« Nous avons voulu rassembler les femmes africaines autour d’une table pour évaluer et faire un état des lieux de notre participation aux postes de prise des décisions. Il est vrai que la lutte pour la promotion des droits des femmes est menée depuis plusieurs années mais il est aussi important de se rendre compte des progrès déjà réalisés et d’envisager l’avenir, d’élaborer des stratégies en vue de faire avancer le processus de parité d’ici en 2030 », a expliqué Dorcas-Nancy Mukenge, coordonnatrice nationale du FIFAF.
Au total, douze pays ont été invités à ces assises. Notamment, « le Rwanda, le Togo, le Mali, la Centrafrique, les femmes africaines de la Diaspora américaine, canadienne, française, belge, et autres ».
Au niveau local, des femmes œuvrant pour la défense des droits de l’homme en général et ceux des femmes en particulier, telles que les membres du Cadre permanent de concertation de la femme congolaise (CAFCO), celles qui travaillent dans les institutions publiques et privées notamment l’Office Congolais de Contrôle (OCC), le ministère des mines, l’Association de entreprises du portefeuille (ANEP) ont également été conviées à cet évènement.