société mère du Groupe Ecobank a annoncé le 8 avril 2021 la nomination de Tomisin Fashina au poste de Directeur exécutif Groupe, Opérations et Technologie, poste qu'il occupera en plus de son rôle actuel de Directeur général d'eProcess International.

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Ade Ayeyemi, Directeur général du Groupe Ecobank a déclaré : « L'accélération rapide de l'adoption du numérique par les citoyens et les entreprises d'Afrique, ainsi que l'explosion du commerce électronique sur le continent, transforment les secteurs de la banque et des paiements. Réussir dans les opérations et la technologie est essentiel pour le succès à court, moyen et long terme du Groupe Ecobank, et fait partie intégrante de notre volonté de répondre aux attentes en constante évolution de nos clients. Tomisin Fashina possède l'expérience nécessaire pour y parvenir, et sa nouvelle fonction lui permet d'avoir une vue d'ensemble de nos opérations et de nos technologies ».

Tomisin Fashina a plus de 30 ans d'expérience, principalement dans la gestion des technologies et les services financiers. Avant de rejoindre le Groupe Ecobank, il était Président du conseil d'administration de la Steward Bank, Harare, Zimbabwe. Il a également été Directeur général de Yookos, un réseau social, et a occupé plusieurs postes à la Barclays Bank, notamment celui de Directeur général des produits de banque transactionnelle et de gestion des canaux, et celui de Directeur de la gestion de trésorerie et des paiements. Auparavant, chez Citigroup Afrique du Sud, il a exercé des fonctions de direction au sein de Global Transaction Services, en tant que Chef de division et Directeur de la prestation de services aux clients pour l'Afrique subsaharienne, et Chef de division de la banque électronique et de la mise en œuvre pour l'Afrique subsaharienne.


Tomisin Fashina est titulaire d'une licence en ingénierie informatique de l'université Obafemi Awolowo, d'un MBA en marketing de l'université de Lagos et d'un doctorat de gestion d'entreprise en leadership de l'université Capella, Minnesota, États-Unis.


M. Fashina succède à Eddy Ogbogu au poste de Directeur exécutif Groupe, Opérations et Technologie, suite au récent départ à la retraite de ce dernier après onze années passées au sein du Groupe.

Ecobank Transnational Incorporated (‘ETI’) est la société mère du Groupe Ecobank, le premier groupe bancaire panafricain indépendant. Le Groupe Ecobank emploie plus de 14 000 personnes au service d’environ 24 millions de clients dans les secteurs de la banque des particuliers, la banque commerciale et la banque de grande clientèle dans 33 pays africains.

Adja Ilboudo

 

International : Akunna Cook nommée au poste de sous-secrétaire d'État adjoint aux affaires africaines par Joe Biden, président des États-Unis

D’origine nigériane, avant de pratiquer le droit, Akunna Cook avait travaillé pendant 10 ans en tant que diplomate de carrière au Département d'État où elle se concentrait sur le développement économique et politique. Elle a également servi à l'étranger en Chine, en Afrique du Sud et en Irak où elle a conseillé des entreprises américaines sur le commerce, l'investissement et les risques politiques.

Akunna Cook

Toute chose qui persuade ses proches qu’il s’agit d’un choix du Président Joe Biden. Elle est « un diplomate chevronné et africaniste avec un bilan impressionnant de réalisations en matière d'autonomisation économique et d'équité pour les personnes de couleur » s’est réjouie Rosa Whitaker, présidente et chef de la direction de Whitaker Group.

À Washington, elle a été assistante spéciale du secrétaire d'État adjoint chargée des affaires africaines, de l'engagement multilatéral, de la gestion et des questions juridiques.

Elle a obtenu son diplôme en droit de la Yale Law School et une maîtrise en politique publique de la Harvard Kennedy School of Government. Cook est membre à terme du Council on Foreign Relations et membre du barreau de Washington, DC.

 

La Rédaction

Journée internationale de la femme, 8 mars 2021 « Leadership féminin : Pour un futur égalitaire dans le monde de la Covid-19 »

Tribune du Président de la Banque Ouest Africaine de Développement

La journée spéciale du 8 mars, commémorée dans le monde en faveur des droits des femmes, me donne l’occasion de rendre un hommage appuyé à toutes les braves femmes : les épouses, mères et filles du monde entier et, particulièrement, celles de notre sous-région.

Les femmes font face à des pesanteurs socio-culturelles et souvent d’exclusion sociale et économique ; mais continuent à faire montre d’une résilience avec bravoure en s’engageant et prenant sur elles le pari de l’amélioration de leurs conditions de vie et celles de leurs foyers. Dans ce combat, la responsabilité des hommes est un levier structurel de changement.

Les constats ci-dessous traduisent si bien la pertinence du thème de la présente commémoration :

En Afrique subsaharienne, 59% des femmes de 25 à 34 ans figurent parmi les personnes extrêmement pauvres, d’après une étude mondiale réalisée par l’ONU sur le rôle des femmes dans le développement[1]. Cette étude recommande de placer l’égalité des sexes, les soins et travaux domestiques non rémunérés au premier rang des priorités dans l’élaboration des stratégies d’élimination de la pauvreté et de développement durable.

En Afrique de l’Ouest, les inégalités entre les sexes sont très profondes au détriment des femmes comme le mesure l’indice moyen des inégalités des Nations Unies [0,61 sur 1], ce qui reflète la persistance des discriminations. La pandémie de la COVID-19 a malheureusement creusé ce fossé et les droits des femmes, y compris ceux relatifs à l’intégrité physique, ont été bafoué.

La COVID nous montre aussi qu’il est une nécessité absolue, pour faire société, de s’appuyer sur celles qui la font exister, que ce soit au sein de leurs foyers ou au sein des structures économiques. Tout ceci nous invite à la nécessité d’actions afin de promouvoir le leadership féminin ; et de soutenir, à travers nos financements, l’émergence des femmes entrepreneures comme acteurs clé de la croissance économique.

Ainsi, la réponse de la Banque à la pandémie ne se limite pas à rectifier des inégalités de longue date ; il s’agit de contribuer à bâtir un monde résilient dans l’intérêt de tous, où aucune femme n’est laissée pour compte. C’est pourquoi, la Banque accentue dans les Etats membres ses interventions afin de garantir au profit des femmes la création d’opportunités économiques et d’emplois.

Ce qui précède indique la cohérence et la pertinence du thème, combien évocateur, retenu cette année au niveau international. L’avenir sera meilleur lorsque les femmes seront pleinement parties prenantes des instances décisionnelles afin que leurs besoins pratiques et stratégiques soient efficacement pris en compte. La BOAD en tant qu’institution de développement durable a une responsabilité centrale dans la promotion et la réalisation de l’émancipation des femmes. C’est la raison pour laquelle, nous nous sommes engagés à travers notre Plan Stratégique Djoliba 2021-2025 à assurer un financement inclusif pour les femmes.

En interne, la Banque a mis un accent particulier sur le renforcement des compétences et du leadership féminin et l’amélioration du taux de participation des femmes dans les instances de la Banque. Bien entendu, aucune différence n’est faite dans la rémunération : à poste égal, les femmes et les hommes perçoivent la même rémunération.

En matière de gouvernance de l’Institution, en plus des directrices déjà en poste avant ma nomination, j’ai récemment recruté une directrice de cabinet et promu une femme au poste de Secrétaire Générale de la BOAD. Au-delà du prix que j’attache à la question du genre, les choix portés sur ces deux collaboratrices pour occuper des postes éminemment stratégiques, sont en phase avec les engagements que j’ai souscrits auprès des plus hautes Autorités de l’UEMOA lors de ma prise de fonction et se justifient amplement au vu de la compétence dont elles font preuve. 

Je souhaite saluer les nominations de Dr Ngozi Okonjo-Iweala à la tête de l’OMC ainsi que celles de toutes ces femmes qui par leurs mérites et leurs expertises occupent de hautes fonctions dans nos Etats, nos entreprises et nos institutions. Le leadership des femmes n’est pas un vœu pieux, c’est une nécessité de développement ; et j’ose espérer que ces nominations ouvrent et renforcent en Afrique l’émergence d’un leadership féminin seule vraie voie pour un développement humain durable et équitable.

Je voudrais transmettre mes vives félicitations aux Etats de l’Union qui adhèrent à ces efforts de promotion du leadership féminin. Un monde où la femme et l’homme contribueraient et bénéficieraient équitablement des fruits du développement de nos sociétés et de nos économies est en émergence. C’est une fierté et un devoir de pouvoir contribuer à son avènement en ma qualité de Président de la BOAD.

 

Serge EKUE

Président de la BOAD

 

Les stars nigérianes de la musique afrobeats, Burna Boy et Wizkid, ont toutes deux été récompensées lors des Grammys 2021.

Burna Boy a remporté la catégorie du meilleur album de musique globale, tandis que Wizkid a remporté le prix du meilleur clip vidéo pour sa chanson avec Beyoncé, Brown Skin Girl, tirée de l'album Lion King : The Gift.

 Wizkid

La fille de Beyoncé, Blue Ivy, a également été récompensée pour cette chanson.

 Le prix de la meilleure vidéo musicale est décerné à l'artiste, au réalisateur et au producteur de la vidéo. Burna Boy, de son vrai nom Damini Ogulu, nominé pour la deuxième année consécutive, a gagné avec son album Twice As Tall.

 La 63e cérémonie des Grammy Awards se déroule à Los Angeles. Traditionnellement présentée comme "la plus grande nuit de la musique", la cérémonie de cette année est différente en raison de la pandémie de coronavirus.

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Dans la nuit du dimanche au lundi 15 mars, de nombreux artistes ont été récompensés lors de la 63e cérémonie des Grammy Awards, dont une icône, Beyoncé.

La collection de Grammy de Beyoncé s’agrandît avec 28 prix au total. Du jamais vu pour cette cérémonie. Elle se retrouve à égalité avec le célèbre producteur Quincy Jones. D’ici quelques années, il se pourrait bien que Beyoncé détienne le record de trophées de la cérémonie.

Beyoncé

Girl Power! Chaque année se déroule la prestigieuse cérémonie des Grammy Awards. Et pour cette 63e édition, les artistes décident d’offrir une soirée de rêve aux téléspectateurs. Au programme, un défilé de stars dans des tenues somptueuses, des performances inédites et bien évidemment la fameuse remise de prix!

Et avec de nombreuses nominations, Beyoncé en ressort la grande gagnante. La chanteuse repart avec trois prix entre les mains. Celui de la «Meilleure performance rap» pour le titre «Savage» avec Megan Thee Stallion. Egalement la «Meilleure performance R&B» pour «Black Parade».

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Amel Bent mobilisée pour les droits des femmes

En ce 8 mars, journée internationale des droits des femmes, Amel Bent s’engage au sein de la campagne «RegardeMoiBien», initiée par le Fondation des Femmes. Découvrez ses posts Instagram.

Amel Bent

«Regarde-moi bien quand je dis non.» Amel Bent fait passer un message fort en soutien à toutes les femmes, en ce 8 mars 2021. La chanteuse fait partie des célébrités à poser pour la Fondation des Femmes qui œuvre pour la reconnaissance de la parole, des droits et des revendications des femmes.  

«Ignorer les femmes c’est bafouer leurs droits», dévoile la Fondation dans un communiqué relayé par l’interprète de «1,2,3».

Amel Bent pose sobrement sur un fond blanc pour le mouvement «RegardeMoiBien». Elle rejoint ainsi les artistes Julie Gayet, Anna Mouglalis, Muriel Robin ou encore Nadège Beausson-Diagne.

Amel Bent remercie les femmes qui l’entourent

En cette journée internationale des droits des femmes, Amel Bent a également voulu honorer toutes les femmes du monde entier et plus particulièrement celles qui l’entourent comme sa mère ou sa sœur. En légende de photos de sa famille, l’artiste écrit: «Vive nous».

La chanteuse revient sur son parcours et sa construction personnelle possibles grâce aux soutiens sans failles des femmes qui l’accompagnent : «Ma loyauté envers les femmes est sûrement un des liens le plus puissant de mon existence. Chaque parcelle de moi , je l’ai construite avec ou pour une femme . Elles sont depuis toujours les grandes architectes de ma vie. J’ai foi en leur pouvoir , leur force et leur résilience.», explique-t-elle sur Instagram.

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lundi, 15 mars 2021 11:34

Brenda Biya en quête d’amour !

Brenda Biya en quête d’amour !

La fille du couple présidentiel camerounais Paul et Chantal Biya, la ravissante Brenda notamment, a récemment fait une sortie via sa page officielle Facebook dans laquelle elle a fait savoir à ses milliers à tous ceux qui la suivent sur les réseaux sociaux, qu’elle est à la recherche de l’amour. Mais pas n’importe quel amour.

Brenda Biya

Brenda, fille de Paul Biya, président de la République du Cameroun et de Chantal, a récemment fait une sortie via sa page officielle Facebook dans laquelle elle a fait savoir à ses milliers de fans et à tous ceux qui la suivent au quotidien sur les réseaux sociaux, qu’elle est à la recherche de l’amour. Cependant, selon elle il ne s’agit pas de rechercher n’importe quel amour. Il est question pour Brenda Biya de rechercher un amour spécifique.

La chanteuse camerounaise, Brenda Biya, 23 ans, qui a également signé la sortie de son premier album de cinq chansons, espère un amour réconfortant, calmant et sûr. En un mot, un amour parfait. « Je veux un genre d’amour réconfortant, calme et sûr », a-t-elle écrit. Et cette publication est suivie de sa photo en couverture de « BREF MAGAZINE ».

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CONGO- IFC : des femmes peintres et sculpteurs congolaises exposent leurs œuvres

 Les femmes peintres et sculpteurs congolaises  participent à l’exposition collective intitulée « L’écho » que l’Institut français du Congo à Pointe-Noire accueille dans le cadre de la célébration du mois de mars dédié à la lutte pour les droits de la femme. Lancée le 12 mars l’activité qui réunit une cinquantaine d’œuvres prendra fin le 8 avril prochain.

14 femmes artistes peintres et sculpteurs de Pointe-Noire et de Brazzaville et un jeune talent de 4 ans, toutes membres de l’Association des femmes artistes peintres et sculpteurs du Congo (AFAPSC) participent à cette exposition, une commémoration en l'honneur des talents féminins. Actuellement, à l’entrée de l’IFC, tous les regards sont attirés par une sculpture d’éléphant d’au moins deux mètres de hauteur réalisée avec des objets de récupération, notamment des boites de conserve et des canettes. Cette œuvre  qui fait partie de l'exposition donne un aperçu de l’évènement. Visibles de l’extérieur, l’exposition compte une quarantaine d’œuvres aux couleurs chaudes et froides. Un nombre important qui a nécessité de l’imagination de la part de l’IFC pour les rendre toutes visibles, a expliqué sa directrice Sylvie Bayonne : «Nous avons essayé de placer d’une manière harmonieuse les œuvres jusqu’à la mezzanine, l’espace d’exposition étant trop restreint ».

Lesdites œuvres (du concret et de l’abstrait) ont des dimensions allant de 20cmx10 (avec le  tryptique La beauté d’une femme de Lauréa Mbemba) à des grandes dimensions comme les fresques de 2m x 1,50m intitulées L’univers, La réunion des sages et Travail et développement de Florence M’bilampassi, présidente de l’AFAPSC Pointe-Noire, ainsi que  celle de  Judith Tonda, Le port de Yoro, de 2m x1m50  également. On note aussi la présence de deux œuvres exceptionnelles intitulées Papa et maman et le Covid de 20 x15 cm réalisées par la petite Victoire Nganga âgée de 4 ans. Présente lors du vernissage, son talent a épaté les invités. 

Les femmes ont usé de plusieurs techniques: acrylique plus peinture à huile, huile sur toile, aluminium plus colle plus bois, acrylique sur toile, collage huile sur toile,  etc. Certaines ont aussi utilisé des tissus wax, du raphia et des accessoires comme des parures. Les thèmes abordés concernent la femme mais aussi la société. Les titres des différentes œuvres sont d’ailleurs très évocateurs et parlants. On peut citer des titres comme La protestation féminine de Murielle Louemba, Regard de Frageska Mboumba, La pensée 1 et 2 de Nianga Khadji, Journée de la femme et Retour de la récolte de Claudine Tsimba, La réunion des sages 1 (dyptique) de Tsona Mboula.

Il y a aussi A la poursuite de son mari de Flodie Nganga, La femme du 8 mars d’Audrey Nkengué. La guitariste de Jenny stand, L’éveil de Christiane Mochany et la fresque de Florence M’bilampassi, Travail et développement, un thème très cher pour cette dernière qui a  expliqué: «Il faut penser au développement. C’est cela qui permet de travailler dur et d’avancer. Quand on parle du développement d’une nation cela ne concerne pas que les hommes. Les femmes doivent aussi travailler pour contribuer au développement de la nation». Dans le hall de l’IFC, l’attention est aussi fixée sur les tableaux de Princilia Loumboumbou ainsi que la représentation de deux leaderships féminins faite par Célia Jules. Il s’agit de Makeda donc la Reine de Saba (incarnation de la beauté) et Ngalifourou, reine du royaume Téké qui incarne la force. « C’est pour dire que la femme c’est la représentation de la beauté mais aussi de la force », a lancé Celia Jules.

Outre les tableaux, l’exposition compte aussi des sculptures comme l’éléphant en boites de conserve et canettes déjà cité (une œuvre réalisée par Florence M’bilampassi avec les élèves des écoles Nelson Mandela et Ki-zerbo), Odzala la mascotte en bois de l’AFPSC, Le poisson composé de fer et de bouchons de bière réalisé par Lauréa Mbemba.

 

Agence d’Information d’Afrique Centrale

Promotion de l’entrepreneuriat féminin et de l’égalité professionnelle : le Togo champion sous-régional

Le rapport Women Business and Law 2021 de la banque mondiale est tombé : en Afrique subsaharienne, le Togo est le 7ème pays ou l’égalité professionnelle et l’entrepreneuriat féminin se développent le plus ; il vient en tête dans l’espace UEMOA. Cela est dû aux actions engagées par le gouvernement en ce sens, dont un meilleur accès aux marchés publics souligne une livraison de notre confrère agence ecofin.

Promotion de l’entrepreneuriat féminin et de l’égalité professionnelle : le Togo champion sous-régional

 

On observe ainsi qu’en 2020, 27% des nouvelles entreprises créées dans le pays l’ont été par des femmes. Ces dernières se voient également confier de hauts postes de responsabilité, dont la présidence du parlement, la primature ou encore le secrétariat général de la présidence.

Un bel exemple auquel donner de l’écho, alors que le monde vient de fêter la journée internationale de la femme, sous le thème « Leadership féminin : pour un futur égalitaire dans le monde de la Covid-19 ».

 

La Rédaction