Elites Femmes

Elites Femmes

Laeticia N'cho est qualifiée par ses promotionnaires comme la plus belle femme naturelle de sa génération. À 40 ans, elle est la Directrice du "Groupe Addict". Elle a débuté sa carrière dans les cabinets d'expertises comptables en France puis dans le Conseil avant de créer sa première entreprise en France à 24 ans en 2004.

De retour chez elle en Côte d'Ivoire, elle a occupée d'importantes fonctions dont celles de responsable de la Stratégie et du développement, directrice commerciale et marketing, de DGA à DG Afrique Francophone de "Côte Ouest Audiovisuel". Elle démissionne de ses fonctions en 2015 et créé en 2016 le "Groupe Addict" spécialisé dans l'accompagnement des entreprises en matière de conseils en Stratégie d'entreprise et business développement. Son groupe est composé de cinq filiales et accompagne les PME dans la communication, la conciergerie, la restauration et l'immobilier.

Elle milite en faveur de l'entrepreneuriat des jeunes en général et en particulier l'accompagnement des jeunes filles. Depuis 3 ans, elle est dans le classement Top 100 "choiseul Africa" , les leaders économiques de demain publié par le magazine américain "Forbes ". Le 07 Mars 2018, Laeticia a remporté le prix de la femme entrepreneure Business Africa organisé par L'AGYP , le MEDEF, BUSINESS AFRICA et l'INSTITUT CHOISEUL.

Il est bon de rappeler que Lætitia N'Cho fût Miss Côte d'Ivoire 1998. 22 ans plus tard, elle devient une femme incontournable dans les affaires, une référence en Entrepreneuriat.

Pressecotedivoire.ci

Les Anchor Partners d’ANPI pour l'année 2020 sont African Leadership Group, AshesiDalbergJanngoet RiseUp. Depuis le lancement officiel des candidatures le 6 avril, les partenaires locaux ont joué un rôle déterminant dans la promotion du concours au prix de l'ABH dans leurs régions respectives, aidant ainsi à identifier et à engager des candidats potentiels. Les partenaires ont également travaillé en étroite collaboration avec les candidats aspirants pour renforcer leurs capacités de gestion et de leadership - en partageant connaissances, meilleures pratiques et idées de l'ensemble de leurs réseaux, ainsi qu'en offrant des programmes de formation et d'éducation. Les programmes comprennent "Africa’s Business Webinar Series" - qui à ce jour, a attiré plus de 7 000 entrepreneurs pour y participer.

Le concours au prix Africa’s Business Heroes - qui est ouvert aux candidatures en anglais et en français - vise à fournir aux entrepreneurs de partout en Afrique une plateforme pour présenter et développer leurs talents et leurs idées en affaires. Le prix est disponible à tous les entrepreneurs, quels que soient leur pays, leurs secteurs, leurs âges ou leurs sexes. ABH culminera dans une grande finale plus tard cette année dans laquelle les 10 meilleurs finalistes présenteront des légendes du monde des affaires pour avoir une chance de décrocher une partie des 1.5 million de dollars américains de subventions.

ANPI a également travaillé avec un écosystème diversifié de partenaires, y compris des incubateurs d'entreprises (Ethiopia Entrepreneurship Development Center, StartUp Factory Ethiopia, CTIC, Impact Hub Dakar, Outlierz Ventures, WikiStart Up, i4policy), des plateformes de communication (Sasai), des opérateurs de réseaux mobiles (Safaricom) et des médias (Pulse.Africa et Startimes) pour étendre davantage la sensibilisation de la base aux entrepreneurs et pour rendre les ressources d'éducation et de formation plus largement accessibles.

Jason Pau, Conseiller principal pour les Programmes Internationaux, à la Fondation Jack Ma a dit : "Nous sommes honorés de pouvoir travailler en étroite collaboration avec ces partenaires locaux exceptionnels pour organiser le concours au prix Africa’s Business Heroes dans tous les coins de l’Afrique et mettre en vedette les entrepreneurs talentueux à travers le continent. Nos partenaires extraordinaires partagent notre mission et notre engagement pour favoriser l'entrepreneuriat et nous espérons ensemble soutenir les entrepreneurs héros qui créeront des emplois et des opportunités pour leurs communautés locales et catalyseront un mouvement d'entrepreneuriat à travers l'Afrique".

L'édition 2020 du concours au prix de l'ABH a suscité un énorme intérêt et réactions. À ce jour, ABH a reçu 18 000 demandes de candidats représentant les 54 pays africains. L’édition inaugurale du concours de l’année dernière a attiré près de 10 000 candidatures de 50 pays africains. Cette année, prenant en compte les circonstances extraordinaires auxquelles font face les entrepreneurs et les PME à travers le monde et en Afrique, la date limite de dépôt des candidatures sera prolongée du 9 au 22 juin. Pour postuler et pour avoir les dernières mises à jour sur l'ANPI, veuillez consulter: africabusinessheroes.org et suivre @africa_heroes sur Twitter. Pour voir un documentaire sur les parcours des finalistes de l'année 2019, veuillez consulter YouTube.

Anchor Partners a commenté sa collaboration continue avec l'ANPI, notant ce qui suit :

  • "Aujourd'hui plus que jamais, nous avons besoin d’une abondance d’entrepreneurs pour lancer l’innovation et la création d’emplois nécessaires pour libérer le plein potentiel de l’Afrique. L'African Leadership Group est ravi de poursuivre son partenariat avec l'Initiative Africa Netpreneur Prize (ANPI) pour catalyser la prochaine génération d'entrepreneurs du continent audacieux, courageux et imaginatifs en matière de résolution des problèmes", a déclaré Fred Swaniker, Fondateur et PDG de l'African Leadership Group.
  • "Le programme Africa’s Business Heroes met l’accent sur le potentiel du continent et apporte les ressources nécessaires afin qu'il devienne le centre capable de la résolution des problèmes et l’une des plateformes les plus catalytiques pour les jeunes entrepreneurs. Ashesi est ravie de se joindre aux travaux visant à réaliser cette vision de l'entrepreneuriat africain en collaboration avec l'Initiative Africa Netpreneur Prize (ANPI) de la Fondation Jack Ma", a commenté Ebenezer Buckman, Directeur des Relations extérieures et Adjoint spécial du président, à Ashesi.
  • "Dalberg est fière de collaborer avec l'Initiative Africa Netpreneur Prize (ANPI) de la Fondation Jack Ma. Nous partageons la conviction selon laquelle l'entrepreneuriat est un vecteur de transformation sociale et économique sur le continent, et les entrepreneurs africains peuvent atteindre le double objectif de profit et de finalité ", a déclaré Robin MillerPartenaire et Chef mondial des Pratiques numériques et de Données chez Dalberg". "En tant qu'une entreprise axée sur l'Afrique, nous avons également entrepris le même parcours pour construire une plateforme qui soutient désormais la transformation de l'Afrique à partir de 13 bureaux au continent. Nous sommes donc fiers que notre Anchor Partnership implique de travailler avec la Fondation Jack Ma pour renforcer la résilience entrepreneuriale à travers le continent", a-t-il ajouté.
  • "Nous sommes extrêmement fiers de nous associer à la Fondation Jack Ma, puisque nous partageons le même ADN entrepreneurial, le même esprit d'innovation, la même passion pour l'Afrique et la même conviction selon laquelle la technologie peut accélérer le développement de notre continent bien-aimé. Il est temps d'agir : les entrepreneurs sont les véritables héros en affaires en Afrique alors qu'ils s'efforcent de créer des solutions qui changent la vie quotidienne de tous les Africains et des opportunités d'emploi massives pour les jeunes. En tant qu'investisseur panafricain de capital-risque dirigé par les femmes, Janngo est également très fière de soutenir les femmes entrepreneures et de les encourager à postuler massivement à l'Initiative Africa Netpreneur Prize (ANPI) 2020", a dit Fatoumata Ba, Fondatrice et Présidente exécutive de Janngo.
  • "RiseUp est ravie de s'associer au Prix de l'Initiative Africa Netpreneur Prize (ANPI) de la Fondation Jack Ma pour la seconde année consécutive alors que nous recherchons ensemble les héros en affaires d'Afrique 2020 ! Au milieu des défis mondiaux d'aujourd'hui, RiseUp et la Fondation Jack Ma sont réunies par une croyance partagée en la puissance du courage, de la créativité et de l'innovation pour résoudre les problèmes les plus urgents du monde. Nous recherchons la prochaine génération des héros en affaires en Afrique, et l'impact considérable de la Fondation Jack Ma sur le continent africain en fait d'eux le partenaire idéal pour cette initiative !", a déclaré Abdelhameed Sharara PDG et co-fondateur de RiseUp.

À propos de l'ANPI

L'ANPI est une initiative philanthropique phare dirigée par la Fondation Jack Ma qui vise à soutenir et à inspirer la prochaine génération d'entrepreneurs africains dans tous les secteurs, qui contribuent à bâtir une économie plus durable et plus inclusive pour l'avenir du continent. Sur une période de dix ans, l'ANPI honorera 100 entrepreneurs africains et s'engagera à attribuer 100 millions de dollars de subventions, programmes de formation et de soutien au vaste écosystème entrepreneurial africain. L'ANPI organise la cérémonie et le concours au prix "Africa’s Business Heroes" où dix finalistes auront l'opportunité de présenter leurs entreprises en vue de décrocher une partie des 1.5 million de dollars américains de subventions. Jack Ma, Fondateur du Groupe Alibaba et de la Fondation Jack Ma, a créé ce prix pour la première fois après son premier voyage en Afrique en juillet 2017 et a été inspiré par l'énergie et le potentiel entrepreneurial des jeunes qu'il a rencontrés.

À propos de la Fondation Jack Ma

Créée par Jack Ma, le Fondateur du groupe Alibaba, la Fondation Jack Ma a été créée le 15 décembre 2014 et se concentre sur l'éducation, l'entrepreneuriat, le leadership des femmes et l'environnement. La Fondation aspire à être une organisation philanthropique fiable, participative et durable. Jusqu'à présent, la Fondation Jack Ma a soutenu des projets du monde entier, y compris le Programme d'éducation rurale Jack Ma, l'Initiative Africa Netpreneur Prize, le Programme de bourses d'études Ma & Morley et la Fondation Queen Rania de Jordanie. De plus, la Fondation a financé un certain nombre de projets dans ses domaines prioritaires. La Fondation Jack Ma s'est engagée à habiliter les éducateurs ruraux, les entrepreneurs, les enfants des zones rurales, les jeunes start-ups et les femmes pour les préparer pour l'avenir et les aider à bâtir une société plus joyeuse, plus saine, plus durable et plus inclusive.

L’association Oxfam détaille dans un rapport publié ce lundi, les inégalités femmes-hommes dans les grandes entreprises. A ce jour, une seule femme est à la tête d’une entreprise du CAC40.

Dans un rapport publié aujourd’hui, Oxfam pointe du doigt les inégalités femmes-hommes. Notamment la sous-représentation des femmes à la tête des grandes entreprises.En effet, elles n’étaient que deux femmes à la tête d’une entreprise du CAC 40. Après le limogeage d’Isabelle Kocher de la direction d’Engie, il n’en reste donc plus qu’une : Ilham Kadri, PDG de l’entreprise belge Solvay.

Une sous-représentation à la tête des entreprises …

Les femmes sont quasi inexistantes à la tête des grandes entreprises. Ainsi la proportion de femmes dirigeant une entreprise du SBF120 (société des bourses françaises) est en France de 2 % contre 6 % en Angleterre et 8 % aux Etats-Unis.  « C’est la traduction d’un véritable plafond de verre pour les femmes, victimes de discriminations tout au long de leur carrière et de préjugés sur leur soi-disant manque de leadership : elles sont perçues comme moins compétentes et aptes à diriger. Leur faible présence à la tête des entreprises ne fait qu’alimenter ce stéréotype », souligne Oxfam sur France Inter.

… mais une représentation équilibrée dans les conseils d’administration

Si les femmes sont sous-représentées à la tête des grandes entreprises, elles sont cependant plus nombreuses dans les conseils d’administration. La France est notamment le premier pays au monde en termes de nombre de femmes dans les conseils d’administration, détaille le rapport d’Oxfam. Et ce, notamment grâce à la loi Copé-Zimmermann de 2011.

Les femmes, salariées les plus précarisées

Le rapport pointe aussi d’autres dysfonctionnements. Les femmes sont, en effet, surreprésentées dans les métiers les plus précaires et les moins bien rémunérés. Ainsi, en France, elles occupent 78% des emplois à temps partiel et 70% des CDD et des interims. Quant aux écarts de salaires, ils sont toujours aussi importants : les hommes gagnent toujours en moyenne, 22,8% de plus que les femmes. Pour un poste à compétences égales, on est toujours à 9% d’écart.

 

helloworkplace.fr

S'ils tendent à se réduire dans le temps, les écarts de rémunération entre les femmes et les hommes restent importants. Selon la dernière étude de l'Insee, publiée en juin 2020, les femmes salariées dans le secteur privé gagnaient en moyenne 16,8% de moins que leurs homologues masculins en 2017, pour un même volume de travail. Mais en intégrant le fait que les femmes travaillent beaucoup plus souvent que les hommes à temps partiel et sont "moins en emploi dans l'année", l'écart se creuse bien plus entre les deux sexes. La différence de rémunération atteint alors 28,5% en moyenne.

"Plus de 40% de cet écart résulte des inégalités de temps de travail", souligne l'Institut national de la statistique. Depuis 40 ans, les écarts de salaire pour un même volume de travail se réduisent de manière régulière, grâce à une baisse moyenne de 0,3 point par an. Résultat, la différence de rémunération pour des emplois à temps plein est passée de 29,4% en 1976 à 16,3% en 2017. Outre le temps de travail, l'écart de salaire s'aggrave avec le niveau de diplôme. Il s'élève ainsi à 29,4% pour les titulaires d'un Bac +3 ou plus, contre 15,8% pour celles et ceux qui n'ont pas le baccalauréat.

De même, la différence de rémunération entre les sexes s'accroît au fil des ans, avec l'expérience professionnelle. Ainsi, à moins de 5 ans d'expérience, l'écart se monte à 6,4%, quand il grimpe à 21,7% en moyenne entre les femmes et les hommes qui ont plus de 30 ans de carrière. Dans le même temps, les inégalités en matière de volume de travail sont plus fortes pour les personnes en phase d'insertion professionnelle que pour celles plus avancées dans leur carrière.

Pas les mêmes métiers exercés, ni les mêmes fonctions hiérarchiques

Les inégalités salariales globalement constatées s'expliquent aussi par la différence des professions exercées. "Les hommes et les femmes n’occupent pas les mêmes métiers, ne travaillent pas dans les mêmes secteurs ou les mêmes entreprises", relève l'Insee. Les femmes se concentrent beaucoup plus dans des professions liées à la santé et à l'action sociale et occupent globalement des fonctions moins variées que celles des hommes. On retrouve ceux-ci bien plus dans les métiers liés à la construction, au transport et à l'entreposage.

La profession la plus fréquente chez les femmes est celle de secrétaire, occupée par 5,39% d'entre elles, quand le métier de conducteur routier est celui qui revient le plus souvent chez les hommes (3,54%). Surtout, l'Insee constate de réelles inégalités hiérarchiques, 22,8% des postes occupés par les hommes en 2017 correspondant à des emplois de cadre, contre seulement 17,5% pour les femmes. Les hommes cadres évoluent notamment dans le domaine de l'informatique, un secteur très masculin dès les années d'études.

Au bout du compte, la "ségrégation professionnelle", c'est-à-dire le fait que femmes et hommes n'exercent pas les mêmes métiers et n'occupent pas les mêmes postes, est responsable de 68% de l'écart de rémunération, à temps de travail équivalent. Quand ils se trouvent au même poste, l'écart de salaire se réduit considérablement, même s'il reste encore de 5,3%.

Enfin, les inégalités salariales s'envolent avec le nombre d'enfants. Le salaire des femmes est ainsi inférieur de 21% à celui des hommes pour les parents de deux enfants, à temps de travail équivalent. Et ce chiffre bondit même à 31% pour les parents de trois enfants ou plus, contre un écart de 12% pour celles et ceux avec un seul enfant et de 7% pour les personnes sans enfant.

World Economic Forum 

Sortie d'échange et de sensibilisation du Fonds d'Appui aux Activités Rémunératrices des Femmes (FAARF) avec les femmes des groupements et associations de Bagré dans la région du Centre-Est.

En effet, la Directrice Générale du FAARF, Dr. Ravigsida Dorcas TIENDREBEOGO et sa délégation, ont rencontré dans la matinée du 18 juin 2020, des individuelles, des associations et groupements féminins de ladite localité.

 

Tenue à la maison de la femme de Bagré, la rencontre d'échanges avait pour objectif d'imprégner les femmes de ladite localité sur les conditions d'octroi des crédits FAARF et le processus de traitement des dossiers de crédits.

Venues de diverses contrées de Bagré, les femmes ont tenu, à travers leur coordinatrice, à féliciter Madame la Ministre en charge de la Femme pour les innovations majeures opérées au niveau des montants des premiers crédits du FAARF.
Elles se sont dites également satisfaites de la rencontre avec la directrice générale du FAARF, qui est venue les encourager dans leur élan d'autonomisation économique.

Selon la directrice générale, cette rencontre est une occasion pour encourager les femmes à dynamiser leurs Activités Génératrices de Revenus. Du 1er Janvier 2020 au 15 juin 2020, ce sont déjà 196 975 000 FCFA (cent quatre-vingt-seize millions neuf cent soixante-quinze milles francs CFA) qui ont été octroyés à 1.491 femmes de la région du Centre-Est.

Service Communication FAARF

Le groupe français de télécommunications Orange a décidé de repenser son organisation en adaptant son comité exécutif après cette période de crise sanitaire d’une ampleur inédite. Une nouvelle équipe engagée autour de Stéphane Richard, le PDG, a été annoncé par le groupe ce 12 juin 2020. Pour le groupe, il s’agit d’accélérer la mise en œuvre de son plan stratégique.

Des six personnes qui font leur entrée au comité exécutif figure la journaliste et écrivaine franco-camerounaise Elizabeth Tchoungui. Née aux Etats-Unis, elle a grandi au Cameroun, en Belgique et en Italie. Diplômée de l’Ecole Supérieure de Journalisme de Lille, actuellement présentatrice pour France 2 (Groupe France Télévisions) et RMC STORY (Groupe Altice), Elizabeth Tchoungui fut la première journaliste africaine à présenter le journal de TV5 Monde et la première femme, après Bernard Pivot, Guillaume Durand et Franz-Olivier Giesbert, à présenter  le magazine hebdomadaire culturel emblématique de France 2, première chaîne nationale publique française. Elizabeth Tchoungui a également dirigé le service culture de France 24.

Elizabeth Tchoungui est l’auteure de plusieurs ouvrages dont : « Le jour où tu es né une deuxième fois » (Flammarion), récit du parcours de son fils autiste Asperger, « Je vous souhaite la pluie » ( Plon), traduit en italien et enseigné dans les  établissements secondaires et universitaires au Cameroun, « Bamako Climax » (Plon), roman ayant pour toile de fond le terrorisme dans la bande sahélienne et « Billets d’Humeur au féminin» (Léo Scheer), recueil d’éditoriaux publiés sur le site aufeminin.com. Elle intervient régulièrement auprès de l’Organisation Internationale de la Francophonie. Elle est également membre du Parlement des écrivaines francophones.

Elizabeth Tchoungui est administratrice d’Action contre la Faim. Depuis sa création en 1979, Action contre la Faim est devenue la première ONG internationale de lutte contre la faim dans le monde auprès des populations les plus vulnérables. L’ONG présente dans 47 pays est venue en aide à près de 15 millions  de personnes en 2016.

Elle est également administratrice du Club XXIè Siècle, think tank et do tank qui promeut la diversité par l’excellence et l’exemplarité des parcours.

Elizabeth Tchoungui est chevalier des Arts et Lettres.

A compter du 1er septembre 2020, Elizabeth Tchoungui sera directrice exécutive RSE, Diversité et Solidarité du Groupe. Elle supervisera notamment la politique de Responsabilité Sociale d’Orange dans le cadre des objectifs du plan Stratégique Engage2025. Elle assurera également la présidence déléguée de la Fondation Orange.

Source: Orange

Melinda Gates est profondément engagée dans la lutte contre les inégalités de genre, et pour le prouver, elle est prête à offrir un chèque mirobolant à qui saura trouver les meilleures solutions pour atteindre l’égalité entre hommes et femmes.

Pivotal Ventures, sa société d’investissement, a annoncé en collaboration avec MacKenzie Bezos le lancement du Equality Can’t Wait Challenge, qui propose 30 millions de dollars aux meilleures idées permettant de valoriser le pouvoir des femmes et leur influence aux États-Unis.

 

Le concept du challenge est de mettre en avant les propositions audacieuses et constructives qui visent à aider les femmes à devenir égales aux hommes. Melinda Gates explique : « Les inégalités bien ancrées qui divisent l’Amérique (ethnie, sexe, classe sociale) ne disparaîtront pas sans un changement à l’échelle du système. Ce challenge cherche des idées audacieuses pour détruire le statu quo et étendre le pouvoir et l’influence des femmes dans tous les milieux ».

Mackenzie Bezos ajoute : « La réduction des inégalités de genre profitera à tout le monde. L’histoire nous enseigne sans cesse que lorsqu’une diversité de voix est représentée dans les décisions, le résultat en ressort meilleur pour tous. Je suis heureux que ce challenge concentre l’énergie et l’innovation sur ce catalyseur essentiel de changement positif ».

Pour participer au challenge, géré par la fondation Lever For Change, il faut être une organisation à but non lucratif  (ou collaborer avec l’une d’elles, les détails sont disponibles sur le site web). Les propositions seront jugées en fonction de leur faisabilité, de leur pertinence et de leur caractère transversal, mais aussi de leur prise en compte des expériences des femmes de toutes origines, y compris les femmes de couleur, les femmes vivant dans la pauvreté et les femmes LGBTQ.

Les idées doivent également pouvoir apporter des améliorations rapides et mesurables par rapport à un ou plusieurs des paramètres suivants :

  • Réduire l’écart entre les sexes en matière de salaires ou de richesse
  • Répartir plus équitablement les responsabilités domestiques non rémunérées
  • Faire accéder davantage de femmes à des postes à responsabilité dans les secteurs public, privé et social
  • Promouvoir davantage de femmes pour contribuer à façonner la production intellectuelle et culturelle
  • Changer les perceptions pour modifier le pourcentage du public qui estime que les femmes devraient avoir plus de pouvoir et d’influence.

 

La fondation recherche en particulier des idées qui aideront les femmes dans les trois domaines complexes suivants :

  1. Démanteler les obstacles qui freinent les femmes, notamment le harcèlement sexuel, la discrimination, l’inégalité raciale et le manque de possibilités pertinentes pour la garde d’enfants
  2. Encourager les femmes qui se lancent dans des secteurs influents comme la technologie, la politique et l’entrepreneuriat
  3. Modifier les systèmes, les institutions et les convictions obsolètes, en amenant les principaux acteurs (notamment les PDG, les dirigeants communautaires, les consommateurs et les employés) à s’engager activement dans la poursuite de l’égalité des sexes.  

L’évaluation des propositions commencera par un examen peer-to-peer, ce qui signifie que ceux qui ont soumis des idées jugeront celles des autres, puis les meilleures idées seront proposées à des juges experts. Pivotal Ventures, MacKenzie Bezos et Melinda Gates choisiront les 10 finalistes et lauréats des prix. Les organisateurs du challenge garantissent qu’au moins deux subventions d’un minimum de 10 millions de dollars seront accordées pour les propositions les plus convaincantes. Ils s’engagent également à verser 10 millions de dollars supplémentaires qui seront répartis entre les autres finalistes.

Dans les faits, ces problèmes ne sont pas simples à résoudre. Les idées peuvent sembler faciles à trouver, mais leur faisabilité constitue un obstacle de taille. Des suggestions concernant la transparence des salaires contribueraient grandement à réduire l’écart salarial, mais la difficulté de les mettre en œuvre rend ce genre de propositions presque vaines. 

Melinda Gates affirme pour sa part que ces problèmes ne disparaîtront pas sans quelques solutions audacieuses, c’est la raison pour laquelle elle a décidé de mettre la main au porte-monnaie pour encourager des organisations à déconstruire les inégalités de genre et faire du marché du travail un milieu plus juste pour les femmes.

 

Article traduit de Forbes US – Auteure : Kim Elsesser

S'ils tendent à se réduire dans le temps, les écarts de rémunération entre les femmes et les hommes restent importants. Selon la dernière étude de l'Insee, publiée en juin 2020, les femmes salariées dans le secteur privé gagnaient en moyenne 16,8% de moins que leurs homologues masculins en 2017, pour un même volume de travail. Mais en intégrant le fait que les femmes travaillent beaucoup plus souvent que les hommes à temps partiel et sont "moins en emploi dans l'année", l'écart se creuse bien plus entre les deux sexes. La différence de rémunération atteint alors 28,5% en moyenne.

"Plus de 40% de cet écart résulte des inégalités de temps de travail", souligne l'Institut national de la statistique. Depuis 40 ans, les écarts de salaire pour un même volume de travail se réduisent de manière régulière, grâce à une baisse moyenne de 0,3 point par an. Résultat, la différence de rémunération pour des emplois à temps plein est passée de 29,4% en 1976 à 16,3% en 2017. Outre le temps de travail, l'écart de salaire s'aggrave avec le niveau de diplôme. Il s'élève ainsi à 29,4% pour les titulaires d'un Bac +3 ou plus, contre 15,8% pour celles et ceux qui n'ont pas le baccalauréat.

De même, la différence de rémunération entre les sexes s'accroît au fil des ans, avec l'expérience professionnelle. Ainsi, à moins de 5 ans d'expérience, l'écart se monte à 6,4%, quand il grimpe à 21,7% en moyenne entre les femmes et les hommes qui ont plus de 30 ans de carrière. Dans le même temps, les inégalités en matière de volume de travail sont plus fortes pour les personnes en phase d'insertion professionnelle que pour celles plus avancées dans leur carrière.

 

Pas les mêmes métiers exercés, ni les mêmes fonctions hiérarchiques

Les inégalités salariales globalement constatées s'expliquent aussi par la différence des professions exercées. "Les hommes et les femmes n’occupent pas les mêmes métiers, ne travaillent pas dans les mêmes secteurs ou les mêmes entreprises", relève l'Insee. Les femmes se concentrent beaucoup plus dans des professions liées à la santé et à l'action sociale et occupent globalement des fonctions moins variées que celles des hommes. On retrouve ceux-ci bien plus dans les métiers liés à la construction, au transport et à l'entreposage.

La profession la plus fréquente chez les femmes est celle de secrétaire, occupée par 5,39% d'entre elles, quand le métier de conducteur routier est celui qui revient le plus souvent chez les hommes (3,54%). Surtout, l'Insee constate de réelles inégalités hiérarchiques, 22,8% des postes occupés par les hommes en 2017 correspondant à des emplois de cadre, contre seulement 17,5% pour les femmes. Les hommes cadres évoluent notamment dans le domaine de l'informatique, un secteur très masculin dès les années d'études.

Au bout du compte, la "ségrégation professionnelle", c'est-à-dire le fait que femmes et hommes n'exercent pas les mêmes métiers et n'occupent pas les mêmes postes, est responsable de 68% de l'écart de rémunération, à temps de travail équivalent. Quand ils se trouvent au même poste, l'écart de salaire se réduit considérablement, même s'il reste encore de 5,3%.

Enfin, les inégalités salariales s'envolent avec le nombre d'enfants. Le salaire des femmes est ainsi inférieur de 21% à celui des hommes pour les parents de deux enfants, à temps de travail équivalent. Et ce chiffre bondit même à 31% pour les parents de trois enfants ou plus, contre un écart de 12% pour celles et ceux avec un seul enfant et de 7% pour les personnes sans enfant.

Source: Business Inside

La startup africaine de fintech transfrontalière Chipper Cash, basée à San Francisco, a clôturé un cycle de financement de série A de 13,8 millions de dollars.

La ronde a été dirigée par Deciens Capital, basée en Californie, et la startup prévoit d’embaucher 30 nouveaux employés dans le monde.

En décembre 2019, la startup – fondée en 2018 par le Ghanéen Majid Moujaled et l’Ougandais Ham Serunjogi – avait levé 6 millions de dollars en capital d’amorçage dans un cycle également mené par Deciens Capital.

 

la startup compte désormais plus de 1,5 million d’utilisateurs et gère plus de 100 millions de dollars par mois sur sa plateforme.

 

Chipper Cash, qui depuis sa création en 2018 a levé 22 millions de dollars, propose ses services de paiement P2P mobiles et gratuits dans sept pays: l’Afrique du Sud, le Ghana, l’Ouganda, le Nigéria, la Tanzanie, le Rwanda et le Kenya. La startup propose aussi un produit de paiement mobile basé sur les frais et axé sur le marchand qui génère des revenus pour soutenir les activités d’argent mobile gratuit de Chipper Cash.

 

Financialafrik

La startup africaine de fintech transfrontalière Chipper Cash, basée à San Francisco, a clôturé un cycle de financement de série A de 13,8 millions de dollars.

La ronde a été dirigée par Deciens Capital, basée en Californie, et la startup prévoit d’embaucher 30 nouveaux employés dans le monde.

En décembre 2019, la startup – fondée en 2018 par le Ghanéen Majid Moujaled et l’Ougandais Ham Serunjogi – avait levé 6 millions de dollars en capital d’amorçage dans un cycle également mené par Deciens Capital.

 

la startup compte désormais plus de 1,5 million d’utilisateurs et gère plus de 100 millions de dollars par mois sur sa plateforme.

 

Chipper Cash, qui depuis sa création en 2018 a levé 22 millions de dollars, propose ses services de paiement P2P mobiles et gratuits dans sept pays: l’Afrique du Sud, le Ghana, l’Ouganda, le Nigéria, la Tanzanie, le Rwanda et le Kenya. La startup propose aussi un produit de paiement mobile basé sur les frais et axé sur le marchand qui génère des revenus pour soutenir les activités d’argent mobile gratuit de Chipper Cash.

 

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