Aperçu des participants (DR)
L’atelier intervient après des constatations alarmantes sur les chiffres émanant des différents types d’interruptions de grossesse. En effet, au Burkina Faso, l’avortement est pratiqué dans 41% des cas par un tradipraticien et dans 21% des cas par la femme elle-même (autoavortement). Seulement 3% des avortements sont pratiqués par un médecin. L’avortement est aussi considéré comme la 4e cause de mortalité au Burkina Faso selon l’annuaire statistique 2020 du Ministère de la Santé sexuelle et reproductive.