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Attaques terroristes : Le Burkina Faso endeuillé, des appels à une réponse forte de la part de l’exécutif
Attaques terroristes : Le Burkina Faso endeuillé, des appels à une réponse forte de la part de l’exécutif
La nuit du 4 au 5 juin restera à jamais dans les pages noires du Burkina Faso. Solhan, une commune de la province du Yagha, dans la région du Sahel, a connu des attaques terroristes meurtrières avec plus d’une centaine de morts ainsi que plusieurs blessés. De nombreuses habitations ainsi que le marché du village ont été incendiés par les assaillants. Des véhicules et motocyclettes incendiée ou emportées également.
De sources médiatiques, l’âge des victimes varie entre 8 mois et 45 ans. 80% des victimes sont des jeunes.
Dans son message relayé sur les réseaux sociaux, le Président du Faso Roch Marc Christian Kaboré a décrété un deuil national de 72heures qui prend fin le mardi 08 juin. Il a également rassuré les burkinabè que les forces de défense et de sécurité sont à pied d’œuvre pour rechercher et neutraliser les auteurs de « cet acte ignoble ».
Dans une tout autre dimension, partis politiques et société civile, réclament une réaction forte de la part de l’exécutif burkinabè face à ces actes barbares.
Le Burkina Faso fait face régulièrement à des attaques terroristes comme d’autres pays de la sous-région. L’attaque de Solhan, est qualifiée comme l’une des plus meurtriers après celle du Cappuccino en 2015. Depuis, les attaques terroristes au Burkina Faso enregistrent un total des pertes en vies humaines est évalué à environ 1000 personnes avec plus d’un million de déplacés internes.
La Rédaction
Weownomy : le nouveau réseau social qui surpasse Facebook
Weownomy : le nouveau réseau social qui surpasse Facebook
Weownomy, la nouvelle plateforme de réseau social, n’envahira pas votre vie privée et vous offrira une expérience plus sécurisée que Facebook. C’est l’avis en tous cas de ses concepteurs.
La caractéristique essentielle de Weownomy, c’est que ses utilisateurs en seront aussi les propriétaires. Il n’y aura pas d’investisseurs externes, donc le contenu et les données du site resteront sous le contrôle des utilisateurs. Facebook, c’est le réseau social que nous avons tous fini par adorer et détester. Nous l’adorons parce qu’il nous relie à nos amis, à notre famille, à nos collègues, à nos camarades de classe, etc. Mais nous le haïssons à cause des nombreuses violations de la vie privée dont il s’est rendu coupable au fil du temps. Weownomy promet de faire mieux que Facebook dans absolument tous les domaines. Fini l’objectif visant uniquement à générer des revenus publicitaires : Weownomy sera associé à une banque numérique appartenant aux utilisateurs, ce qui permettra à chacun d’eux de monétiser son activité en ligne.
Weownomy, la nouvelle plateforme de réseau social, n’envahira pas votre vie privée et vous offrira une expérience plus sécurisée que Facebook, à laquelle on pourra accéder via n’importe quel navigateur. Weownomy offre les mêmes fonctionnalités que Facebook, mais sans que vous soyez obligé de renoncer à la confidentialité de vos données personnelles par crainte d’un piratage ou de perdre le contrôle des données de votre compte.
Weownomy promet de faire mieux que Facebook, et pour cause. Les utilisateurs de la nouvelle plateforme de réseau social disposeront d’un plus grand contrôle sur leurs données personnelles, parce qu’ils auront la possibilité de décider qui peut voir quels messages et même de les configurer de manière à les rendre invisibles pour certaines personnes.
Les médias sociaux sont devenus des acteurs incontournables de notre monde moderne. Facebook, le plus important d’entre eux, est devenu la plaque tournante de tous ceux qui veulent interagir avec les autres et partager leur vie en ligne. C’est évidemment très pratique. Cependant, la concentration d’un tel pouvoir entre les mains d’une seule entreprise suscite des inquiétudes qui ne peuvent être négligées. Weownomy envisage de remplacer Facebook, non seulement en étant plus accessible, mais aussi en proposant à ses utilisateurs d’acquérir une participation dans le réseau et d’en devenir ainsi les propriétaires du contenu et des services financiers : un système qui, selon nous, conduira à créer de la valeur à long terme pour les utilisateurs.
Facebook a connu récemment de nombreux problèmes. Et tandis que la colère grondait contre Facebook, Weownomy développait tranquillement un meilleur réseau social présentant une différence très simple : ses utilisateurs en seront aussi les propriétaires. Ses développeurs viennent d’annoncer sa mise en ligne à l’échelle mondiale en mai 2022 et l’on commence à en savoir davantage sur ce nouveau site de réseautage social conçu pour résoudre les problèmes qui accablent Facebook. À la mi décembre 2021, le site lancera une version beta privée qui sera testée par 2 000 utilisateurs.
La nouvelle plateforme offrira les mêmes fonctionnalités que Facebook, mais les utilisateurs verront leurs contenus et leurs interactions déposés sur le site récompensés en pièces d’or de la nouvelle monnaie sociale, les « weowns ». Ces pièces d’or peuvent être utilisées pour acheter des biens et des services numériques sur la place de marché ou la banque en ligne de Weownomy.
Weownomy a été créé pour répondre aux problèmes de sécurité, de confidentialité, d’infox et de manipulation algorithmique que connaissent les réseaux populaires actuels. Weownomy est un site web tout-en-un pour les personnes de tout âge et de tout milieu, qui y trouveront toutes sortes d’opportunités : divertissement, éducation, transactions financières (banque électronique), amitiés, rencontres (dating), bref, tout ce que vous pouvez attendre d’un réseau social !
Weownomy est un nouveau réseau social qui fournit aux utilisateurs un business model qu’ils peuvent posséder, leur donnant ainsi l’opportunité de contrôler leurs données et d’être exonérés de frais transactionnels sur les services bancaires numériques. Il semble déjà exister de nombreux réseaux sociaux mais, comme nous le savons tous, Facebook connaît des difficultés et Instagram, Twitter, LinkedIn et d’autres ne sont pas épargnés. Le problème de ces sites est que les utilisateurs n’en sont pas propriétaires et que ce sont les entreprises qui possèdent toutes vos données.
Le principe de l’utilisateur propriétaire sur lequel est fondé le réseau social Weownomy est issu directement de notre business model, qui prévoit une participation à tous les revenus et un partage des bénéfices basé sur la performance. Ce changement éliminera les problèmes auxquels sont actuellement confrontés Facebook et d’autres réseaux sociaux ; en effet, cela garantit que vos données ne sont pas collectées au profit exclusif du réseau sans aucune compensation pour vous, voire sans que vous ayez votre mot à dire sur la manière dont vos données sont utilisées.
L’avenir des réseaux sociaux passe par ce principe, et pas par Facebook. Weownomy offrira les meilleures fonctionnalités de Facebook, mais avec des avantages supplémentaires. Weownomy est différent des autres réseaux parce qu’il permet à ses utilisateurs d’être les propriétaires de leurs contenus et de leurs données personnelles ; il n’y a aucune intention cachée.
La plateforme que tout le monde attendait
Dans le monde d’aujourd’hui, il est important d’aborder d’un œil critique les sources d’informations et de nouvelles en ligne. Pour ce faire, les citoyens ont besoin d’une plateforme dont la fiabilité et la transparence sont réellement garanties. Avec Weownomy, c’est exactement cela qu’ils auront. La plateforme sera en mesure de déterminer la fiabilité des informations accessibles en ligne en veillant à ce que les plaintes des utilisateurs relatives aux activités au sein de la plateforme Weownomy soient traitées dans le cadre de processus clairs et transparents. L’avenir de nos démocraties en dépend !
L’avènement des réseaux sociaux a modifié notre façon d’interagir avec les informations. Ils font désormais partie intégrante de notre vie quotidienne et nous pourrions difficilement nous en passer. Nous sommes propriétaires de nos téléphones, mais pas des données que nous produisons au moyen de ces appareils, d’où un déséquilibre des pouvoirs au détriment des utilisateurs. La nouvelle plateforme redonnera aux utilisateurs la maîtrise de leurs données personnelles en leur permettant d’y accéder et même d’en tirer des revenus.
De nos jours, des masses d’informations et de données sont accessibles en ligne. Toutefois, il se peut qu’elles soient inexactes, voire indignes de confiance car l’entreprise qui les a recueillies a pu le faire sans le consentement des intéressés. Ces sites web tiers peuvent aussi collecter toutes sortes d’informations sur les utilisateurs et vendre ces données personnelles à d’autres entreprises. Weownomy offre une plateforme à partir de laquelle les utilisateurs peuvent accéder au site web de leur choix en toute confiance quant à la manière dont leurs données sont collectées et utilisées.
Sur cette plateforme, les utilisateurs pourront créer et publier leurs propres contenus et être rémunérés pour les créations d’autrui. La plateforme pourrait également recourir à la publicité et offrir des produits et services numériques comme la diffusion en flux et le commerce en ligne, ce qui pourrait potentiellement générer plus de 10 milliards USD de revenus annuels d’ici 2024.
Internet a rendu l’information plus accessible que jamais. Grâce aux fonctionnalités qu’elle se propose d’offrir, la plateforme Weownomy assurera la fiabilité et la qualité des sources d’informations accessibles en ligne, une manière correcte de collecter et d’utiliser les données, et la mise en place de processus clairs et transparents pour traiter les plaintes des utilisateurs relatives aux activités menées sur la plateforme Weownomy.
Weownomy émet des actions afin de construire un nouveau réseau social
Pour construire son nouveau réseau social, Weownomy va émettre des actions. Chaque jour, plus de deux milliards de personnes passent du temps sur des réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, Twitter ou LinkedIn et pourtant, en dehors des recettes publicitaires de la plateforme, la plupart d’entre elles ne reçoivent aucune récompense pour leur contribution. Pour favoriser l’accroissement des opportunités, nous allons adopter un nouveau modèle où les actionnaires seront payés pour construire notre nouveau réseau social « weown » fondé sur l’appartenance de la plateforme aux utilisateurs et la liberté financière via des primes de parrainage.
Chaque personne passe en moyenne plus de deux heures par jour sur les réseaux sociaux. La meilleure façon d’utiliser ces plateformes est de prendre le contrôle de vos données et de les monétiser en recrutant de nouveaux membres et en développant l’activité dans votre propre intérêt. Weownomy offre cette opportunité à ceux qui n’ont jamais eu la chance de réussir dans ce domaine parce qu’ils n’ont pas de réseau ou pas d’argent, mais qui souhaitent ardemment être financièrement indépendants.
Le réseau social Weownomy (www.Weownomy.global) émet des actions pour construire un nouveau réseau social qui donnera à ses utilisateurs la possibilité de gagner de l’argent grâce à leurs propres contenus. L’idée de la « Weownomy » (We own economy, nous sommes les propriétaires de l’économie) a pour origine la constatation que beaucoup de créateurs de réseaux sociaux ne partagent jamais les profits générés par leurs sites.
« Nous avions pour but de créer une plateforme où chacun aurait une chance d’obtenir un revenu, a déclaré Ssemakula Peter Luyima, fondateur et PDG de Weownomy. Notre plateforme est une magnifique opportunité pour les gens ordinaires qui veulent gagner de l’argent en utilisant leur temps, leurs talents et leur créativité. » Les utilisateurs peuvent acheter des actions via le système de vente aux enchères « à la hollandaise » de Weownomy.
Les réseaux sociaux sont un élément de base du monde moderne. Ils nous permettent de rester en contact avec nos amis et notre famille, de partager des idées, de former des communautés, et bien plus encore. Or, en dehors des recettes publicitaires, nombreux sont ceux qui les utilisent sans obtenir aucune compensation pour leurs contributions. Pour favoriser l’accroissement des opportunités, nous allons adopter un nouveau modèle où les actionnaires seront payés pour construire notre nouveau réseau social « Weownomy », fondé sur l’appartenance de la plateforme aux utilisateurs et la liberté financière via des primes de parrainage.
Au lieu de gagner de l’argent grâce à la publicité, Weownomy distribuera chaque mois des parts du revenu de la Société à ses utilisateurs copropriétaires de Weownomy. Avec votre abonnement mensuel d’actionnaire, vous pouvez contribuer à la construction du prochain plus grand réseau social mondial et, en même temps, avoir un impact sur le quotidien des personnes. « Weownomy émet des actions afin de construire un nouveau réseau social » (www.Weownomy.global).
L’idée d’être propriétaire de son propre réseau social n’est pas neuve. La nouveauté, c’est que Weownomy a créé un système permettant aux utilisateurs de devenir copropriétaires de la plateforme et de recevoir chaque mois des actions simplement en étant membre du réseau.
Nous sommes une startup qui donne aux personnes la possibilité de partager la richesse et la liberté financière de construire un nouveau réseau social. Ce projet a pour principal objectif de créer une communauté en ligne dont tous les participants possèdent les mêmes droits de propriété, de gouvernance, de partage des profits, de protection de la vie privée et de la confidentialité des données, tout en favorisant l’égalité économique grâce aux primes de parrainage.
Pour devenir propriétaire de Weownomy, la première étape consiste à s’inscrire aux fins de la distribution d’actions. Les actionnaires sont ensuite rémunérés au pourcentage à chaque fois qu’ils parrainent une personne qui devient actionnaire à son tour, en mettant l’accent sur la récompense de nos utilisateurs les plus fidèles. Pour être éligible à une prime de parrainage, vous devez être enregistré en tant qu’utilisateur et avoir accumulé au moins 10 000 actions avant de parrainer un futur membre. L’idée fondamentale qui sous-tend notre système, c’est que nous rémunérons les actionnaires afin qu’ils construisent le nouveau réseau social « Weownomy ».
Depuis quelques années, les réseaux sociaux font partie intégrante de notre vie quotidienne. Ainsi, les quatre plus grandes plateformes, Facebook, Instagram, Twitter et LinkedIn, sont utilisées par plus de deux milliards de personnes par jour. Cela signifie que ces entreprises ont un énorme pouvoir sur nos données et sur ce que nous voyons sur internet. Chez Weownomy, nous pensons qu’il est temps pour les utilisateurs d’être récompensés pour leurs contributions, au-delà des revenus publicitaires tirés de l’utilisation de ces réseaux.
Les actions de Weownomy sont mises aux enchères sur internet
Le système d’enchères d’actions « à la hollandaise » (Dutch auction) de Weownomy est conçu pour négocier les actions de Weownomy à l’échelle mondiale, une fois par mois dans le cadre d’une vente aux enchères en direct. Le but de ce système est de donner la possibilité à toute personne d’investir dans la nouvelle plateforme de réseau social et ainsi d’en devenir propriétaire tout en acquérant une liberté financière.
Les ventes aux enchères serviront à émettre des actions de Weownomy afin de construire un nouveau réseau social. Le choix du système d’enchères d’actions « à la hollandaise » a été considéré comme le plus approprié, non seulement en raison de l’offre de Google, mais aussi à cause des graves critiques émises ces dernières années à l’encontre de la méthode traditionnelle, concernant des allégations d’abus liés à la fixation des prix et à l’attribution des actions.
Weownomy est une société internet dont l’introduction est l’une des plus attendues de ces dernières années. Comme beaucoup de ces sociétés, Weownomy ne peut être cotée par les méthodes traditionnelles parce qu’il s’agit d’une entreprise privée et qu’elle n’a pas encore généré de profits. Le système d’enchères d’actions « à la hollandaise » utilisé par Google offre plusieurs avantages par rapport au processus traditionnel de constitution d’un carnet d’ordres d’émissions d’actions.
La décision de vendre les actions de Weownomy aux enchères sur internet ayant été prise, le système d’enchères d’actions « à la hollandaise » représente un moyen attrayant d’émettre des actions Weownomy pour construire un nouveau réseau social. Utilisé pour la première fois en 1720, ce système d’enchères d’actions est toujours populaire aujourd’hui et régulièrement utilisé pour lever des capitaux de démarrage d’entreprises des secteurs énergétique, bancaire et des soins de santé, entre autres. Les enchères sont considérées comme « privées » parce que les actionnaires échangent des titres entre eux, sans l’intervention d’intermédiaires. « Les ventes aux enchères créent des règles du jeu équitables », a déclaré Ssemakula Peter Luyima, fondateur et PDG de Weownomy.
L’annonce par M. Luyima de l’émission d’actions via une vente aux enchères sur internet a été considérée par beaucoup comme une avancée décisive pour la Société et ses suiveurs. En réaction aux plaintes émises ces dernières années à l’encontre de la méthode traditionnelle, Weownomy a choisi le processus de vente aux enchères « à la hollandaise » plutôt que le processus traditionnel de constitution d’un carnet d’ordres utilisé l’an dernier par Google Inc. lors de l’offre d’actions en bourse.
Le choix de ce système d’enchères d’actions a été considéré comme plus approprié, non seulement en raison de l’offre de Google, mais aussi à cause des graves critiques émises ces dernières années à l’encontre de la méthode traditionnelle concernant des allégations d’abus liés à la fixation des prix et à l’attribution des actions. Les enchères sur internet seront gérées par des prestataires tiers qui fourniront les plateformes d’enchères.
La méthode traditionnelle pour émettre des actions consiste à constituer un carnet d’ordres, système selon lequel une banque d’investissement souscrit une offre publique d’émission et fixe un prix. Or la méthode peut conduire à des abus, car les investisseurs n’apprennent qu’après l’achat combien ils ont payé par action. En revanche, le système d’enchères d’actions « à la hollandaise » implique la sollicitation d’offres auprès des acheteurs avant la décision de fixation du prix.
Internet étant devenu la place de marché moderne, il n’est pas surprenant que Weownomy opte pour le web pour y vendre aux enchères les actions de l’entreprise. La décision a été prise sur la base du processus utilisé par Google pour son IPO. Weownomy utilisera le système d’enchères d’actions « à la hollandaise », basé sur un processus d’offres en ligne aux fins de l’attribution des actions aux investisseurs. Ce système diffère de la méthode traditionnelle de constitution d’un carnet d’ordres en ce qu’il s’appuie sur un système informatisé qui exclut toute intervention humaine.
Weownomy donne ainsi à chacun la possibilité d’acquérir une part de ce nouveau réseau social passionnant qui ouvre aux utilisateurs un univers bien plus vaste que celui de Facebook ou de Twitter.
Ce sera la première fois que la méthode de vente aux enchères sur internet sera utilisée comme moyen d’émettre des actions Weownomy. Depuis sa fondation, Weownomy a pour objectif d’offrir aux utilisateurs et aux consommateurs un accès gratuit à des contenus de haute qualité venant du monde entier, sans publicité et sans limiter les droits des utilisateurs. « La mise en œuvre de cette stratégie rendra obsolètes les business models traditionnels et offrira aux gens ce qu’ils attendent : des informations de qualité ».
Distribué par APO Group pour Weownomy Platform Corporation.
Le Burkina Faso défie la résistance grâce aux moustiquaires PBO : un atelier d’échanges de haut niveau à Ouagadougou discute de leur efficacité
COMMUNIQUE DE PRESSE: Le Burkina Faso défie la résistance grâce aux moustiquaires PBO : un atelier d’échanges de haut niveau à Ouagadougou discute de leur efficacité
Photo de famille de l'Atelier d'échanges du 28/05/2021 à l'Hôtel Sopatel Silmandé
- Les moustiquaires imprégnées d’insecticide à longue durée d’action (MILDA) avec PBO peuvent jouer un rôle clé dans l’amélioration de la prévention du paludisme au Burkina Faso, grâce à une efficacité accrue contre les moustiques résistants aux insecticides.
- Les acteurs de la lutte contre le paludisme au Burkina Faso discutent des modalités de déploiement de ces nouvelles générations de moustiquaires pour garantir la qualité et la bio-efficacité de ces moustiquaires.
OUAGADOUGOU, 28 mai 2021 – Un atelier d’échanges de haut niveau s’est tenu ce vendredi 28 mai à Ouagadougou sur la qualité des outils de lutte contre les vecteurs du paludisme au Burkina Faso. La rencontre a permis de dégager des consensus forts sur la protection des zones vulnérables touchées par le paludisme. Une délégation du ministère de la Santé, le coordonnateur du Programme National de Lutte contre le Paludisme, Dr Gauthier Tougri, le représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Dr Moyenga, ainsi que les éminents scientifiques des divers centres de recherches et sciences de la santé du pays, les membres de la société civile avec l’organisation Speak Up Africa et la responsable régionale de Vestergaard, Emmie Cacace, étaient présents à la conférence. La grande spécialiste des questions de résistance aux insecticides, le professeur Hilary Ranson du Liverpool School of Tropical Medicine était également au rendez-vous pour partager son expertise.
Le Burkina Faso faisait partie, en 2019, des six pays de la Région africaine concentrant 50 % des cas de paludisme dans le monde selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La maladie est responsable de 43 % des consultations de santé et de 22 % des décès dans le pays. Le Burkina Faso fait d’ailleurs partie, depuis 2018, des onze pays de l’Initiative pour une action à fort impact dans les pays à forte charge (HBHI), et qui ont supporté environ 70 % de la charge mondiale de morbidité due au paludisme en 2017. Cette initiative s’appuie sur le principe selon lequel personne ne devrait mourir d’une maladie qu’il est possible d’éviter et de traiter et met l’accent sur une approche ciblée et différentiée du paludisme en fonction des contextes.
Le pays fait partie des premiers à avoir déployé les MILDA nouvelle génération avec PBO et MILDA à double ingrédient actif, pour mitiger les effets d’une résistance alarmante aux insecticides dans un pays ou les moustiques résistent par endroit a plus de 1 000 fois la dose normale d’insecticide. L’impact considérable de ces nouvelles MILDA sur les indicateurs épidémiologiques et entomologiques dans les zones de déploiement de ces outils et la recommandation de l’OMS ont convaincu le pays de mettre fin au déploiement des moustiquaires mono traitées standard, dites « ancienne génération ». Cette tendance se généralise à travers l’Afrique et les MILDA PBO sont en cours de devenir la norme en matière de lutte anti vectorielle et de prévention du paludisme.
Depuis 2000, les efforts de prévention du paludisme ont collectivement sauvé 600 000 vies et évité plus de 100 millions de cas de paludisme chaque année. Dans une analyse de 2015, il a été démontré que les MILDA ont contribué à hauteur de 68% au nombre de cas de paludisme évités entre 2000 et 2015, soit 663 millions de cas, aux côtés des traitements combinés à base d’artemisine ou ACT et de la Pulvérisation Intra-domiciliaire (PID) qui ont contribué à hauteur de 22 % et 10 % respectivement.
L’OMS recommande l’utilisation des moustiquaires imprégnées d’insecticide à longue durée d’action PBO (butoxyde de pipéronyle) notamment dans les zones où les moustiques sont devenus résistants aux pyréthrinoïdes. Néanmoins, il est essentiel que les moustiquaires distribuées soient de la plus haute qualité, de la plus grande efficacité et de la plus longue durabilité possible. Or les MILDA avec PBO introduites sur le marché sont très hétérogènes dans leur composition et les différentes MILDA avec PBO n’ont pas toutes été évaluées sur la durée. Vestergaard, premier fabricant de MILDA PBO, était présent pour apporter un éclairage sur la technologie à l’œuvre dans les MILDA PBO et faire prendre conscience de l’importance des données de terrain pour confirmer l’efficacité des nouvelles moustiquaires contenant du PBO.
« Alors que l’on voit apparaitre sur le marché des moustiquaires PBO, un nombre varié de MILDA PBO au design et à la concentration en PBO très différents, - dont certaines fabriquées avec 10 fois moins de PBO que les produits ayant fait l’objet d’essais contrôlés et randomisés en conditions d’utilisation réelle -, tout un chacun se pose la question de leur efficacité sur la durée. Tandis que le déploiement des moustiquaires PBO suit son cours, il est essentiel que leurs performances soient étroitement surveillées car il n’y a actuellement aucune étude de terrain à long terme confirmant l’efficacité des moustiquaires à faible quantité de PBO », a déclaré Emmie Cacace, Responsable régionale Santé Publique chez Vestergaard. « Contrairement aux insecticides pyréthrinoïdes, le lavage n’est pas le principal facteur de perte de PBO. En effet, l’évaporation et l’utilisation quotidienne affectent beaucoup plus la concentration de PBO que le lavage au fil du temps. La capacité de conserver et contrôler la libération du PBO dans la formulation malgré les divers facteurs de perte est essentielle pour assurer une protection efficace tout au long de la durée de vie de la moustiquaire - telle était notre ambition lorsque la technologie de PermaNet® 3.0 a été développée »
La présence de la société civile à travers l’organisation Speak Up Africa a également permis d’apporter des pistes de réflexion sur le rôle de la société civile dans l’intensification de la lutte contre le paludisme et dans son implication dans la construction d’un système de contrôle qualité intégral pour que l’Afrique bénéficie de MILDA efficaces de qualité et puisse tirer pleinement parti des MILDA de nouvelle génération.
L’atelier d’échanges du 28 mai a été une opportunité importante pour tous les acteurs de la lutte contre le paludisme au Burkina Faso de faire le point sur le déploiement de ces nouvelles générations de moustiquaires et de réfléchir sur les critères qui permettent le déploiement de ces outils afin de garantir le plus grand impact possible sur les indicateurs du paludisme et sur la santé des populations.
« L’initiative HBHI correspond à une série de mesures d’amplification de la lutte contre le paludisme qui met l’accent sur une approche ciblée et différentiée en fonction des contextes. C’est dans le cadre de cette nouvelle approche que le Burkina Faso et ses partenaires ont procédé à la stratification des interventions contre le paludisme et généralisé le déploiement des MILDAs nouvelles générations PBO et IG2. Il est important de souligner les efforts déployés au Burkina pour façonner une approche intégrée de la lutte antivectorielle. Convaincu par les études d’impact de ces MILDAs en zones de résistance aux insecticides, le Burkina Faso, dont 100 % de la population est exposée au risque palustre, entre dans une nouvelle ère de la lutte antivectorielle », a déclaré le coordinateur du Programme national de lutte contre le Paludisme, Dr Gauthier Tougri.
En plus des MILDA PBO, il est également important de continuer à encourager l’innovation afin de faire face aux menaces émergentes des moustiques résistants aux insecticides. Vestergaard incite toutes les parties prenantes, publiques et privées, de la communauté de prévention du paludisme à travailler ensemble pour soutenir l'innovation et le déploiement rapide de moustiquaires durables, efficaces et de haute qualité sur le marché.
Les moustiquaires PermaNet 3.0 de Vestergaard répondent aux besoins des populations tout en respectant les spécifications de produit établies par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Vestergaard mise sur un programme de qualité rigoureux et un suivi régulier de la bio efficacité de ses MILDA pour assurer la qualité de ses moustiquaires. Vestergaard a également investi dans un programme de surveillance afin d’évaluer la performance de ses moustiquaires dans des conditions normales d’utilisation et jusqu’à la fin de vie du produit.
A propos de Vestergaard
Vestergaard fabrique des outils innovants et de haute qualité pour améliorer les résultats en matière de santé mondiale dans les pays à revenus faibles et intermédiaires principalement. Connue pour ses moustiquaires imprégnées d’insecticide à longue durée d’action (MILDA) PermaNet® destinées à prévenir le paludisme, l’entreprise a fabriqué et livré plus de 850 millions de PermaNet®, protégeant environ 1,6 milliard de vies dans les pays d'endémie palustre. D'autres initiatives de l'entreprise se concentrent sur la lutte contre les maladies tropicales négligées, la réduction de l'insécurité alimentaire grâce aux sacs de stockage ZeroFly® et l'utilisation de la technologie pour stimuler la prise de décision basée sur les données.
Fondée en 1957, la société est basée en Suisse, avec un bureau en Inde, un laboratoire de recherche et développement avec un insectarium au Ghana et un laboratoire de contrôle qualité au Vietnam.
Contact média :
Dr Sawadogo : +226 25 36 88 39/+226 70 95 86 67.
Pétition: Réforme du congé de maternité au Burkina Faso
Pétition: Réforme du congé de maternité au Burkina Faso
L’article 145 de la Loi N° 28-2008/AN portant Code du Travail au Burkina Faso prévoit pour la femme enceinte une durée de 14 semaines de congé de maternité dont au plus tôt 8 semaines (deux mois) et au plus tard 4 semaines (un mois) avant la date présumée de la délivrance.
Cette disposition prive de facto la femme enceinte de (au moins) 4 semaines de congés et l’oblige donc à trouver un mode de garde pour faire garder son enfant à 2 mois et demi de vie afin de retourner travailler.
Pourtant toutes les préconisations, qu'elles portent sur la santé physique ou psychologique du bébé, démontrent qu’une séparation précoce n’est jamais bon pour le développement d’un bébé et qu’il est nécessaire de maintenir le lien mère enfant bien après 2 mois et demi. En effet, concernant la santé physique, l'Organisme Mondial de la Santé, préconise un allaitement exclusif pendant 6 mois, puis jusqu'à 2 ans minimum en complément d'une alimentation solide[1].
L'allongement du congé de maternité aura un impact positif sur la santé publique ainsi que sur les dépenses liées à celle-ci.
Voilà quelques avantages d’un congé maternité post-natal de 28 semaines pour la société:
- Les enfants allaités 6 mois et au-delà auront globalement une meilleure santé;
- Un renforcement du lien mère-enfant, une séparation plus sereine lors de la fin du congé et donc un retour au travail plus productif pour la femme;
- Des salariées moins absentes au travail;
- Une augmentation du taux d'allaitement et de sa durée;
- Moins d'hospitalisations;
- Moins de dépenses de santé à court et long terme et
- Que la mère allaite ou non, un tout petit bébé a besoin du contact de ses parents et notamment de sa mère dans laquelle il a passé 9 mois.
C'est pourquoi, nous proposons que:
1- Le retrait préventif (obligatoire) de 8 semaines (deux mois) et au plus tard 4 semaines (un mois) avant la date présumée de la délivrance ne soit exigé que lorsqu’il est motivé par un certificat délivré par le médecin traitant;
2- La femme enceinte puisse choisir et bénéficier du régime de congés qui lui convient le mieux pour son épanouissement et celui de l’enfant:
o 14 semaines avec 100% de prestations
o 28 semaines composées de 14 premières semaines avec 100% de prestations et les 14 autres semaines avec des prestations réduites de 25% au maximum
Si vous aussi vous pensez que la durée légale du congé de maternité devrait être revue dans les 2 termes mentionnés ci-dessus, merci de signer cette pétition pour qu'ensemble nous puissions contribuer à faire changer les choses!
Les signatures recueillies seront envoyées au Président de l’Assemblée Nationale du Burkina.
Collectif pour un congé de maternité paisible !!
[1]https://www.who.int/topics/breastfeeding/fr/#:~:text=L'allaitement%20exclusif%20au%20sein,compl%C3%A9t%C3%A9%20par%20une%20autre%20alimentation
Cohésion sociale : lancement effectif de la première édition du Salon International de la Famille de Ouagadougou (SIFAO)
Cohésion sociale : lancement effectif de la première édition du Salon International de la Famille de Ouagadougou (SIFAO)
Une photo de famille pour immortaliser
Le Salon International de la Famille de Ouagadougou (SIFAO) a ouvert ses portes le jeudi 27 mai 2021 sous le thème « Vivre ensemble et cohésion sociale : Quelle contribution de la famille ». C’était dans l’enceinte du Palais de la Jeunesse Jean Pierre Guingané sous le Co-parrainage du Directeur de Cabinet de la Présidence du Faso, Seydou Zagré et l’Emir du Liptako.
Premier du genre, le SIFAO se veut un cadre d’échanges, d’apprentissage, de partages d’expériences en matière de droits, de valeurs de civisme pour un Burkina Faso de paix.
A la tête de cette initiative Madame Germaine Kafando/Kano, promotrice du salon s’est réjouie de sa tenue malgré le contexte. Selon elle, cette initiative veut contribuer à endiguer la déperdition de la jeunesse dans un contexte d’incivisme grandissant et de déviance de l’autorité de l’Etat. Epouse et mère de famille, elle pense qu’au vue de l’actualité nationale, les valeurs qui fondent la famille ainsi que l’éducation des enfants devraient être reconsidérées pour un meilleur vivre ensemble.
La Promotrice, Germaine Kafando/Kanko
Le Directeur de Cabinet de la Présidence du Faso, Dr Seydou Zagré, a salué l’initiative. Après avoir décrit le déclin des valeurs de la famille, il a interpellé les participants du SIFAO à se poser des questions pertinentes sur la famille du futur.
Le Directeur Général de la Famille Soumaïla Sakho, représentant du Ministre de la Femme, de la Famille, de la Solidarité et de l’Action Humanitaire, a salué la persévérance de la promotrice du SIFAO qui mérite d’être encouragé selon lui. A ses dires : « La famille est la cellule de base de la société. Elle permet de former les jeunes pour les permettre d’assurer leurs responsabilités de demain ».
Le Directeur Général de la Famille, Soumaïla Sakho
Madame Mariam Lamizana, marraine de cette édition a prodigué des bénédictions de pérennité et de bon vent au salon. Elle a invité la promotrice à faire preuve de résilience et de persévérance car cette initiative est d’une grande utilité pour la société burkinabè.
Le SIFAO se poursuit les 28 et 29 mai, avec des ateliers thématiques autour des thèmes sur comment inculquer les valeurs culturelles aux enfants, la gestion de la vie professionnelle sociale et familiale, le droit burkinabè et la protection familiale entre autres et une soirée gala.
Balguissa Sawadogo
Elites Femmes
Musique : « Quand Il Bénit » le nouveau single de l’artiste musicienne burkinabè Nabalüm
Musique : « Quand Il Bénit » le nouveau single de l’artiste musicienne burkinabè Nabalüm
Longtemps annoncé, l’artiste musicienne burkinabè Nabalûm vient de mettre sur le marché son nouveau single intitulé « Quand il Bénité » le mercredi 26 mais 2021. Disponible sur sa chaîne youtube, l’artiste l’a annoncé sur sa page facebook. "Hello famille, c'est le jour J ?✨✨
#QuandILBénit sera disponible à partir de 9h sur ma chaîne youtube (…) » a-t-elle informé..
Elle ajoute en ses termes, « famille, nous allons écrire un nouveau chapitre de notre histoire commune. Cette chanson vous la découvrirez, juste notez que chaque note est chargée de sincérité, d'amour, de force, de mon histoire et de celle de quelqu'un ici peut être... »
Nabalüm a grandi à Abidjan, dans le quartier populaire de Koumassi en Côte d’Ivoire, mais reste arrachée très à ses racines, Elle chante en mooré, français et malinké et parle de la vie de la jeunesse africaine, des femmes ou des faits de société.
En matière de musique, ses références sont de grands noms de la musique africaine tels que Ismaël Lô, Fatoumata Diawara, Lokua Kanza, Asà que ceux de la pop internationale comme Adèle, Bruno Mars.
La Rédaction
Développement Burkina Faso : une batterie de recommandations issues des assises sur le RND 2021-2025
Développement Burkina Faso : une batterie de recommandations issues des assises sur le RND 2021-2025
Les assises nationales sur le Référentiel National de Développement 2021-2025 a réuni les 25 et 26 mai 2021, le secteur privé, le secteur public et les partenaires. La rencontre a connu son épilogue le 26 mai 2021 au cours d’une cérémonie de clôture présidée par le représentant du Premier Ministre, Lassané Kaboré par ailleurs Ministre de l’Economie, des Finances et du Développement.
Les assises nationales sur le RND 2021-2025 est une étape d’échanges à bâtons rompus dans le processus d’élaboration du Référentiel National de Développement. Elle est une occasion pour susciter des échanges productifs afin d’aboutir à finalisation consensuelle du document. Chose faite car les différents participants ne se sont pas faits prier, en témoigne les nombreuses recommandations issues des assises.
Le Secrétaire Permanent du Plan National de Développement Economique et Social (PNDES), Dr Alain Siri, explique : « il y a eu beaucoup de recommandations. Notamment celles concernant la stratégie de mise en œuvre à savoir les instruments particuliers de mise en œuvre. C’est le cas de celles qui adapteraient la stratégie d’exécution aux contraintes du moment, en particulier recourir au principe de la subsidiarité par exemple pour la réalisation de certains investissements, si le secteur privé ne peut pas, l’administration pourrait recourir au génie militaire pour réaliser ces investissements dans les zones spécifiques ».
L’administration pourrait également recourir aussi à l’approche participative ou à des instruments spécifiques de financement par exemple la mise en place d’impôt ou de taxe indexés à la réalisation des projets a-t-il poursuivi. La mobilisation des financements innovant de la diaspora. Sans oublier les recommandations techniques a confié Dr Siri.
Dans le mot du Chef du gouvernement lu par son représentant, le Ministre Lassané Kaboré, c’est une occasion pour exprimer les chaleureuses félicitations quant aux résultats atteints au cours de ces deux jours de travail. La synthèse des travaux livrée, illustre à souhait la richesse des réflexions engagées au cours de ces assises selon lui.
Le nouveau référentiel passe en revue, intègre désormais des changements qualitatifs profonds au profit de tous les Burkinabè. L’approche participative et inclusive prônée pour sa mise en œuvre va consolider la place des différents acteurs, secteur privé, partenaires au développement, société civile, collectivités territoriales et communautés dans le cadre de son exécution.
Pour la suite du processus, Dr Alain Siri a ajouté qu’il s’agit d’intégrer les recommandations, les amendements d’ordre techniques et diverses qui ont été formulés par les participants de ces assises. L’agenda c’est de boucler le document final avant la fin du mois de juin.
Il précise qu’il est prévu qu’à l’issu de l’adoption du document, que l’administration contacte le secteur privé, les partenaire techniques et financiers et fixe une période pour organiser une table ronde et la fenêtre du dernier trimestre de l’année est envisagé pour organiser cette table ronde.
Par ailleurs, le représentant du Chef du Gouvernement rassure que le Gouvernement attend de tous les acteurs, un engagement soutenu pour une mise œuvre réussie du RND, en particulier le secteur privé, les partenaires technique et financiers les collectivités territoriales, la société civile et les populations
Balguissa Sawadogo
Elites Femmes
Burkina Faso : Organisation d’une Conférence sur les femmes africaines dans le commerce
Burkina Faso : Organisation d’une Conférence sur les femmes africaines dans le commerce
Le Représentant Résident du PNUD en parle avec la Ministre en charge de la femme
Le Représentant Résident du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), Monsieur CIOWELA Mathieu, a été reçu ce jour mardi 25 mai 2021 par la ministre en charge de la femme, Hélène Marie Laurence ILBOUDO/MARCHAL.
En prélude à cette conférence, Monsieur CIOWELA a voulu cette rencontre dans le but de solliciter l’accompagnement du ministère pour des consultants nationales avec des femmes commerçantes. Il faut noter que ces consultations viseront à inclure les groupes de femmes exportatrices et les producteurs de toutes tailles, qu’il s’agisse de grandes entreprises ou de micro, de petites et moyennes entreprises, engagées dans l’exportation de biens et de services. Et les résultats de ces consultations seront discutés lors de la Conférence dont l’objectif est de créer une plateforme permettant aux femmes de s’approprier pleinement la zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF) et de saisir les opportunités économiques dont elles disposent afin de qu’elles puissent être le moteur de la transformation socio-économique du continent.
La Ministre a marqué son accord pour les accompagner à travers ses services techniques.
DCPM/ Ministère de la Femme, Solidarité nationale, Famille et de l'Action Humanitaire
Mali : le président Bah N'Daw et le Premier ministre Moctar Ouane rendent leur démission
Mali : le président Bah N'Daw et le Premier ministre Moctar Ouane rendent leur démission
La crise politique malienne continue de faire de gorges chaudes. Selon plusieurs sources médiatiques, le président de la transition Bah N'Daw et son Premier ministre Moctar Ouane ont démissionné le mercredi 26 mai 2021 en début d’après-midi.
Retenus dans le camp militaire de Kati depuis lundi après-midi par la junte du CNSP, les deux dirigeants maliens ont reçu ce matin la visite d’une délégation de la Cédéao, de l’Union africaine et de la Minusma, conduite par le médiateur de la Cédéao Goodluck Jonathan.
Ce nouveau coup des militaires du CNSP, mécontents du nouveau gouvernement annoncé lundi, qui ne reconduisait pas deux des leurs. Le colonel Goïta avait indiqué mardi dans la soirée avoir écarté les deux hommes en les accusant d'avoir formé un nouveau gouvernement sans le consulter alors qu'il est le vice-président en charge des questions de sécurité.
Selon une source diplomatique, rapporté Radio France Internationale, le chef de la junte et vice-président actuel Assimi Goïta a exposé son plan pour la suite : c’est lui qui prendra la présidence de la transition, le poste de vice-président restant vacant. Quant au poste de Premier ministre, pas de détails mais on sait que les consultations avaient commencé dès lundi, auprès du mouvement M5 notamment.
La Rédaction
John Christmas Yameogo et Dallas Sawadogo remportent le « hackathon de design et aménagement des espaces » de l’AUF au Burkina Faso
John Christmas Yameogo et Dallas Sawadogo remportent le « hackathon de design et aménagement des espaces » de l’AUF au Burkina Faso
COMMUNQIUE DE PRESSE
Ouagadougou, le mardi 25 mai 2021 | Dans une perspective de transformation de ses espaces en Bureaux nationaux, en Centres d’employabilité francophone (CEF) et en Campus numériques 5.0, la Direction Afrique de l’Ouest de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) a organisé, du 06 au 07 mai, en simultané dans huit pays de la sous-région, un hackathon de « design et aménagement des espaces ». Au Burkina Faso, l’équipe de M. John Christmas YAMEOGO a remporté le premier prix.
Organisé simultanément par l’AUF Afrique de l’Ouest à Abidjan, Bamako, Conakry, Cotonou, Dakar, Lomé, Ouagadougou et Nouakchott, ce concours a rencontré un vif intérêt. En effet, 72h après le lancement de l’appel à candidatures, 39 propositions ont été recueillies venant de 25 participants. La proposition de l’équipe de M. YAMEOGO s’est distinguée par sa pertinence, son originalité ainsi que ses qualités esthétiques. Son prix lui sera décerné ce mardi 25 mai dans les locaux de l’AUF Burkina Faso où il participera à une cérémonie hybride organisée simultanément dans les huit pays qui ont participé au concours, en présence de la Directrice régionale Afrique de l’Ouest de l’Agence universitaire de la Francophonie, le Professeur Ouidad TEBBAA
Un montant de trois cent mille francs CFA (300 000 FCFA) est attribué à l’équipe lauréate.
À propos de l’AUF
L’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) est le premier réseau universitaire au monde avec 990 établissements membres dans 118 pays, et 59 implantations réparties sur les cinq continents. Opérateur expert en recherche et savoir de la Francophonie créé il y a près de 60 ans, l’AUF intervient dans de nombreux domaines comme la formation, la recherche, le numérique, la gouvernance universitaire, l’entrepreneuriat et l’employabilité des étudiants, ou encore le développement durable. www.auf.org/afrique-ouest