SANTE

SANTE (13)

Il faut mettre fin aux récits alarmistes sur la croissance démographique, selon l’UNFPA 

Le corps des femmes ne doit pas être tenu captif des politiques gouvernementales ou des récits alarmistes concernant la croissance démographique, a déclaré l'agence des Nations Unies pour la santé sexuelle et reproductive (UNFPA) dans un nouveau rapport publié mercredi.

 

Conseils nutritionnels et diététiques : Ramadan et nutrition avec la spécialiste en nutrition Madame Coura Yasmine Sandrine Zerbo/Ouédraogo

La communauté musulmane de par le monde est en plein pied dans le mois de jeûne , un pilier de l’islam. Afin de faciliter la traversée de ce mois béni , la nutritionniste et diététicienne Madame Coura Yasmine Sandrine Zerbo/Ouédraogo livre quelques conseils. Lisez plutôt.

Fistule obstétricale : Honteuse mais bien évitable

 

Considérée comme une maladie de la honte, la fistule obstétricale est la conséquence d’un long et pénible travail, sans assistance adéquate lors de l’accouchement. L'accès à des services de soins de santé maternelle de qualité, y compris la planification familiale, des accoucheuses qualifiées et des soins obstétricaux et néonatals d'urgence permettent de prévenir de telles complications.

 

Amélie Zongnaba a bénéficié de la formation organisée par l’UNFPA

sur le diagnostic et la prise en charge de la fistule

obstétricale dans le Centre hospitalier régional de Banfora, au Burkina Faso

 

Monique a 30 ans. Il y a quelques mois, les services du Centre hospitalier régional de Banfora, dans la région des Cascades au Burkina Faso, lui ont diagnostiqué une fistule obstétricale. Cette maladie lui a ôté toute envie de donner à nouveau la vie. « J’ai décidé de ne plus enfanter. J’ai perdu trois grossesses et les trois autres grossesses ont fait l’objet d’interventions chirurgicales. Je suis fatiguée… », relate-t-elle, toute dépitée.

La fistule obstétricale est une perforation entre le vagin et la vessie ou le rectum. Elle peut survenir lors d’un accouchement difficile prolongé. Les femmes qui présentent cette affection souffrent d’une incontinence permanente. Elles perdent des urines ou des selles et en ressentent de la honte. Elles sont sujettes au rejet de la société. Non prise en charge, cette pathologie provoque à long terme des problèmes de santé plus compliqués, tels que les infections cutanées, les troubles rénaux, l’infertilité, voire le décès.

Fatchiè, une autre victime de la fistule dans la même région des Cascades, a dû cesser ses activités de fermière, compte tenu de ses pertes incontrôlées d’urine. Cette situation a fini par constituer un handicap insurmontable pour elle. Si certaines malades de la fistule peuvent compter sur le soutien de leurs familles et entourage, ce n’est pas le cas de la majorité d’entre elles. Encore aujourd’hui au Burkina Faso, cette maladie est un tabou au sein de nombreuses communautés, qui l’attribuent à des phénomènes mystiques ou à un châtiment.

 

Avec le sourire, Fatchiè espère un nouveau départ après tant d’années de souffrance

 

Siengui se rappelle. Autrefois paysanne, son calvaire a commencé à l’issue de sa deuxième grossesse. Après une longue journée de travail lors de son accouchement à domicile, la délivrance n’est toujours pas au rendez-vous et son état se dégrade. Elle est admise en urgence dans une formation sanitaire pour une césarienne. Malheureusement, son enfant ne survivra pas. De retour à la maison, elle remarque qu’elle est trempée. Son urine s’écoule, de façon incontrôlée. Se sentant souillée, elle subira quinze longues années d’exclusion. “Faute de moyens pour me rendre à l’hôpital, j'ai vécu quinze ans avec la maladie. Mon mari, pauvre et fatigué par l'âge, n'a pas pu m'assister. J’ai alors été abandonnée à mon propre sort”, relate, les larmes aux yeux, Siengui, aujourd’hui âgée de 55 ans.

 

Au moment où nous recueillons ces témoignages, Monique, Fatchiè et Siengui reçoivent des soins de chirurgie réparatrice au centre hospitalier de Banfora. Une intervention dont elles bénéficient gratuitement grâce à l’appui de l’UNFPA. « Je suis heureuse. Je vais pouvoir reprendre mes activités. Néanmoins je vais mettre fin aux travaux pénibles et me tourner vers le petit commerce », affirme Fatchiè.

 

L’Organisation mondiale de la Santé estime à 2 millions, le nombre de femmes vivant avec la fistule en Afrique subsaharienne et en Asie. Au Burkina Faso, en 2019, le nombre de nouveaux cas de fistules était estimé à 900 avec une prévalence de 16 000 cas.

 

A travers le monde, le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA) distribue des fournitures médicales, assure des formations, procure des fonds en faveur de la prévention, des chirurgies réparatrices de la fistule et propose des programmes de réinsertion sociale.

 

Au Burkina Faso, en partenariat avec le ministère de la Santé, le Bureau pays de UNFPA a formé le personnel de la maternité du Centre hospitalier régional de Banfora.

 

 Source : UNFPA

 

 

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Rédaction : Jaunasse Yaro

 

Photographies : Désiré Ouédraogo

Endométriose : et si elle était due à un manque de testostérone ?

L'endométriose est caractérisée par la migration de tissus de l'endomètre en dehors de l'utérus, généralement dans la région pelvienne. Elle peut rester asymptomatique, sans conséquence pour la santé et donc ne pas nécessiter de prise en charge. En revanche, chez certaines femmes, l'endométriose entraîne des inflammations, des douleurs chroniques ou aiguës, ainsi qu'une infertilité. La prévalence reste difficile à affirmer mais on estime qu'elle toucherait entre 10 et 15% des femmes en âge de procréer.

Une maladie encore mal connue

Les causes de la croissance du tissu endométrial à l'extérieur de l'utérus ne sont toujours pas claires pour les médecins. Mais les chercheurs de l'Université Simon Fraser de Vancouver (Canada) viennent d'émettre une nouvelle hypothèse. Selon ces derniers, la maladie trouverait son origine lors du développement foetal. Les femmes souffrant d'endométriose se seraient développées dans l'utérus de leur mère, dans des conditions de testostérone relativement faible, par rapport aux femmes sans endométriose.

Selon la théorie des chercheurs canadiens, cette carence en testostérone "programmerait" le système reproducteur en développement des femmes et son futur dysfonctionnement : cycles menstruels courts, sensibilité élevée à la douleur, inflammation élevée et niveaux altérés des hormones qui contrôlent l'ovulation et le cycle menstruel. "Un faible taux de testostérone au début du développement est le plus fort (...)

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Si vous souffrez de syndromes prémenstruels, ces astuces vont peut-être vous changer la vie.
 
Règles douloureuses : 3 astuces pour les calmer - Dakar92
 
Des aliments riches en magnésium

S'il est conseillé de faire attention à son alimentation pendant sa période de règles, nos diverses fringales rendent parfois la tâche extrêmement compliquée. Pour se faire, on mise sur des aliments riches en magnésium que l'on pourra grignoter toute la journée. On pense notamment à tous les types de noix (des cerneaux, des noix de pécan, du Brésil, de macadamia, etc), au riz complet, aux lentilles, aux épinards, aux bananes, mais aussi... Au chocolat noir ! Petites astuces : il peut être intéressant des privilégier des eaux riches en magnésium comme l'Hépar ou la Contrex.

Les douleurs de règles sont parfois intenses, et rien ne semble pouvoir les calmer. Ces symptômes, qui portent le nom de SPM (syndrome prémenstruel), varient évidemment selon les femmes. Si pour certaines les douleurs sont « surmontables », d’autres se voient freinées dans leur quotidien du fait de ces désagréments persistants. Alors avant de passer par la case « médicament », focus sur les astuces naturelles les plus efficaces à tester !

 

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L'ambiance est torride, le désir brûlant et votre haleine fraîche. Votre bouche dialogue avec le clitoris de votre partenaire, la zone et ses 8000 terminaisons nerveuses est humide ; les sensations sont délicieuses plus encore, car une brise mentholée la caresse à présent. Souffler délicatement de l'air frais (ou chaud) sur le clitoris, une stimulation dont on aurait tort de se priver lors d'un cunnilingus.

Mais comme l'a rappelé le docteur Gérald Kierzek dans son livre 101 conseils pour ne pas atterrir aux urgences publié en 2014 (Ed. Robert Laffont), certain.e.s pour provoquer le grand vertige peuvent soudainement avoir envie de pratiquer une puissante insufflation dans le vagin de leur partenaire. Un acte à ne SURTOUT PAS faire ! Pour la simple et bonne raison qu'une telle pratique peut conduire à la mort.

Pourquoi il ne faut surtout pas souffler dans le vagin de sa partenaire ?

S'il ne faut surtout pas souffler dans le vagin de sa partenaire, c'est parce qu'un tel acte pourrait en effet provoquer un pneumopéritoine à savoir la présence anormale d'air dans la cavité abdominale ; l'air passant du vagin à l'utérus et remontant par les voies anatomiques naturelles, les trompes de Fallope, dans la cavité abdominale.

Dès lors, l'épanchement de gaz va provoquer le décollement des deux feuillets de la membrane péritonéale, le feuillet pariétal (qui tapisse la paroi de l'abdomen) et le feuillet viscéral (qui tapisse les viscères). En somme, d'insupportables (...)

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L’association Info-Endométriose vient de lancer son premier podcast, mardi 1er septembre. Baptisé « Mon Endométriose », il permet de libérer la parole et de sensibiliser à cette maladie encore méconnue, en 2020.

« C’est en parlant que l’on fait avancer les choses ». Depuis 2016, l’association Info-Endométriose s’attelle à sensibiliser l’opinion publique à l’ endométriose. Car malheureusement cette maladie gynécologique est encore trop méconnue, bien qu’elle touche une femme sur dix, en France. Aujourd’hui, l’association va encore plus loin dans son engagement en proposant son premier podcast, avec le soutien du groupe Chantelle. Intitulé « Mon Endométriose » et diffusé depuis le 1er septembre, ce nouveau rendez-vous auditif a pour but de libérer la parole, de montrer aux femmes atteintes d’endométriose qu’elles ne sont pas seules et que des solutions existent. 

« Aujourd’hui, on travaille davantage à parler de ce qu’est l’endométriose, c’est-à-dire avec sa douleur, son parcours médical, l’infertilité, l’impact dans son travail, dans le sport. Mais aussi sur le tabou des règles. Car comme c’est une maladie liée aux règles, les femmes ont souvent du mal à en parler. Et nous, on essaye de briser un peu ces codes. On naît avec nos règles, alors qu’on n’a rien demandé », explique Cécile Togni, fondatrice de « Bureau Cécile Togni », chargée de la communication de l’association Info-Endométriose et animatrice du podcast. Cela faisait longtemps que l’idée d’une série de podcasts lui trottait dans la tête. Le confinement lui aura donné le temps nécessaire pour se lancer. « Il y avait beaucoup...

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Au bout d'un moment, la routine s'installe c'est indéniable. Mais il faut continuer à stimuler votre relation... Grâce à la taquinerie ! Eh oui, plaisanter est la clé d'un couple durable.

Voici le secret des couples qui durent.... Et c'est la science qui le dit !

Se regarder niaisement, rajouter des cœurs à chaque SMS ou se dire "je t'aime" tout le temps presque à en devenir mécanique ne feront pas de vous et votre partenaire un couple solide. Pendant les premiers temps, alors que la drague est encore le maître mot, oui. Mais pour construire une relation qui dure dans le temps, il semblerait que la clé soit tout simplement la taquinerie.

Une étude menée par Appalachian State University de Boone, en Caroline du Nord, s'est penchée sur le sujet. Selon les chercheurs, un couple pourra fonctionner sur la durée en misant un maximum sur la plaisanterie. Avec votre moitié, vous devez la chérir puisqu'elle permet véritablement de renforcer le couple et de le faire perdurer. Pour cause, la taquinerie dans une relation amoureuse (mais aussi amicale) est preuve que celle-ci est saine et qu'il y règne la confiance.

Comment faire durer son couple ? Plaisanter et titiller avec humour sa moitié !

Toutefois, taquiner son partenaire ne signifie pas l'inonder de blagues. D'une part parce qu'elles ne deviendront de moins en moins drôle et de plus en plus lourde. Et de l'autre, certaines viendront sûrement rabaisser le physique ou les traits de caractère de votre copain ou copine. Il va falloir jouer la carte de la subtilité en étant très observateur.trice et profiter des occasions pour sortir sa meilleure boutade. Que ce soit pour des moments du quotidien ou plus rare... Vous montrez ainsi à votre moitié que vous faites attention à ce qu'il fait (sans non plus être sur son dos) et stimulez votre couple !

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Mauvaise posture ? Efforts prolongés ? Position assise longue durée ? Les causes des maux de dos sont diverses et variées. Mais il y a une cause dont on se doute moins... Si l'on a mal au dos, cela peut être dû à un plancher pelvien qui ne serait pas assez musclé...

Mal au dos : l'important est d'avoir un centre solide

Selon le Dr. Sarah Collins, urologue dans l'Illinois, "le plancher pelvien fait partie d'un ensemble tout puissant qui constitue le "centre" qui est composé des muscles abdominaux, des muscles du dos, des muscles du plancher pelvien et du diaphragme. Quand il y a un problème avec un élément du centre, tous les autres sont affectés".

Une théorie totalement confirmée par Dr. Helen Bernie, urologue à l'university de santé de l'Indiana : "les douleurs dans le bas du dos et les dysfonctionnements du plancher pelvien sont intimement liés car les muscles qui supportent et protège la colonne vertébrale doivent aussi soutenir le plancher pelvien".

Jenna Walton, thérapist physique à la clinique UCHealth Steadman Hawkins à Denver, confirme également ces dires. "Il existe une étude au Canada, qui indiquait que 95,3% des femmes non enceintes qui souffraient de douleurs dans le bas du dos, avaient aussi un dysfonctionnement du plancher pelvien non diagnostiqué", indique-t-elle.

Mais alors comment contrer la faiblesse de son plancher pelvien ? En le musclant ? En utilisant des boules de Geisha ? Eh bien pas forcément. Les spécialistes s'accordent à dire (...)

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Difficile de se recentrer sur soi-même lorsque l'on est au milieu de l'agitation ambiante. Vous sentez que vous n'arrivez pas à vous concentrer ? Que vous vous éparpillez ? Voici une méditation guidée pour vous aider à couper avec les énergies parasites qui vous entourent.

Méditation guidée : retrouvez calme et sérénité

Pourquoi méditer ? On peut trouver beaucoup de raisons qui poussent à prendre un moment de quelques minutes pour soi. Aujourd'hui avec ce podcast et à travers cette méditation guidée, nous vous invitons à faire le vide autour de vous et de vous aider à apaiser votre esprit. A vous mettre dans votre bulle et à vous laisser submerger par des intentions positives. Juste histoire de vous recentrer sur ce qui compte.

Si vous sentez que vous avez du mal à vous concentrer, qu'au travail vous partez dans tous les sens et que vous n'arrivez pas à boucler votre to do list alors que vous avez pourtant le temps, pourquoi ne pas tenter de méditer quelques minutes afin de calmer votre esprit et ne plus vous laisser envahir par l'extérieur.

Méditation guidée : quel moment idéal pour méditer ?

A quel moment est-il recommandé de méditer ? En réalité, il n'y a pas de réponse universelle. Si certains vont préférer le matin, d'autres seront plus à même de se concentrer le soir, avant le coucher. Pour cette méditation guidée, nous vous conseillons de vous lancer lors d'un moment de calme, par exemple dans les transports si vous avez la chance d'avoir (...)

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